Conceptions Cartésienne De L être Humain

C’est au 17e siècle qu’on associe la révolution scientifique et l’importante découverte de Galilée concernant la compréhension du monde et de l’homme. On le décrit également comme siècle de la raison puisque ce fut la fin des croyances en la conception aristotélicienne de l’univers. Galilée amena des hypothèses différentes avec sa nouvelle invention, la lunette astronomique, communément appelée le télescope. Il fut donc en mesure de démontrer qu’Aristote avait tort et que les affirmations émises

empiriste : prétend spéculer sur l’origine de la connaissance et étudier le processus de formation des idées à partir de l’expérience. Les philosophies empiristes distinguent : * Le « donné » : élément simple perçu pr les organes sensoriels d’une être vivant et qui constitue une idée simple * Le « construit » : idée complexe, un composé d’idées simples réalisé au sein de l’entendement La connaissance : * De l’idée simple : certaine * De l’idée complexe : de nature hypothétique et

Article sur le livre de Jean Marie Schaeffer, La fin de l’exception humaine. (Gallimard, 2007) Jean-Marie Schaeffer a fait paraître, en 2007, un livre très profondément révolutionnaire, intitulé La fin de l’exception humaine [1]. Grossièrement résumée, la thèse de Schaeffer pourrait être ainsi énoncée : il n’est plus possible aujourd’hui de maintenir l’idée qu’il existe une spécificité non naturelle de l’homme. En d’autres termes, Schaeffer défend une position naturaliste, mais nuancée d’un refus

Introduction : qu'est-ce qu'un sujet ? Texte d'introduction : texte de Locke tiré de l'Essai philosophique concernant l'entendement humain Ni une chose, ni un ordinateur, ni même un animal ne peuvent se dire : "C'est moi qui suis en train de lire cette page". Seul un sujet peut le faire. Mais quels sont les attributs qui permettent de dire d'un être qu'il est un sujet ? Le terme "sujet" se définit par opposition à celui d' "objet", lequel signifie dans son sens premier : tout ce qui affecte

de l’individu, mais elle donne aussi une direction à son existence. Effectivement, la conscience ne peut être déliée de l’action, soit de la vie en général, d’où le fait que, pour Bergson, la conscience soit coextensive de la vie, les deux allants de paire. En d’autres termes, si l’individu ne vivait pas, la conscience n’aurait de sens aucun : qu’entend-on par « vivre » ? Vivre c’est « être en relation avec ». Nous avons vu, durant le cours, que les logiciens de Cambridge ont révolutionné la logique

afin d'éviter les préjugés et atteindre la vérité. -doute sceptique: douter pour douter, une fin en soi (ne permet pas de tirer de conclusion) -Doute cartésien: méthode qui permet d'atteindre la certitude, la vérité. -les informations données par les sens ne sont pas toujours conformes a la réalité. -l'hypothèse du trompeur. Peut-être il y a un dieu qui nous trompe a chaque fois qu'on est certain d'une chose. -l'hypothèse du rêve. La remise en question du réel de Bertrand Russel

Exposé de littérature : Pascal et la Philosophie (suite à l’étude des Pensées) Pascal, auteur du 17ème siècle, se trouve être en plus d’un scientifique, un philosophe ou du moins un passionné de philosophie. Angoissé par son époque où se passe « la crise des idées », période de remise en cause philosophique due à une absence de point fixe cosmologique et épistémologique (cf cours de philo) il est donc compréhensible qu’il tente de remettre en cause les divers courants qui ont jusque là marqués

Husserl, Méditations cartésiennes : philosophie & méthode 1ère tâche : Quelle est la thèse de l’auteur ? A quelles conceptions de la philosophie s’oppose Husserl ? Il s’oppose à la philosophie littéraire, seulement privée ou scolaire — avec une méthode séparée, c'est-à-dire quand on imite un modèle extérieur ou applique des paradigmes comme des recettes. Pour philosopher faut-il nécessairement adopter une démarche radicale et tout reconstruire soi-même ? Husserl pose la nécessité de relier

humanités en général. En termes de connaissances, les étudiants devront, à la fin du cours, être capables de : -Identifier et comparer les principales traditions de la pensée scientifique et politique moderne (du XVIIe au XVIIIe siècle) ; -Résumer succinctement quelques œuvres étudiées ; -pouvoir les discuter ou les mettre en question. En termes de savoir‐faire, les étudiants devront, à la fin du cours, être capables de : -Commenter de manière analytique et/ou critique un texte philosophique aussi

représentation cartésienne du psychisme humain était insuffisante. Pour Descartes, l'esprit s'identifiait avec la conscience, avec la pensée claire et distincte. On pouvait avoir accès, par la conscience, à tout ce qui se passe en nous, sans possibilité d'erreur (cf. fait que le malin génie ne pouvait nous tromper concernant tout ce qui se passe dans notre esprit). Dès le 17e, un contemporain de Descartes, Leibniz, a répondu à Descartes que cette conception du psychisme humain n'est pas valide