Commentaire Article 17 Ddhc

échéant les prérogatives de puissance publique qu’elles exercent sont en cause. [pic] ARRETS Parie I : L’administration de l’Etat ● loi Paris-Lyon-Marseille (loi PLM) du 31 décembre 1982 ● loi du 2 mars 1982 : préfet/ départements/ commune ● Article 1 de la loi du 6 février 1992 : L’administration territoriale de la République est assurée par les collectivités territoriales et par les services déconcentrés de l’Etat. ● Loi du 6 février 1992 relative à l’administration territoriale de la République

du droit déterminé. En matière fiscal, on va étudier trois dispositions: - Nécessité de l’impôt - Égalité devant l’impôt - Légalité de l’impôt 1-Le principe de nécessité de l’impôt Ce principe est prévu par l’article 13 de la DDHC qui a une valeur constitutionnelle. Le texte nous dit que pour l’entretien de la force publique et les dépenses de l’administration une contribution commune est indispensable a- Les fonctions L’impôt est nécessaire car il permet de collecter

huit dispose que sous la direction des consuls un conseil d'État est chargé de rédiger les projets de loi et les règlements d'administration publique et enfin de résoudre les difficultés qui s'élèvent en matière administrative. À la lecture de cet article en constate que la justice administrative n'est pas clairement dissociée de l'administration. D'ailleurs la justice administrative étant le fruit d'un régime autoritaire allait été longtemps considéré comme n'étant pas en mesure d'assurer une réelle

Il crée des départements avec des préfets. La consti de l’an VIII crée dans l’article 52 un organisme chargé d’apporter des conseils juridiques au pouvoir en place qui est le premier consul. Cette constitution crée donc le conseil d’Etat avec cet article. Bonaparte renoue avec un lointain passé parce que sous Louis XIV existait un organisme, le conseil du roi qui était composé d’une vingtaine de conseillés, qui conseillaient le monarque pour prendre ses décisions. Napoléon va s’en inspirer pour créer

des rgles de droit . Il sagit ici dune vritable rpartition des comptences tablie dans le cadre de la sparation des pouvoirs. Selon lArticle 16 de la Constitution, elle institutionnalise les pouvoirs. Il en va de mme pour dautres textes tels que la DDHC de 1789 ou encore le prambule de la constitution de 1946. Par une dcision du conseil dEtat de 1971 on a reconnu ces textes une valeur constitutionnelle. Ils sajoutent la constitution. Ils ne se contentent pas dnoncer des rgles en rapport avec la

être formulé dans le langage juridique, en termes de « demandes », de « prétentions », d’« allégations », mais surtout de « moyens », qui sont les arguments juridiques susceptibles de convaincre la 6 Frédéric ROUILLON : Le Droit, Flammarion, 1999, p. 17. Cf. CEHD, 2.2., notamment François OST. 7 Cf. CEHD, 1. © AgroParisTech, J.-P. Plavinet 11 juridiction saisie… Il s’agit d’une véritable mise en scène, qui implique l’utilisation d’un langage commun et l’insertion des parties en litige dans un processus

qu'est une personne privée, quelle soit physique ou morale. Ils en arrivent à la conclusion que personne privée poursuit un but privée, agit sur un domaine privée, est soumise au droit commun(civil) et va utiliser un moyen d'action, le contrat (article 1382 du C C). Entre ces deux sphères d'activités, public et privé, il y a une frontière presque indépassable. Cette sphère public va donc agir pour le citoyen et la fin de l'ancien régime aidant, va se développer progressivement l'idée que cette

représentatif (on élit pour représenter le peuple) ; la loi est l’expression du peuple, de la volonté générale. Elle est exprimée dans le premier article de la charte des droits de l’Homme. De qui émane la volonté générale ? Le peuple. Comment se manifeste la volonté générale ? Par les représentants (celle transcendance est conformée par la DDHC de 1789) Le principe de toute souveraineté réside essentiellement dans la nation (Art 3) Tout les citoyens ont le droit de concourir personnellement

doctrine civiliste, non pas en terme de masse, mais en terme d'importance. Parfois même un arrêt de principe administratif peut ne pas poser explicitement le principe envisagé, donc il faut le décrypter. On a donc un arrêt (jurisprudence) et son commentaire (doctrine) qui inspire la logique générale à ce droit. Parmi les membres de la doctrine publiciste il y a les conseillés d'État eux même. L'unité du droit administratif et mise en avant par les commentateurs. Ces différents commentateurs des arrêts

b) La nouvelle analyse : le chevauchement. Les domaines du droit et de la morale forment des cercles qui se chevauchent (avec une zone de rencontres). On distingue alors 3 domaines : * un domaine commun au droit et à la morale. Article 1134 du CV => « Les conventions doivent être exécutées de bonne foi ». * un domaine propre à la morale. * un domaine propre au droit. Dès règles moralement neutres (le code de la route). En conclusion : il est impossible de trouver un critère