Concessif

» du Cid (Le Cid, I, 6) « Tempête sous un crâne » de V. Hugo (Les Misérables) La délibération dans une argumentation peut conduire à un plan dialectique. plan dialectique: thèse, antithèse, dépassement de l’opposition plan concessif: Certes … mais, Il est vrai que … mais II. La stratégie argumentative. Comment s’y prendre pour gagner l’opinion de son lecteur ? Le plus souvent la stratégie argumentative associe les modalités précédentes en associant convaincre et persuader

pour un dévot. Car au cours de cette scène Tartuffe va de plus en plus assumer sa faiblesse, telle que dans ces passages : “je ne suis pas un ange” “pour être dévot je n’en suis pas moins homme”, dans ces passages on peut voir qu’il utilise le tour concessif. On peut donc voir qu’au fur et à mesure de la scène, Tartuffe va de plus en plus justifier ces péchés en les

IV) L'argumentation A) Les procédés argumentatifs Convaincre implique de faire appel à la raison du destinataire pour obtenir son accord après un argumentaire (inductif, déductif, critique, dialectique, concessif, par analogie, par l'absurde, etc.) illustré par des exemples personnels ou théoriques. Délibérer revient à examiner de manière commune les différents aspects d'une question, et à y réfléchir afin de prendre la meilleure décision possible qui implique parfois le compromis pour les

faut peser le pour et le contre afin de répondre d'une façon nuancée. Si la réponse est « plutôt oui » on fini par les arguments positifs, si elle est « plutôt non », on fini par les arguments négatifs. Pour cela il faut construire un plan concessif: certes (= il est vrai que...): on reconnaît les aspects valables de la thèse adverse ; mais (= cependant, toutefois...) on affirme sa thèse et tous les arguments qui la prouve On organise ensuite ensuite à l'intérieur de chaque partie les arguments

raisonnement très courante qui fonde une conclusion sur deux propositions posées comme vraies. Exemple : Argument 1 : Tous les hommes sont mortels. Argument 2 : Socrate est un homme. Conclusion : Donc, Socrate est mortel. c) Le raisonnement concessif : L'auteur semble admettre un fait ou un argument qui s'oppose à sa thèse, mais maintient finalement son point de vue. Exemple : Certes, dans le passé, on pouvait connaître quelques accidents dans ses études (concession) ; Mais on arrivait généralement

une différenciation plus grande des individus Partie 2: Cette différenciation est en relation avec de grands stéréotypes Cours BTS Culture générale Rédiger une argumentation Exemple: Le plan par réfutationnouvelle thèse Le plan concessif Ce plan est idéal pour s'opposer à une thèse. Il s'agit d'argumenter contre la thèse proposée et de développer une autre proposition. On consent à dire qu'une partie de la thèse proposée est vraie afin d'en soutenir une autre. On commence

• 2 images pour invalider l'impression de sincérité → « tu prends pour de bon argent », « ma bouche d'accord avec mon coeur » (métonymies) • Raisonnement concessif qui renforce son entêtement → « il y a bien...mais quoique... » ♦ Les justifications de D.J. = l'hypocrisie, mode d'emploi

déduire un même idée...  « l'école est en crise, comme la famille est en crise » = même figure d'autorité Raisonnement critique : mettre en valeur une thèse, en lui opposant une thèse contraire. « certains pensent que... alors que... » Raisonnement concessif : accepter un aspect de la thèse adverse, pour mieux présenter sa propre thèse. Figures de style Procédés : figure de style : la forme, (et le fond), la forme : figures de styles, type de vocabulaire, champs lexicaux, pour en venir au FOND :

(paraboles), à la sagesse des nations (proverbes) à des valeurs symboliques ou culturelles partagées (zoomorphisme, mythes)...Ces arguments sont présentés de manière ordonnée dans le cadre d’un raisonnement (inductif, déductif, critique, dialectique, concessif, par analogie, par l’absurde...) sous forme de plan et d’une progression argumentative (le plus souvent selon la loi d’intérêt : du moins important au plus important où ils sont souvent reliés entre eux par des connecteurs logiques qui jouent le

essentielles)       dégager la problématique (les questions essentielles soulevées par l'énoncé).       Deux grandes catégories de questions       Question ouverte (répondre par oui ou par non)     Invitation à débattre, à délibérer : entraîne un plan concessif en deux parties (thèse ; antithèse)   Relation de concession entre la thèse (certes) et l'antithèse (mais)       Question fermée     Thèse implicite, présupposé dans la question : il faut développer la thèse   Plan thématique / commentaire qui découle