Conceptions Modernes Et Classiques Des Libertés Publiques

la genèse de l’État moderne » qui déboucha sur de nombreuses publications souvent dirigées par Jean-Philippe Genet (notamment les actes de la table ronde des 15-17 octobre 1984 organisée par le CNRS et l’École française de Rome, Culture et idéologie dans la genèse de l’État moderne, Rome, École française de Rome, 1985 ; J-P. Genet et M. Le Mené (dir.), Genèse de l’État moderne. Prélèvement et redistributions, Paris, Ed. du CNRS, 1987 ; J-P. Genet (dir.), Genèse de l’État moderne. Bilans et perspectives

nouvelle et extrêmement moderne d'autoritarisme, étaient la forme achevée du despotisme. De plus, les sociétés totalitaires étaient présentées comme fondamentalement semblables entre elles. On peut y ajouter comme autres aspects pratiques, la prise en main totale de l'éducation pour la baser sur l'idéologie et la mise en place d'un réseau omniprésent de surveillance de l'individu[25]. Une prépondérance était accordée au facteur technique : c’est la technologie moderne qui rendait le pouvoir politique

rebelles" => George III. A partir de 1775 déclaration des droits de l’homme américain qui renouvellent la solidarité entre les colonies et donnent un exposé des motifs de cessation (texte influencé par Locke). Ils invoquent les grands droits de libertés, bonheur, propriété. La guerre dure jusqu’en 1783 avec la Grande Bretagne (aidée par France et Espagne). Affront remporté par USA notamment grâce à la bataille de Yorktown en 1781. 1782 : traité qui règle conflit entre Londres et USA même si Londres

tragédie quant à elle est une pièce qui se caractérise par le fait que le héros se présente comme une victime innocente d’une machination incompréhensible menée par des forces supérieures. I-Paratexte éditorial L’œuvre est publiée aux éditions les Classiques africains, vraisemblement écrite entre 1979 et 1983, elle parait en 1984. L’illustration de la première de couverture est dominée par deux couleurs : - le noir qui renvoie au nègre, obscurité, mort… - le rouge symbole sang, sacrifice

Introduction à la théorie politique moderne La réflexion politique n'apparaît pas, de façon spécifique, avant le monde grec. Même en Grèce, il faut attendre le VIèmee siècle avant Jésus-Christ pour qu'elle se manifeste en tant que telle, et ce n'est qu'avec la civilisation grecque classique que la pensée politique commencera véritablement. L’organisation du vivre-ensemble n’est plus l’œuvre des Dieux mais des hommes, elle fait l’objet d’un savoir « laïc », dirions-nous aujourd’hui. Le monde romain

médiévale : vingt siècles de condamnation morale des pratiques économiques 15 1. Les réflexions économiques dans l’antiquité grecque 2. La pensée médiévale 15 16 5 Princes et marchands à la Renaissance 19 1. Les théories de l’État moderne 2. La naissance d’une « économie politique » 19 21 6 Le mercantilisme : unité et diversité 1. Les hommes 2. La doctrine 3. Les variantes nationales 23 23 23 25 7 Philosophie des Lumières et libéralismes 1. La philosophie des Lumières

ADAM SMITH – LE PHILOSOPHE 0/ INTRODUCTION 0.1/ L’économie politique classique Un courant hétérogène, malgré certains points commun L’économie politique classique pour désigner une multitude d’auteur = trompeur. Cela sous-entend que l’on aurait affaire à une théorie homogène commune. Les auteurs classiques sont svt en désaccords sur un certain nb de points. Exple Ricardo / Smith. Ricardo / Malthus. Les crises de surproductions récurrentes. Pour Malthus elles sont inhérentes au sys capitaliste

sociaux. L'Individus doit être au cœur du droit (liberté, propriété, égalité et sûreté ainsi que le droit au bonheur). Le droit doit être le produit de la Raison et de la volonté des hommes. Ainsi une contrainte peut s'exercer qui si les hommes ont donné leur accord. Ainsi le droit n'est plus la coutume, mais la loi, accepté par les citoyens. Un certains nombre de philosophes ont considéré que l'ont pouvait reconstruire une société à partir de la conception que l'on se fait de l'individu et en repartant

On voit se mettre en place les penseurs fascinés par le marché, les classiques, les néo-classique (fin 18°) et ceux qui vont s’opposer au capitalisme et/ou au libéralisme (dont les marxistes). Cette affrontement structure la « société ». Problème : la pensée éco. n’existe pas depuis la fin du 18°. Il y eu des prémices et l’éco. politique est née au 16° avec les mercantilistes qui précèdent les physiocrates (les pré-classiques). 1/ LES PRECURSEURS. A/ DE L’ANTIQUITE AU MOYEN AGE. LES GRECS

Locke, Mill, Aron, etc.) qu'ils considèrent incapable de garantir la liberté individuel qui constitue pourtant son objectif premier et fragilise la société en favorisant l'individualisme. Ils expliquent que les libéraux considèrent la liberté comme une non-interférence : je suis libre à condition qu'on respecte mes droits fondamentaux et qu'on n'intervienne pas dans ma vie privée. Les républicains pensent, de leur coté, la liberté comme non domination. Il faut que tous soient librés, non menacés par