Comparaison Medee

revision Les figures de styles : La comparaison : deux éléments sont rapprochés à cause d’un point commun. Le rapprochement s’effectue grâce à un mot-outil de comparaison: comme, tel, sembler, pareil à ... Ex : Il est beau comme un dieu. Elle avait des yeux pareils à des agathes. Ce champ de blé ressemble à un océan. La métaphore : il s’agit d’une comparaison sans mot-outil entre deux éléments qui n’ont d’habitude pas de point commun évident. Elle est plus frappante que la comparaison.Ex

bien qu'il ait mis des efforts dans son combat, il est conscient qu'il n'a pas que des chances de réussite. Effectivement, il sème un doute sur son futur. Tout ce qu'il projette dans l'avenir est vague et confus. Il le laisse entrevoir dans la comparaison «Quand j'regarde en avant y a comme un flou dans le temps», qui montre qu'il a de l'espoir, mais qu'il ne peut pas prédire ce qu'il adviendra de lui dans le futur. Il divulgue également la phrase «Si je suis au bout d'la route de ma vie beaucoup

Poésie moderne La poésie qu’on dit moderne (parce qu’elle est d’aujourd’hui, demain ce sera une autre) sort directement du surréalisme par ses images. La poésie moderne nous parle en images. «L’image, dit Pierre Reverdy, est une création pure de l’esprit». «L’image est avant la pensée» écrit » Bachelard. Elle vient de la conscience et le poète moderne écrit en étroite relation avec son être intérieur. Il relie ensemble plusieurs images de la réalité pour en faire jaillir une nouvelle qui séduit

I°) LA COMPARAISON: La comparaison est la figure de style la plus simple et la plus facile à repérer, elle consiste à comparer, avec un mot outil (tel que, comme, semblable à, ... Ex: "elle avait la peau blanche comme la neige." II°) LA METAPHORE: La métaphore est une comparaison sans outil de comparaison, celle-ci est donc suggérée et implicite. Ex: "l'or du soir" (soleil couchant). Une métaphore est filée si elle se poursuit sur plusieurs lignes III°) LA METONIMIE: La métonymie est

LES FIGURES DE STYLES I°) LA COMPARAISON: La comparaison est la figure de style la plus simple et la plus facile à repèrer, elle consiste à comparer, avec un mot outil(tel que, comme, semblabe à)deux objets, sentiments,... Ex: "elle avait la peau blanche comme la neige." II°) LA METAPHORE: La métaphore est une comparaison sans outil de comparaison, celle-ci est donc suggéré et implicite. Ex: "l'or du soir" (soleil couchant). Une métaphore est filée si elle se poursuit sur plusieurs lignes

La métaphore, est une figure de style fondée sur un type particulier d'image sans outil de comparaison « Un balcon en forêt , Son rire de pluie fraîche » Comparaison (féminin) : Une comparaison est une mise en relation de deux termes à l’aide d’un terme comparant (comme, tel, semblable à, etc.) « Belle comme un cœur » Allitération (féminin) : C’est la répétition de sons identiques. À la différence de l’assonance, le terme « allitération » est réservé aux répétitions de consonnes. « Pour qui sont

|Exemple | |Figures par analogie |La comparaison  |La musique souvent me prend comme une mer. | | |Rapprochement de deux éléments avec outil de comparaison |Baudelaire | | |La métaphore

joie autour de la maison » l’oiseau peut crier certes mais on ne sait pas s’il exprime sa joie ou un autre sentiment. Le vers 3 : « tel est le cœur » contribue à faire comprendre aux lecteurs que le martinet est comparé au cœur des hommes. Cette comparaison vise à ce qu’on donne des sentiments au martinet. Au vers 4 le poète donne un pouvoir à l’oiseau : « il dessèche le tonnerre » ce qui rend l’oiseau plus fort aux yeux des lecteurs, il n’est plus qu’un simple oiseau. Le vers 6 « s’il touche le

Obligé de mettre un document donc j'en colle un à l'arrache : (dédicace aux 1erS6 qui passerons ici !) Tout d'abord, le poète voue beacoup d'amour à cette femme.Il l'a qualifie de "très chère" , placé au début du vers pour être mis en relief.Il est accentué par l'adverbe "très" qui connote l'excès.ainsi elle devient une source d'amour qui tarit pas, et le poète en s'y plongeant s'ennivre de ce sentiment. D'autant plus que cette idée de source est exacerbée par le mot "mer"qui connote la profondeur

l’autre, on voit la mort. Mais c’est la réalité ou – plus précisément – la circulation naturelle de la vie. Cela nous montre que Baudelaire était réaliste:  Il décrivait la réalité en détail. On peut constater cela aussi aux lignes 23 et 24: la comparaison ingénieuse du « chant du coq » ( l.24 ) avec « un sang écumeux » est d’un côté dégoutante, mais d’un autre côté on peut voir ainsi que Baudelaire était en même temps fasciné de cette ville nauséabonde. . D’ailleurs, l’adjectif « brumeux » (