Comment Plaire Et Instruire

10 Mars 2009 Diane Chenaouy7FrC Dissertation Sujet: Dans quelle mesure les Fables de la Fontaine correspondent-elles à l’idéal artistiquede la période classique : « instruire, plaire, émouvoir » ? Introduction Les fabulistes ont souvent pris Esope comme modèle, qui proposaient de nombreuses petiteshistoires faciles à retenir et qui marquaient les esprits par leur caractère distrayant et éloquent.Pourtant avant la Fontaine, elles étaient considérées comme vulgaires. Ce dernier les popularise

didactique mais a-t-elle accomplie son rôle? Est-ce que les écrivains ont réussi à instruire leurs lecteurs? Nous verrons dans un premier temps comment la littérature de ce siècle classique a atteint son objectif. Tout d'abord, il est vrai que les oeuvres littéraires du XVIIe siècle ont pour but d'éduquer le peuple. On peut voir dans les Fables de La Fontaine, que celui-ci cherche à plaire pour mieux instruire. Il utilise la personnification avec des animaux dans ses fables pour divertir les

XVIII° siècle, notamment chez Voltaire (on pense par exemple au chapitre de Candide sur le tremblement de terre de Lisbonne). II - L'art de plaire Comme dit La Fontaine dans sa fable Le Lion et le pâtre, en parlant des histoires qu'il invente (les "feintes") : "En ces sortes de feinte il faut instruire et plaire". Plaire pour mieux instruire, pourrions-nous ajouter. Fontenelle a retenu la leçon du fabuliste. 1) La satire des faux-savants fait sourire le lecteur. De

Sujet : Dans la pièce de Claudel, l’échange, l’actrice Lechy Elbermont, qui a joué sur toutes les scènes du monde, sait pourquoi les hommes vont au théâtre : « l’homme s’ennuie, et l’ignorance lui est attachée depuis sa naissance. Et ne sachant de rien comment cela commence ou finit c’est pour cela qu’il va au théâtre. Et il se regarde lui-même, les mains posées sur les genoux. Et il pleure et il rit, et il n’a point envi de s’en aller ». Introduction : Se rendre au théâtre, marque une pause dans sa vie

fables répondaient à la grande doctrine du classicisme « plaire et instruire ». Dans « le loup et le chien », extrait du livre I des Fables publié en 1668, nous ne trouvons pourtant aucune morale explicite. En effet, cette fable est composé d’un récit, mettant en scène un loup affamé, qui, devant un chien gros et gras, se laisse tenter par son mode de vie, jusqu’à ce qu’il remarque le prix de son confort : l’absence de liberté. Comment la narration se met-elle ici au service de l’argumentation 

doute plus favorablement, si les auteurs songeaient autant à instruire leurs spectateurs qu'à les divertir, et s'ils suivaient en cela la véritable intention de la tragédie. J-J Rousseau, Lettre à d'Alembert sur les spectacles, 1758 Quant à l’espèce des spectacles, c’est nécessairement le plaisir qu’ils donnent, et non leur utilité, qui la détermine. Si l’utilité peut s’y trouver, à la bonne heure ; mais l’objet principal est de plaire, et, pourvu que le peuple s’amuse, cet objet est assez rempli

fable s’inscrit directement dans l’actualité de son époque puisque la guerre entre la France et la Hollande vient d’éclater, et que le Clergé refuse de payer pour aider le royaume à en supporter les frais. Voyons comment La Fontaine réussit dans son apologue à plaire autant qu’à instruire et dans le même temps à dénoncer un des travers de la société de son époque. Nous étudierons d’abord les particularités du genre de l’apologue, récit fictionnel qui vise à enseigner en plaisant. Puis nous traiterons

sujet) -> (1) "Un petit morceau de philosophie allégorique" [= personnification d'une abstraction] (Voltaire inventeur) reprend les caractéristiques du conte merveilleux pour le rendre vivant (chap 1). Une des formes de l'Apologue visé -> Plaire et Instruire. (2) XVIIIe siècle, Les Lumières. -> (1) Un face à face, qui aboutit à un débat ou un combat. (2) Tester la validité de quelque chose. Soumettre quelqu'un à des difficultés, à des épreuves pour tester sa capacité (échec - réussite). -> (1)

abondance grâce a l'anaphore) cela miroite une vie de délice. Ccl : Le sujet de cette fable : un enjeu d'ordre vitale = comment survivre ? (évoqué au premier vers.) La Fontaine donne du dynamisme pittoresque. Le conte fait passer le précepte avec lui. En ces sortes de feintes il faut instruire et plaire. Conter pour conter semble peu d'affaire. Il y a une double visée plaire et instruire. Le récit est mis au service d'une démonstration, imagée et cette démonstration en passe par la révélation progressive

PB : comment construction de la fable permet de servie double obj : plaire et instruire ?-Le premier mouvement = situation initiale = la femme du lion mourut to les gens sont de simples ressorts-second = element perturbateur = pour revenir a notre affaire to comment eut-il pu faire ?-Troisième = = Cette mort le vengeait to le désespoir du roi-Quatrième = =j’y prend plaisir to bien