Commentaire Arrêt 24 Février 1998

MALAURIE, L. AYNÈS et Ph. STOFFEL-MUNCK, Les obligations, 3e éd., 2007, Defrénois. – MARCADÉ, Élémens du droit civil français, t. 4, 2e éd., 1846. – G. MARTY et P. RAYNAUD, Les obligations, t. 1, 2e éd., 1988, Sirey. – A. SÉRIAUX, Les obligations, 2e éd., 1998, PUF, coll. Droit fondamental. – F. TERRÉ, Y. LEQUETTE et Ph. SIMLER, Les obligations, 9e éd., 2005, Précis Dalloz. – Ph. le TOURNEAU, Droit de la responsabilité et des contrats, Dalloz Action 2008-2009. – G. VINEY et P. JOURDAIN, Les conditions de

Emploi.................................................................................................................... 241 IV-6 Droits des services de contrôle .............................................................................. 248 V Commentaires................................................................................................................. 250 V-1 Aperçu sur les axes d’action relatifs aux conditions de travail en 2004. ................ 250 V-2 Aperçu sur les actions collectives

Voir Conseil d'État 18janvier 2001: Arrêt Commune de VENELLES Conseil d'État 5mars 2001: Arrêt SAEZ Numéro 107 b- le privilège de l'action d'office Si un administré refuse de se conformer a une décision de l'administration, cette dernière si certaines conditions très restrictives sont réunies, a le droit d'en poursuivre directement par la force d'exécution sans s'adresser préalablement au juge. Arrêt du tribunal des conflits de décembre 1902 : Arrêt société immobilière de St Juste. N10

| [pic]Historiographie [modifier] Comme pour bien d'autres pays du continent africain, l'écriture de cette histoire se heurte à de multiples difficultés[2], tant méthodologiques qu'idéologiques. Outre les commentaires attribués à certains explorateurs antiques[3], les manuscrits des voyageurs arabes constituent les premiers témoignages connus[4]. C'est à partir du XVe siècle que l'on dispose de sources européennes[5] – narrations, compilations ou documents d'archives

T.E.R. au Collège universitaire français de Saint Pétersbourg) On ne traitera pas dans les lignes qui suivent de l’arrêt rendu par l’assemblée plénière de la Cour de cassation le 17 novembre 2000. Celui-ci a déjà fait l’objet de très nombreux commentaires, par des représentants de disciplines aussi différentes que le droit de la responsabilité civile, le droit public dans son aspect de protection des droits et libertés individuels, ou encore l’histoire et la philosophie du droit. Ce qui nous retiendra

QUESQUE LE DROIT ? On utilise le terme de droit dans de très nombreuses significations : on dit souvent que les hommes ont des droits (cela signifie que c’est une faculté de faire certaine action, c’est la faculté de faire certaine, dans un arrêt du C.E 1950 l’Amote reconnais à tous le droit de demander au juge administratif l’annulation d’un acte administratif illégale par le biais de se que l’on nomme le REP, reconnu même si aucun texte le prévois), le terme de droit est employé pour nommé

essentiellement unilatérale. C’est au législateur (ou par exemple au niveau communal, au conseil communal) qu’il revient de fixer le fondement de toute subvention : toute subvention doit faire l’objet d’une loi, d’un décret, d’un arrêté royal, d’un arrêté du gouvernement ou d’un arrêté ministériel qui désigne le bénéficiaire, fixe le montant de l’intervention, les modalités de justification et de paiement ; de la personne à qui revient l’initiative du projet : lorsque cette initiative vient de la personne

cas de l’enquête de flagrant délit, le policier a un pouvoir coercitif plus important sur les individus, notamment celui d’entrer de force dans les lieux privés afin de perquisitionner sans l’injonction du juge (De 6h à 22h au domicile de la personne, 24/24h sur la voie publique). A la fin de l’enquête, les policiers en transmettent les résultats au procureur de la République. Cela dans la mesure où c’est lui qui en a besoin pour prendre la décision de poursuivre ou non, décision qui lui incombe au

Legal Resource Index.....................21 2.4.5. Base 483 : Newspaper Abstracts Daily..............................23 2.5. WORLD WIDE WEB....................................................................24 2.5.1. Annuaires....................................................................24 2.5.2. Métamoteur: Ixquick.....................................................26 2.5.3. Moteurs de recherche : Google........................................27 2.5.4. Sites intéressants...............

d'appréciation ? L'interdiction de l'arbitraire est aussi un principe de l'activité administrative. Il peut être examiné en dernier, telle une appréciation globale sur l'équité de l'activité administrative en question. b. L'opportunité de l'acte en cause 24°L'acte en cause est-il conforme au principe d'opportunité ? Ce n'est que dans certains cas que l'autorité de recours (administrative ou juridictionnelle) est habilitée à revoir l'opportunité de la décision prise par l'autorité inférieure (cf. ci-dessus