Commission de révision des condamnations pénales

l’ordre juridique national. Peut-elle s’étendre au contenu et aux règles de fonctionnement du système pénal? Les raisons de le penser sont nombreuses, même s’il est généralement déconseillé de se prêter au jeu des devinettes, qu’il s’agisse de l’issue d’un procès pénal ou du devenir des dispositions juridiques qui l’organisent. 2 Il n’en demeure pas moins certain que les chemins de la réforme pénale qui, jusqu’à une date récente, étaient encore exigus se sont, grâce à la nouvelle Constitution, élargis

constitutionnelle du 3 juin 1958: qui confère au gouvernement de Gaulle d'établir un projet de révision constitutionnelle de la constitution de 1946. Ce processus aboutira à une Constitution totalement nouvelle.Une difficulté juridique s'est présenter liée à la complexité de la procédure de révision de la constitution de 1946. En effet, le délais d'attente entre l'adoption de la révision et la mise en place de cette révision était de 3 mois. Or le général de Gaulle voulait faire très vite, tout en voulant

tort ou à raison, des dirigeants de sociétés importantes ; et parfois mêmes les auditeurs contractuels ou légaux relevant de grands cabinets ont été visés. Les contrôles de toute nature (contrôles fiscaux, inspection du département des finances, commissions parlementaires, audits …) et le développement de la médiatisation n’ont fait qu’augmenter la visibilité du phénomène. La fraude : risque pour l’entreprise La fraude est un risque de l’entreprise. Elle doit être évaluée avec tous les autres risques

Procédure Pénale INTRODUCTION Les règles de droit civil ont vocation a s’appliquer sans procès. En droit civil, le procès c’est un accident. En pénal, les règles ne s’appliquent que par le procès. Pas possible d’appliquer une règle pénale en dehors d’un procès. Les règles de fonds sont totalement différentes. Les règles civiles pour l’essentiel d’entre elles protègent des intérêts privés, l’individu est libre de mettre en œuvre ces règles selon le moyen de son choix. Ex: un contractant dont les

ou correctionnelle, d’une arrestation ou de toute autre mesure privative ou restrictive de liberté qu’avec l’autorisation du Bureau de l’assemblée dont il fait partie. Cette autorisation n’est pas requise en cas de crime ou délit flagrant ou de condamnation définitive. La détention, les mesures privatives ou restrictives de liberté ou la poursuite d’un membre du Parlement sont suspendues pour la durée de la session si l’assemblée dont il fait partie le requiert. L’assemblée intéressée

Droit Constitutionnel de l’actuelle République Française Deuxième semestre 29 janvier 2008 CHAPITRE PRELIMINAIRE : ELABORATION DE LA CONSTITUTION DE 1958 Cette constitution a été élaborée suite à une loi constitutionnelle, une loi de révision constitutionnelle due aux difficultés de fonctionnement de la IV République. SECTION 1 : LE CONTEXTE DE LA TRANSITION CONSTITUTIONNELLE Il y a deux raisons qui justifient ce changement constitutionnel, les unes liées aux faiblesses de la IV

suffrages exprimés. Le projet est promulgué le 4 octobre 1958 ce qui donne naissance à la constitution. L’article 89 de la constitution autorise le droit de révision de cette dernière. Depuis 1958, il s’est effectué environ 20 révisions. En cas de projet de loi du président de la république, projet de loi proposé par le 1er ministre, concernant la révision de la constitution, le projet doit être adopté par les 2 chambres et ans les même termes. Le dernier mot revient à l’assemblée nationale en cas de désaccord

STATUT DE ROME DE LA COUR PÉNALE INTERNATIONALE Chapitres 1-3, Articles 1-33 ________________________________________ Préambule CH. I. Institution de la cour (1-4) Ch. II. Compétence, , recevabilité et droit applicable (5-21) Ch. III. Principes généraux du droit pénal (22-33) Ch. IV. Composition et administration de la cour (34-52) Ch. V. Enquête et poursuites (53-61) Ch. VI. Le procès (62-76) Ch. VII. Les peines (77-80) Ch. VIII. Appel et révision (81-85) Ch. IX. Coopération internationale

de démocratie . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . 2.2 La constitution du 4 octobre 1958 . . . . . . . . . . . . . 2.2.1 Origine et contexte . . . . . . . . . . . . . . . . . 2.2.2 Le préambule . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . 2.2.3 La révision . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . 2.2.4 Le contenu . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . 2.3 Le pouvoir législatif . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . 2.3.1 L’assemblée nationale . . . . . . . . . . . . . . . . 2.3.2 Le Sénat

concerne l'extradition vers un autre état et la remise vers la Cour Pénale Internationale. En conclusion, l'idée d'un espace européen justifie le fait que l'action de souveraineté pénale ne puisse plus être bornée aux frontières nationales ; elle doit englober un partage de l'action entre les Etats Membres et l'Union Européenne. L'introduction du mandat d'arrêt européen permet de préserver la fonctionnalité des territoires pénaux, tout en offrant une ouverture vers la construction des solutions supranationales