Comité d'entreprise

dans son ensemble. En effet, la qualité ne concerne pas que les services production mais également les services commerciaux, les services de G.R.H, les services administratifs, etc.... la qualité s'inscrit dans la culture d'entreprise et il s'articule autour de 4 axes principaux : La conformité La conformité consiste à rechercher de manière permanente l'adaptation aux besoins réels du client. Toutes les actions individuelles ou collectives doivent être orientées

rotation de produits, de retrait de vente, de rapidité d’action dans leur rayon référent. Après, chacun doit être pluridisciplinaire pour être efficace, mais surtout pour permettre l’entraide entre chaque équipe, cela permet de créer un bon esprit d’entreprise. Il n’existe pas d’obligation hiérarchique, ce qui est plus humain. Concernant la relation entre employés, il y a de la communication entre eux, plus de l’information extérieure via la responsable. Le dialogue facilité: discussion, répétition et

contraintes de s’engager dans des opérations de plus en plus risquées tout en gardant un niveau de fonds propres très bas. Cette instabilité a conduit le comité de Bâle, régulateur par excellence de l’activité bancaire à l’international, à instaurer la première réglementation bancaire connue sous le nom de « Ratio Cooke » ou Bâle I. En effet, en 1988 le comité de Bâle a recommandé aux pays du G10 le respect d’un niveau minimum de capital pour la couverture du risque de crédit. Ces recommandations consistaient

de contagion, ceci est la principale justification des réglementations. Les auspices du comité de Bâle sur la supervision et l’harmonisation du système bancaire au niveau international s’inscrivent dans ce cadre. Le comité avait pour tâche la supervision et pour principes  qu’aucune banque n’échappe à la supervision ou au contrôle et que cette supervision soit adéquate. Pour atteindre ses objectifs le comité a instauré en 1988 un ratio de solvabilité, dit aussi ratio Cooke. Ce ratio exige un niveau

Introduction Bonneveux E., Rychalski A. et Soparnot R. Cusin J. Un projet pour la communauté des enseignants-chercheurs en gestion Le mot du directeur de publication Pourquoi une revue sur les cas en gestion ? Les « vérités » du diagnostic d’entreprise Le diagnostic de la capacité stratégique Armor-Lux met le cap sur les services La gestion des actifs immatériels Unilever, quand les marques se démarquent Le target costing et l’ABC/ABM Lafuma, une entreprise française loin d’en

terme] sans la prise en compte et la meilleure satisfaction de toutes les parties prenantes »(13). 11. Ce volet a été rédigé par Nicole Leclère, qui a intégré pour cela l’équipe de Coordination SUD pendant 1 mois. Sur la base des recommandations du comité de pilotage, de deux réunions de travail avec des dirigeants associatifs, et de ses précédents travaux sur le thème de la gouvernance associative avec l’UNIOPSS (Union nationale interfédérale des œuvres et organismes privés sanitaires et sociaux)

.......................................32 | |1.2. Les objectifs du ratio..................................................................... 33 | |Section 2 : La réforme du comité de Bâle II.................................................. 34 | |2.1. La remise en cause du ratio de solvabilité........................................34 | |2.2

de gestion intégrée des différents risques découlant de son activité basée sur le suivi des positions par rapport aux limites et des analyses de scenarii pour se conformer le plus possible, aux standards internationaux en la matière. Ainsi, le comité de Bâle a-t-elle été créé en 1994 avec un objectif primordial : l’harmonisation des règlementations régissant les risques bancaires avec les principes fondamentaux préconisés par les instances de surveillance internationale notamment en matière de

de la personnalité de notre entreprise. Notre entreprise, cela signifie aussi le projet que nous entreprenons ! Je remercie la rédactrice en chef et le comité de rédaction pour leur investissement dans cette tâche, je suis sûr qu’ils sauront garder leur enthousiasme au fil des numéros. Je vous souhaite une bonne lecture. Un journal d’entreprise est avant tout un journal. Un journal interne existe pour son lectorat. Il doit Organe d’information, outil pédagogique, espace de répondre à ses attentes

des comptes rendus pour être efficaces. Une fois par trimestre l’avancement des travaux est communiqué grâce à une publication dans le journal de l’entreprise à l’ensemble des salariés. Le groupe de travail est encadré par un comité de pilotage (CP) composé d’un comité de direction et du consultant. Tous les deux mois le CP valide les orientations et les décisions du GT ou établit un choix si plusieurs méthodes sont proposées. Le but du GT est de déboucher sur un consensus concernant un système