Commentaire D Arret 5 Juillet 2001 La Faute Delictuelle

Acte unilatéral et contrat 1) Le critère de la distinction Peu importe le nombre d'auteurs (ex: arrêtés interministériels) tant qu'il y en a au moins deux pour le contrat. Le critère de distinction est qualitatif (contenu de l'acte, ses auteurs et ses sujets). En effet, pour le contrat le contenu va régir des rapports mutuels entre des auteurs qui seront aussi des sujets alors que l'acte unilatéral va régir la conduite de sujets qui n'en sont pas les auteurs car ils n'y ont pas consenti (et même

cependant pas leur privatisation par une loi ultérieure (décision du 5 août 2004). S’il ne semblait alors pas poser de condition particulière à cette opération, il a par la suite subordonné sa constitutionnalité à des changements préalables de l’entreprise la privant « des caractères qui en faisaient un service public national » (décision du 30 novembre 2006). Ainsi, a-t-il jugé que Gaz de France pouvait être privatisé au 1er juillet 2007 puisqu'à compter de cette date il perdait son caractère de

prescription abrégée alors en vigueur entre commerçant et non-commerçant (10 ans). CA fait application de cette prescription. Cass aussi : PM peut être tenue comme commerciale, c'est en tant qu'établissement de crédit qu'ils étaient poursuivis. (arrêt 2001) Ch. com., 20 novembre 2007, bull : rejet demande d'annulation formée par syndicats d'agriculteurs qui invoquaient le fait que la nature commerciale de l'activité entraînait leur nullité pour objet illicite. CA rejette demande. Pourvoi en cassation

il ne peut pas garantir qu’il nous guérisse mais il fera du mieux. -> L’intérêt de la distinction : Les conditions de la responsabilité contractuelle. Sur le terrain de la preuve. : C’est la preuve concernant les conditions de la resp. I faut une faute, un dommage et lien de causalité ( conditions de la reps contractuel)/ 2 L’obligation des obligations de moyens et résultat est la preuve pour l’engagement de la responsabilité. Concernant l’obligation de résultat, si elle n’est pas atteinte, la

le droit. Si l’on se place du point de vue d’un praticien (avocat, huissier …) il n’est pas douteux que pour lui de connaitre le droit civil français relativement à une question ce n’est pas seulement connaitre la loi mais aussi les solutions des arrêts de la Cour de Cassation. Toutefois, la jurisprudence ne semble pas pouvoir être mise exactement sur le même pied que la loi, elle n’a quand même pas le même rôle directement créateur. Pour comprendre les droits subjectifs il faut donc remonter à

soit rendu ». > face a la multiplication des obligations non exécuté on assiste a un véritable droit de l’exécution qui concerne les différents moyens de contraindre le débiteur a s’exécuter. Le droit de l’exécution repose sur le loi 91650 du 9 juillet 91 portant réforme des procédures civiles d’exécution, le décret de cette loi a instaurer un juge de l’exécution. On distingue l’exécution forcée et l’astreinte. 1) l’exécution forcée proprement dite Le créancier veut que le débiteur face

en équité. "Dieu nous garde de l'équité des Parlements". La question de l'équité interroge le juge et non l'auteur de la loi. Le droit se méfie de l'équité pour ne pas dériver vers l'arbitraire et l'incertitude. L'équité n'est pas source de droit. Arrêt de la chambre civile de la Cour de cassation : "L'équité n'est pas source de droit". Ce qu'on craint dans l'équité, c'est sa subjectivité. La règle de droit est générale, différent à ce que met en oeuvre l'équité. Ex : Antigone : "Loi légitime qui

la réforme de la filiation : elle place l’enfant naturel (hors mariage) sur le même plan que l’enfant légitime. En 1975, il y a eu la première grande réforme relative au divorce. En 1999, il y a eu la réforme du Pacte civil de solidarité (PACS). En 2001, il y a eu la réforme sur les successions et en 2002, une réforme sur l’autorité parentale et le chef de famille. En 2004, il y a eu une seconde réforme sur le divorce et enfin, la réforme du 17 mai 2013 a ouvert le mariage aux homosexuels. CHAPITRE

gérants (car les associés sont responsables solidairement). La loi a compliqué la règle en disposant que les clauses limitatives des pouvoirs du gérant sont valables inter partes, entre associés, mais n’en sont pas moins inopposables aux tiers (L 221-5 CCom). Ce qui vaut pour la SNC vaut, par emprunt de la règle, pour les SCS, sauf que dans une SCS la gérance de la société ne peut être confiée qu’à un tiers ou à un commandité : les commanditaires ne doivent pas s’immiscer dans les affaires sociales

Le droit de la santé au travail Publications de la REMALD, 1997. Le droit social pénal L’infraction et sa sanction en droit social Imprimerie Elite, 1999. La politique publique de l’emploi au Maroc Analyse et évaluation Publications de la REMALD, 2001. L’administration arabe du travail Edition Dar As Salam, juin 2002. Les conflits collectifs du travail à la lumière du code du travail : Concepts, modes de règlement et techniques de négociation (En arabe) Dar alkalam, 2004. Le nouveau régime juridique