Common law

e droit international privé dans les systèmes de droit civil (ou conflict of law dans les États de common law) est l'ensemble des règles juridiques qui régissent les situations de droit privé comportant un élément d'extranéité. Les droits nationaux des États ont naturellement vocation à s'appliquer aux situations purement internes à cet État, lorsque tous les éléments de la situation peuvent être rattachés à cet État. En revanche, les règles propres au droit international privé s'appliquent lorsque

séparation des pouvoirs : article 16 de la DDHC, on ne peut pas confondre en une même main le législatif, l’exécutif et le judiciaire. Donc on ne peut pas avoir de justice administrative, les deux étant séparés. Cette application stricte se retrouve en Common Law, dans le système de GB. Ce principe aurait voulu qui fute impossible qu’il y ait une justice administrative. On a reconduit une disposition d’ancien régime «  les fonctions judiciaires sont et demeurerons toujours séparés des fonctions administratives

une prérogative individuelle, reconnue à l’individu sujet de droit et attribuée par le droit objectif (Droit de propriété, de vote, de respect de la vie privée). En Angleterre, il existe deux termes équivalents à ces deux distinctions du droit : Law : Ensemble des règles applicables dans un pays, équivalent du droit objectif en France. Rights : Prérogatives individuelles, équivalents du droit subjectif en France. Il y a une distinction entre la règle de manière générale et abstraite (objectif)

évoluer. En France, où le système de droit est écrit, il en existe plusieurs, notamment les textes fondamentaux, comme la constitution, les traités internationaux, la loi, le décret, l'ordonnance ou encore l'arrêté. Mais dans un système comme celui du Common Law anglais, la mise en écriture officielle du droit n'est pas systématique, en effet celui-ci s'appuie essentiellement sur la jurisprudence et la loi y constitue un cadre. Le juge français ne peut pas créer la loi, mais il est dans l'obligation de

mercatoria. • Ainsi, il y a une « institutionnalisation » de la lex mercatoria. • La Convention de Vienne est aussi une source d’inspiration. • Quelques règles du droit national qui ont offert des solutions (aussi du droit romain, du common law, code de commerce des Etats-Unis, Canada ou de la Chine). 3.4. Application des principes Unidroit Il y a une application par les juges nationaux des principes Unidroit. Les arbitres au sein de la CCI les appliquent aussi. Il y a deux grandes

une question de droit donnée. Philippe Malaurie a dit que « la jurisprudence n’est pas une règle de droit comme les autres mais elle est une règle de droit. Philippe Malaurie est enseignant de droit à l'Université Panthéon-Assas (Paris II). Le common law, de l'anglo-normand « commune ley », est un système bâti essentiellement sur le droit jurisprudentiel par opposition au droit civiliste ou codifié. Dans les pays de tradition romaine, où l'on parle de droit romano-germanique, c'est le principe législatif

l’oppression française.) - D’autres codes sont venus concurrencé le code civil (ex : le « Bürgerliches Gesetzbuch » pour le droit civil allemand). - Le code civil est l’expression de la tradition civiliste qui est aujourd’hui concurrencé par la « Common Law » utilisée dans de nombreux pays anglophones. B) Déclin dû au changement de la société 1) Une fonction de « constitution civile » disparue - Sa fonction de constitution civile n’est plus flagrante. Son esprit général a disparu. Il a

formes de Constitution Jusqu'au 18ème siècle, toutes les constitutions étaient issues de la coutume. La coutume est un mode de formation du droit par des usages dont la répétition engendre le sentiment de l'obligatoire. La Grande-Bretagne, pays de Common Law, est toujours sous une constitution coutumière. En effet, elle ne possède pas de constitution écrite, le juge est le gardien des libertés publiques et il crée le droit au fur et à mesure de ces décision. Nous pouvons dégager 3 principales caractéristiques

contredire l’esprit ou même la lettre du texte constiL alors la coutume est une coutume contra constitutionem vu qu’elle est discutable. En droit public français la coutume prend une place bien moindre que dans d’autre état tel que les pays de Common Law fondé sur la coutume et la jurisprudence ou engrange Bretagne qui n’est que coutume. e) 5ème sources : Les conventions de la constitution Règles non écrites sur lesquelles s’accordent les acteurs du jeu politique. Source politique, droit d’origine

juges, d’avoir peur du "gouvernement des juges", et leur pouvoir normatif n’est pas pleinement reconnu. Pourtant, la jurisprudence aujourd’hui joue un rôle très important, en France comme dans beaucoup d'autres pays notamment dans les pays du Common law . La jurisprudence fait partie intégrale du droit, on ne peut pas en faire abstraction. Mais, en France la jurisprudence conserve un statut ambigu. B/ La rétroactivité de la jurisprudence La jurisprudence est rétroactive car la règle jurisprudentielle