Comment Le Comique Fait Rire

d’une autre par l’entrée ou la sortie d’un personnage mais ici le Père Ubu effectue cette transition en « défonçant la porte » suivi d'une légion de « grippe-sous ». On notera la violence de cette entrée du personnage, qui est peut-être un clin d’œil comique du dramaturge aux conventions du théâtre occidental. D'autre part, la violence physique du Père Ubu à une place assez importante et se laisse apercevoir à deux niveaux. Premièrement, dans le récit des paysans de la scène III, où ils rapportent les

gigantisme des personnages,qui motive un tel sujet. Dans Gargantua, apparaît en outre la figure du mauvais roi, Picrochole. C'est dans la confrontation de ces personnages que tout oppose qu'apparaît l'image rabelaisienne du pouvoir politique idéal. Mais comment, en partant d'une image grotesque et dévalorisante des rois-géants,entièrement gouvernés par les appétits et les besoins du corps, Rabelais peut-il conduire une réflexion sérieuse sur le pouvoir politique ? En réalité, les personnages ont évolué,

DISSERTATION THEMATIQUE :Problématique : Dans quelle mesure Gargantua est un humaniste.Plan de la dissertation :I/Dans un premier temps, nous verrons qu’effectivement l’œuvre de Gargantua est un livre humaniste a travers le rire érigé en valeur fondematale.Argument 1 :Tout d’abord le rire apparaissant comme gaulois , grivois et scatologique est lié au plaisir de devenir « pantagruéliste ». Exemple 1 : dans le prologue, introduction du thème de la nourriture . Rabelais dit qu’il a écrit Gargantua

de Swann », il fait une longue description de Mme Verdurin et son salon, où il illustre ce « moi superficiel », derrière lequel la protagoniste se protège, et qu’elle utilise pour grimper l’échelle sociale. Il est alors intéressant de nous demander par quels procédés, à travers le portrait caricatural de la bourgeoise Mme Verdurin, Proust met en scène ce « moi superficiel » qui réside en chacun de nous. 2 paragraphes admirablement construits. Après avoir observé dans le 1er comment Mme Verdurin est

Géronte une somme qui permettra à Léandre de racheter Zerbinette aux Egyptiens qui la retiennent. Axes de lecture Une scène comique : Géronte déchiré entre son amour de l'argent et sa fibre paternelle ; Le rôle du valet : la stratégie de Scapin. I. Une scène comique : un cruel dilemme pour Géronte déchiré entre son amour de l'argent et sa fibre paternelle. (1) Le comique de situation Au début de l'acte II, scène 7, Scapin commence par jouer le drame : les didascalies « faisant semblant de ne

qui est comme moi ton ouvrage, est heureuse Quand on l’a coupée, elle renaît, elle est immortelle; et nous, pauvres huîtres, en vain sommes-nous défendues par une double cuirasse; des scélérats nous mangent par douzaines à leur déjeuner, et c’en est fait pour jamais. Quelle épouvantable destinée que celle d’une huître, et que les hommes sont barbares  Pythagore tressaillit; il sentit l’énormité du crime qu’il allait commettre il demanda pardon a l’huître en pleurant, et la remit bien proprement

SYNTHESE DU SUJET 1 SUR LE RIRE « Je me presse de rire de tout, de peur d’être obligé d’en pleurer. » disait Beaumarchais en son temps. Si le rire est un moyen efficace pour se défouler, alors comment fonctionne-t-il ? Peut-on considérer que le rire n’a pour effet que l’immédiateté, que l’instant où on s’esclaffe ? N’a-t-il pas une raison plus profonde souvent implicite ? Le corpus qui nous est soumis est constitué de quatre documents qui sont censés faire rire. Un extrait d’un roman du XVI

Question d'oral: qu'est ce qui fait le comique de la scène 7 de l'acte 1 ? INTRO: Dans mon expose, je vais parler de la scène 7 de l'acte 1 de la pièce de théâtre du mariage de figaro de Beaumarchais. Plus précisément de ce qui rends cette scène comique. Dans cette scène nous avons deux personnages : Chérubin et Suzanne. Seul ces deux personnages interviennent dans la scène. En effet il y a un long dialogue entre Chérubin et Suzanne. Le jeune garçon dans cette scène incarne a la perfection

spectateurs. Il n’y a pas de narrateur, la compréhension dépend donc de ce que voient les spectateurs et comment ils interprètent le jeu des acteurs. Le théâtre a-t-il nécessairement un « message » à faire passer ? Le théâtre peut avoir un double objectif mais ce n’est pas nécessairement toujours son but. Le théâtre peut avoir comme but faire sentir des émotions chez le public, le faire rire, pleurer, penser,... comme le théâtre symboliste dont le but est plus de suggérer que de montrer. Mais il

peut qu'attirer l'attention du lecteur. Le portrait qu'en fait le narrateur dans cet extrait intrigue : Mangeclous, qui pourrait sembler repoussant, se révèle particulièrement étonnant. Nous chercherons donc à comprendre comment Albert Cohen transforme Mangeclous en un personnage fascinant pour le lecteur. Dans une première partie, nous étudierions ce personnage à la fois comique et repoussant. Dans un second temps, nous montrerons comment ce personnage hors norme prend une dimension mythique et légendaire