Commentaire édit De Milan

l’on brodait sur les mêmes notions. Il y a une continuité dans le temps. Les termes en droit sont les mêmes depuis 2001. -Pourquoi est-ce utile de connaître ces fondamentaux ? L’histoire du droit à l’intérêt de faire l’inventaire ainsi que le commentaire et l’analyse des transformations du droit au fil des siècles. Formation de l’esprit importante car cela amène au juriste un recul une vision d’ensemble qui le tient éloigner de l’actualité immédiate qui peut conduire à un droit qui ne tiendrait

entre les personnes. Un terme revient chez Aristote, concernant l'obligation, c'est celui de « synallagma » (Aristote, Ethique à Nicomaque, 1131, a, 1, sq. ; v. Alberto Maffi, « Synallagma e obligazioni in Aristote », Atti II° Seminario gardesano, Milan, 1990, pp. 11-35). Aristote l'utilise pour désigner un lien né d'une convention (« ekousia synallagma » = vente, prêt, engagement, etc.) ou d'un délit (« akousia synallagma » = vol, empoisonnement, adultère, violence, homicide, etc.). Mais son emploi

donner des consultations juridiques, et donc cette habitude va peu a peu contribuer a faire émerger une classe de juristes professionnel dont le métier sera de conseiller les justiciables. Ensuite ils vont écrire des traités de droit par exemple des commentaires de la loi des 12 tables ils interprètent le droit et créer des solutions nouvelles ils commencent a fabriquer du droit. Cette science du droit se développe mais va connaitre son apogé dans la deuxième grande phase du droit romain Section 2 :

........................................................................................2 4. Conclusion........................................................................................................................................2 5. Commentaire....................................................................................................................................2 6. Biographie de l'auteur......................................................................................

Constantin (Occident) et Licinius (Orient) se partagent l’Empire. (partage des tâches et non de l’Empire en lui-même). 313, conversion de Constantin. Il fait arrêter les persécutions des chrétiens par « l’édit de Milan » de 313 (le terme édit est impropre, car il ne s’agissait un édit au sens juridique) et instaure un régime de tolérance. Fin IVe siècle, persécutions cette fois-ci contre les païens. Nouvelles réformes institutionnelles, restaure l’unité de l’empire en 324 (Constantin seul empereur)

L’EURO LA ZONE EURO PREMIÈRE PARTIE Christian BIALÈS Professeur de Chaire Supérieure en Économie et Gestion www.christian-biales.net Ce site se veut évolutif. Pour cela il fait l’objet d’un enrichissement documentaire régulier. © Les textes édités sur ce site sont la propriété de leur auteur. Le code de la propriété intellectuelle n'autorise, aux termes de l'article L122-5, que les reproductions strictement destinées à l'usage privé. Pour toute utilisation de tout ou partie d’un texte de ce

Constantin (Occident) et Licinius (Orient) se partagent l’Empire. (partage des tâches et non de l’Empire en lui-même). 313, conversion de Constantin. Il fait arrêter les persécutions des chrétiens par « l’édit de Milan » de 313 (le terme édit est impropre, car il ne s’agissait un édit au sens juridique) et instaure un régime de tolérance. Fin IVe siècle, persécutions cette fois-ci contre les païens. Nouvelles réformes institutionnelles, restaure l’unité de l’empire en 324 (Constantin seul empereur)

------------------------------------------------- ------------------------------------------------- La doctrine : le travail des doctrines en droit (les professeurs de droit) ils font des réflexions approfondies sur leurs opinions personnelles en ce qui concerne le droit et les édites. La doctrine est une source à la condition qu’elle soit écoutée par les législateurs où elle influencera la loi, écouter par les juges où elle influencera la jurisprudence. La loi forme la source essentielle du droit pour notre système actuel.

comportent 3 éléments : les magistrats, les assemblées de citoyens, le Sénat A) Les magistrats 1) Les pouvoirs des magistrats (2 types) la potestas (autorité) : appartient à tous les magistrats. Droit de créer des règles au nom de la cité (un édit). Cet édit est valable pendant la durée du magistrat. Pouvoir de contrainte mineur (condamner a une amende ou gages). l’imperium : seuls titulaires, les magistrats supérieurs. Ils reçoivent par une loi spéciale l’imperium. Pouvoir de commandement militaire

entre les personnes. Un terme revient chez Aristote, concernant l'obligation, c'est celui de « synallagma » ( Aristote, Ethique à Nicomaque, 1131, a, 1, sq. ; v. Alberto Maffi, « Synallagma e obligazioni in Aristote », Atti II° Seminario gardesano, Milan, 1990, pp. 11-35 ). Aristote l'utilise pour désigner un lien né d'une convention ( « ekousia synallagma » = vente, prêt, engagement, etc. ) ou d'un délit ( « akousia synallagma » = vol, empoisonnement, adultère, violence, homicide, etc. ). Mais son