Commentaire Article 37 De La Constitution

L’HARMONISATION DU DROIT DES AFFAIRES EN AFRIQUE Le Conseil des ministres de l’Organisation pour l’Harmonisation en Afrique du Droit des Affaires (OHADA) ; Vu le Traité relatif à l’harmonisation du droit des affaires en Afrique, notamment en ses articles 2, 5 à 12 ; Vu le rapport du Secrétaire permanent et les observations des Etats-parties ; Vu l’avis en date du 22 février 2000 de la Cour Commune de Justice et d’Arbitrage ; Après en avoir délibéré, adopte à l’unanimité des Etats-parties présents

......................................... 16 § 2. A) Fondements de l’irresponsabilité pénale du Président de la République ............. 17 Le fondement textuel aux termes laconiques de l’irresponsabilité présidentielle : l’article 68 de la Constitution .............................................................. 18 B) C) Une tradition parlementaire en faveur de l’irresponsabilité du Chef de l’Etat 20 Eléments de droit comparé : l’irresponsabilité du Chef de l’Etat, modalité de L’exception à

institutionnalisé mais effacé Un premier ministre en capacité d’agir mais contraint politiquement A. Un premier ministre reconnu B. Un premier ministre face aux contextes politiques  L’ELABORATION DE LA CONSTITUTION DE LA Vème REPUBLIQUE ☞ Comment l’élaboration de la Constitution a entraîné la Constitution gaullienne ? I. II. Le carcan institutionnel de la loi du 03 juin 1958 A. Conditions de fond B. Conditions de forme Marge de manœuvre institutionnelle A. Domination exécutif sur législatif

judiciaire compétente en matière de droit de la famille et droit des successions. 1 V. MENES. TD L1S1 Les mérites de la cité athénienne d’après Périclès Extrait de Thucydide, Histoire de la guerre du Péloponnèse, II, 37- 38, (trad. J de Romilly, coll. Des Universités de France) 37. « Notre régime politique ne se propose pas pour modèle les lois d’autrui : et nous sommes nous-mêmes des exemples plutôt que des imitateurs. Pour le nom, comme les choses dépendent non pas du petit nombre mais de la majorité

s’expatrier. D’où la «né cessité»dé mographique et é conomique de faire appel à la main d’œuvre servile dans les î (pas au Canada, à cause d’un les climat trop rude pour les Africains). Si les colonies é taient ainsi placé dès l’origine hors de la Constitution du Royaume, es c’é tait d’abord pour en permettre la meilleure exploitation é conomique possible. Choiseul, principal Ministre de Louis XV, é crira àun Gouverneur de la Martinique : «Ce serait se tromper é trangement, que de considé rer nos colonies

27 II. Deuxieme partie :La SCI, outil de transmission 28 1. Principes 29 1.1 Définition 29 1.2 Caractéristiques 30 1.2.1 L’objet d’une SCI 30 1.2.2 La constitution d’une SCI 30 1.2.3 La gestion d’une SCI 31 1.2.4 La cession de parts 31 1.3 Principes fiscaux 31 1.3.1 Les frais dus lors de la constitution de la SCI 31 1.3.2 Les impôts dus pendant la vie de la société 32 1.3.3 Les cessions de parts de la SCI par des personnes physiques (n’ayant pas inscrit les parts

législateur, des juges (rôle répressif, mais aussi préventif, indicatif) ; et des autorités administratives, qui jouent un rôle important dans le maintien de l’ordre public. Le gouvernement dispose d’un pouvoir réglementaire autonome (art. 21 de la Constitution) par le biais duquel il complète la loi. L’administration applique ensuite la loi « sur le terrain ». Ainsi, le maire d’une commune a une compétence d’application de la loi en vue du maintien de l’ordre public. Il peut par exemple décider d’interdire

4E PARTIE..................................................................................................... 31 5E PARTIE : LE CONCILE VATICAN II ....................................................................................... 32 1 2 CONSTITUTION CONCILIAIRE LUMEN GENTIUM....................................................................... 32 1.1 Qu’est-ce que la sainteté ? .............................................................................................. 32 1.2 Appel universel

dépendre de l'adoption d'un décret d'application. La loi s'applique jusqu'à son abrogation expresse (=précise, nettement exprimée) par un texte nouveau qui met fin à la loi ancienne. L'abrogation expresse peut être totale voire concernée certains articles d'un texte. L'abrogation peut être implicite lorsqu'elle ne résulte pas d'un texte exprès mais de l'existence d'une incompatibilité entre la loi ancienne et une loi nouvelle. Leurs applications simultanées étant irréalisables, il faut choisir entre

juillet 1911, n° 449 du 27 décembre 1997, et par le décret-loi n° 8 du 26 janvier 1999, tel que converti, avec des modifications, en loi n° 75 de 1999 – institution de la taxe sur les marbres dans la commune de Carrare – [est-elle compatible] avec les articles 23, 81, 85 et 86 du traité instituant la Communauté européenne, dans la version en vigueur à la suite du traité d’Amsterdam qui a été ratifié en Italie par la loi n° 209 de 1998?» La solution de la Commission européenne : Sur la recevabilité