Communication Non Verbale Aide Soignante

l’humour de la pédagogie et de la communication les patients ont participé de manière spontanée (compétence 5) Difficultés et points à approfondir: La première difficulté était d'expliquer à tout un groupe de personnes que je connaissais à peine l'intérêt du lavage de mains. Il m'a fallu maîtriser le stress et la timidité que l'on peut ressentir face des inconnus. Parler en public n’est pas une chose facile, surtout quand on est en situation de stage. Ce qui m'a aidé c'est que j'ai pu faire cela au

où plusieurs interrogations apparaissent : Pourquoi est-il ici ? Où est-il ? Où est sa femme ? A-t-il divorcé ? Mr K semble être lucide et très triste. On répond à ses interrogations en le rassurant, en lui touchant les mains pour faciliter la communication. Son comportement est totalement différent des autres jours, il est en demande et souhaite qu’on reste à ses côtés. Questionnement D’où provient ce changement brutal de comportement ? A-t-il eu un véritable moment de lucidité ? Comment être sur

réflexion sur la posture professionnelle dans la relation soignant / soignée en lien avec une situation, le vécu et les expériences personnelles de chacun. centertop00 Sommaire Sigles et abréviations Introduction Présentation de la structure de stage Présentation de la situation Conclusion Bibliographie annexes Sigles et abréviations AGGIR : Autonomie Gérontologie Groupes Iso-Ressources AMP : Aide Médico-Psychologique A-S : Aides-Soignants AU : accueil d’urgence AVS : Auxiliaire de Vie

l’hôpital. Le service est composé : · Des infirmières · Des aides-soignantes· Des auxiliaires de vies Les soins sont assurés tous les jours de l’année, de 7h à 13h et de 15h à 18h.Le SSIAD est répartis en 12 secteurs, dans chaque secteurs il y a 7 à 9 patients. Les secteurs sont répartis selon les différents endroits à Cayenne. Les aides-soignantes fonctionnent par binôme, et les infirmiers tournent soit seuls soit avec une aide-soignante selon les jours. La journée démarre à 7H00. La situation que

observe chez lui un repli sur soi, une prostration et il ne sort que de la chambre lors de ses séances kinésithérapeute. L'équipe soignant éprouve des difficultés à communiqué avec le patient malgré la présence dans la chambre de l'ardoise magique ( car il a une écriture illisible). Il se plaint des troubles du sommeil auprès de ses amis et non directement à l'équipe soignante. Son traitement : Augmentin® 3fois par jours pour antibio-prophylaxie des surinfections broncho-pulmonaire Atropine® ½

général que la compréhension est la meilleure, mais le nombre de récepteurs est limité à une seule personne. La rétroaction est quasi systématique. Il y a notamment le téléphone, la conversation orale... Mais la communication n'est pas qu'orale. Elle est aussi non verbale. Élève aide soignante,j'ai effectué un stage professionnel en santé mentale avec des personnes âgées qui avaient des troubles de la mémoire. Ceci s'est déroulé dans l'apprentissage de comprendre les conséquences de la maladie d’Alzheimer

lit. Je me présente donc et nous convenons d’une aide à la toilette après le petit déjeuner, je lui dis vers 10h30 car mon autre patiente à un examen (je planifie mes soins en lien avec la compétence2 : pertinence du contenu du projet et de la planification en soins infirmiers) et ainsi Me G pourra se reposer puisqu’elle n’a pas bien dormi. Je signale à l’ide le problème de tachycardie (le médecin sera informé dés son arrivée) ainsi que l’aide-soignant du matin que je prends bien en charge Me G pour

tête à tête avec le soignant. Nous pouvons donc nous rendre compte de l'importance de la toilette. Ce temps où l’AMP se consacre uniquement et entièrement au résident. La toilette, un moment de communication permettant de rompre l’isolement que peut vivre la personne mais aussi d’établir un relation de confiance, essentielle à la réalisation du soin. La communication entre le résident et le soignant peut se traduire sous différentes formes. Tout d’abord la communication verbale, par la parole et

l’existence " (4). La vie dure jusqu’à la mort. L’agonisant reste un vivant à part entière, si âgé fut-il, si dément fut-il. Cela reste vrai même quand les voies habituelles de la communication manquent : le regard, la présence muette, le contact physique, la pression d’une main peuvent répondre à l’impérieux besoin de la communication du mourant quand les mots sont impossibles. Des gestes simples, des comportements mieux adaptés peuvent de beaucoup redonner à la personne âgée qui souffre d’une

tient à cœur, c’est qu’avant d’arriver au sein de la formation en soins infirmiers, j’avais une vision très stricte de la relation soignant-soigné c'est-à-dire que pour ma part, on se devait d’être toujours souriant, à l’écoute, disponible et j’ai été fortement étonnée lorsque je suis arrivée en stage, de constater que ma façon de penser était idéalisée. Les soignants semblaient aigris d’être là, parlaient mal (ils les tutoient, leur donne des surnoms tels que mamie, papi…) aux patients, ne désiraient