Comique Farcesque

Le comique est à la fois sur la scène et dans le langage L’atmosphère du Malade imaginaire est sombre, aussi, du fait que bon nombre de figures inquiétantes, de Béline à M. Bonnefoy en passant par les médecins, gravitent autour d'un personnage central lui-même bien peu attachant. Ce bourgeois, passablement riche, et assez près de ses sous, qui a des manières peu raffinées sinon vulgaires, est malade, mais non pas dans son corps, comme il le pense; c'est son psychisme — son imagination — qui l'enfonce

l'artefact théâtral, par exemple dans Le Mariage de Figaro de Beaumarchais. Dénouement Un dénouement tragique, mais qui reste comique (acte V, scènes 4,5 et 6). On sait que Dom Juan est emporté dans les Flammes des Enfers par la Statue du Commandeur. Dom Juan meurt, on pourrait se croire dans le dénouement d’une tragédie. Mais très rapidement, le registre comique revient au galop avec la réplique finale de Sganarelle : « Mes gages, mes gages ! »; un Sganarelle peiné, non de la mort de son

poète, Edmond Lepelletier, s’éloigne par sa gaieté de la tristesse saturnienne. Dans cette scène décrite avec une humeur presque misanthrope, Paul Verlaine, âgé d'une vingtaine d'années à peine,  nous plonge dans le théâtre du monde par l'évocation comique & satirique d'une inhumation. 3 Grands axes : - Scène réaliste Eloge paradoxal & ironique Satire sociale EXEMPLES DE PLANS DETAILLES : 1 – Description d'un cérémonie religieuse A.portraits hauts en

Valentine 1ere3 GILBERT DISSERTATION. Avant tout, le comique est un registre visant a procurer une sensation de détente et de divertissement, chez le spectateur, ou le lecteur. Pour ce faire, les auteurs emploient différents moyens. Mais à travers ces moyens, n'y a t-il seulement l'envie de faire rire ? Ou bien le comique a-t-il d'autre fonction ? Ceci fera l'objet de notre dissertation. En nous appuyant sur les textes du corpus, le bourgeois gentilhomme, de Molière, écrit en 1670, on purge

la didascalie "silence" 2 fois II- Effet de déstabilisation 1) Curiosité "fais voir" "Quoi? de quoi?" "Qu'est ce qu'il y a" et incompréhension mise en relief par la dislocation entre les paroles et les gestes. 2) Double registre - Comique de paroles "qui disait ça" "tu veux pas m'aider" , de gestes "jambes écartées" "souffle dedans" , de situation "attendre Godot" - Pathétique derrière le rire se cache une souffrance physique à l'instar du pied d' Estragon répétition du mot "souffre"

ressors comiques, propices à déclencher le rire du lecteur ou du spectateur. Ainsi, il a fréquemment recours au comique de gestes, comme par exemple, dans Georges Dandin lorsque Angélique frappe son mari en faisant semblant de vouloir punir Clitandre. Par ailleurs, Molière fait aussi usage du comique de mots. C’est notamment le cas dans L’Ecole des Femmes, par exemple à travers la déformation des mots par Georgette qui parle des « biaux messieurs ». A d’autres moments, c’est le comique de situation

œuvre théâtrale écrite par Molière en 1663. Parmi les nombreuses rencontres que l’auteur travaille dans cette pièce, Molière s’attache particulièrement dans cette scène à la rencontre d’Horace et Arnolphe. Nous nous interrogerons tout d’abord au comique de situation par Horace et Arnolphe pour ensuite parler de dimension satirique du passage. I) Au début de la scène Arnolphe ravi pour son ami écoute Horace lui décrire la fille qu’il aime v. 317 »… ». Lorsqu’il apprend que c’est Agnès v.326

plus aucun attachement à la vie. Ce thème au premier abord est traité avec importance cependant le lecteur assiste à un renversement de situation lorsque Malone cesse les éloges sur la mort pour agresser le lecteur. Ses derniers mots du registre comique rappellent qu’il n’écrit que pour combler le vide. L’auteur dénonce donc la bêtise des hommes d’avoir peur de la mort, mais en temps il n’est pas nécessaire de se précipiter vers elle. Il doit y avoir un juste milieu : ni la craindre, ni en avoir

que l’obstruction du jugement personnel. Le prieur le persuade sans laisser place au jugement personnel. b) un texte argumentatif - L’ironie arme principale de Voltaire, est un registre qui intervient lui même souvent dans les registres comiques et polémiques. L’ironie permet à la fois de critiquer et de faire rire le lecteur (humour). Le narrateur tisse une complicité avec le lecteur. Ses procédés principaux sont : l’exagération (hyperbole, litote) ; l’atténuation (euphémisme) ; l’antiphrase

réside dans sa capacité à multiplier les différentes tonalités dans sa pièce. Le comique, tout d’abord, se manifeste de plusieurs manières. Le comique de geste, premièrement. Par exemple : * Acte I scène 4 : échange répété et grotesque de révérences entre Marceline et Suzanne, ce qui montre leur antagonisme. * Acte III, scène 8 : Suzanne donne des soufflets à Figaro. 2. Le comique de mots C’est le comique le plus important chez Beaumarchais : manipulation de la langue, jargon, insultes