Communication Soignant Soigne

désirs sans vouloir imposer ses connaissances. L’orientation de la médecine contemporaine tend vers le bon fonctionnement du corps et non plus l’homme malade. La clinique soignante, qui consiste à adapter les soins à la singularité de la personne, reconnaît sept conditions pour un dialogue optimal. Ainsi, la clinique soignante est fondée sur l’autonomie du professionnel et sa façon d’associer le dialogue et l’ensemble de ses connaissances professionnelles auprès de la personne. ANALYSE On peut

Fiche de lecture : LA QUALITE DU SOIN INFIRMIER Penser et agir dans une perspective soignante Références : Ouvrage technique (essai) sur la pratique soignante et plus particulièrement sur l’organisation du soin infirmier (éditions Masson – 05/2002) Index : - Constats : p12 - Prendre soin : p23 - La démarche soignante : p30 - Qualité des soins : p43 - La qualité : p55 - Déterminants de la qualité : p60 (résumé p 79) - Encadrement infirmier : p83 - Métier de cadre : p84

personne à l’autre et répétant inlassablement la même question. «  Où suis-je ? » et «  qu’est ce que je fais ici ? » Quand elle s’adresse à moi, je suis désemparée, ne sachant quoi répondre. J’hésite entre la réponse employée par les autres soignants ou une tentative d’explication sur les raisons réelles ? Dans un premier temps, pour ne pas laisser Mme N dans l’expectative, je lui délivre une information identique à celle donnée par l’ensemble du personnel. Plus tard, je m’interroge sur la possibilité

qu’avec certains membres de l’équipe soignante, plus particulièrement ceux qui sont là depuis son admission. Il a des difficultés à articuler et « bégaye » fréquemment. Lors de la réalisation des soins chez ce résident, je me retrouvais confrontée à son refus, que ce soit pur la prise des médicaments, la prise des paramètres vitaux, les prélèvements veineux ou les soins d’hygiène. J’ai plusieurs fois essayé de dialogué avec lui mais sans succès. L’équipe soignante avait elle aussi des difficultés à

« La raison en est sans doute qu’il n’y a pas de consentement véritable que lorsqu’est reconnue concrètement l’éventualité d’un refus, et que tout refus de soins crée un malaise dans les équipes soignantes » [1]. Le refus de soins recouvre des situations complexes et très disparates. Les soignants rencontrent des personnes qui ont conservé leurs facultés intellec- tuelles intactes mais aussi d’autres qui souffrent de troubles cognitifs. Les questions qui se posent sont alors : quels comportements

réflexion sur la posture professionnelle dans la relation soignant / soignée en lien avec une situation, le vécu et les expériences personnelles de chacun. centertop00 Sommaire Sigles et abréviations Introduction Présentation de la structure de stage Présentation de la situation Conclusion Bibliographie annexes Sigles et abréviations AGGIR : Autonomie Gérontologie Groupes Iso-Ressources AMP : Aide Médico-Psychologique A-S : Aides-Soignants AU : accueil d’urgence AVS : Auxiliaire de Vie

relation de soignant à soigné. En effet lors de notre marche la patiente dit avoir le sentiment d'être incomprise par les personnes extérieures à son entourage familier car elle pense que la bipolarité est mal connue et cela même des professionnels de santé. Elle dit de comprendre qu'il ne tiens qu' à elle de remonter après chaque période de crise mais qui lui est indispensable d'avoir une présence rassurante à travers un fil conducteur affectif et cela même avec le personnel soignant. Lors de ses

fondamentales de la relation de soin : le soignant et le soigné. III/. Mots-clés personne, douleur physique, souffrance psychique, exprimer, écoute, considération. IV/. Résumé et avis sur le document 1.le résumé Le premier chapitre de ce livre parle de la nécessité, pour guérir la souffrance des malades, de l'écoute du patient dans son ensemble. Selon Edouard Zarifian il est primordial de considérer l'histoire de la personne et tout ce qu'elle peut apprendre au soignant à travers ses paroles. Selon lui

Hesbeen prône un maintien de l’altruisme. En effet, il affirme que c’est dans la relation entre soignant – soigné, « la considération, l’attention, la bienveillance », ou encore le dialogue entre collègues que se fonde l’identité infirmière. Il corrobore son propos en dénonçant la mécanisation, la robotisation de certains milieux hospitaliers, où une certaine « centration sur la tâche » font de chaque soignant de simple exécutants quasiment dénués de pensées, de ressenti. Il met en cause le contexte politico-social

de garder à l'esprit que la maladie mentale est une VRAI maladie. Conception des soins en psychiatrie : La relation soignant-soigné est la pierre angulaire des SI car elle permet l'approche de l'autre en tant qu'individu. Elle est indispensable dans l'élaboration du plan de soin, car cet a travers cette relation que le soignant va pouvoir mettre en évidence les besoins du soigné et donc obtenir la collaboration de ce dernier (pour le traitement par exemple) Dans le milieu de la psychiatrie il est