Concessif

mais vous êtes vides » (ligne 22). La conjonction de coordination « mais » marque l’opposition entre les deux propositions ; commençant par une sorte de compliment se poursuivant par une proposition réductrice, s’apparentant ainsi à un argument concessif. L’hyperbole « on ne peut pas mourir pour vous » (ligne 23) met en valeur la rose unique mais dénigre les autres, les montrant comme pas importantes. En outre, la proposition suivante, démontre la spécificité des sentiments : « Bien sûr, ma rose

raisonnement déductif : Idée générale  Cas particuliers  Conséquences Le syllogisme : Type déductif, qui fonctionne en trois temps. Le raisonnement inductif : Qui part de faits particuliers vers une conclusion ou règle générale Le raisonnement concessif : (Du type : Certes… mais) Le raisonnement par l’absurde : Démontre la fausseté d’une thèse, en montrant qu’elle débouche sur des conséquences absurdes. L’argumentation de mauvaise foi : Prétexte L’argument d’autorité : (Texte, persos, opinion

humaines ou spirituelles. [Exemples à valeur d’argu- ment:] La prostituée, le juge corrompu, les licenciements financiers concrétisent cette déshumanisation dont le capitalisme moderne apparaît comme la plus sinistre et terrible engeance. [Mouvement concessif amorcé par « mais »: l’appât du gain n’est pas forcément condam- nable: ] Mais un gain n’est pas seulement financier: s’améliorer, disposer de davantage de temps, réduire l’effort sont appréciables//. [Argument économique et argument sociologique:]

les textes se retrouve un décalage ironique -L'ironie est renforcée par la focalisation interne chez Stendhal et Cohen -Des interventions de la part de l'auteurs brèves et efficaces peuvent ridiculiser le personnage II Dissertation : Plan concessif : I – En effet, montrer la faiblesse d’un personnage peut inciter le lecteur à le mépriser : - Faiblesse peut rendre le personnage inhumain : Robert Merle : « La mort est mon métier » roman biographique romancé.

que »negation restrictive dites aussi exceptiveIci l’éducation particulière donnée au femme est bien la cause de leur poltronnée : pas niéEn revanche toute cause de la poltronée des femmes est niée:la phrase ié que les femmes seraient poltronne de natureARG concessif : concède une part de verité a l’adversaire Athénice concède que les femmes sont poltronnes mais elle affirme que n’est que part d’education=peut changer =arg logique-Que = valeur optative =souhait« nous serons plus méchante que vous » superlatif

bien que, d'un fait ou d'une idée par conséquent… Les liens logiques (ou connecteurs logiques) servent à relier les idées entre elles. Ils indiquent les différentes étapes du raisonnement 2) Les différents modes de raisonnement ♦ Le raisonnement concessif : admettre l'objection d'un interlocuteurs éventuel puis réfuter ce qu'il dit en maintenant son propre point de vue. Liens logiques : certes… mais, c'est vrai… mai, oui sans doute… mais… ♦ Le raisonnement par l'absurde : imagine les conséquences

partie. Ex : « Le clonage, c’est l’avenir de l’homme » Partagez-vous ce point de vue ? 1) Une pseudo-amélioration, un danger bien réel pour l’humanité. 2) Pour une autre conception de l’homme ▪ Le plan distance-adhésion (ou plan concessif) Quand ? Lorsqu’on est fortement en accord avec l’idée énoncée, mais qu’on ne veut pas la défendre sans nuances. Comment ? Dans une première partie, on développe les arguments limitatifs, avant de montrer le bien-fondé de l’idée. Ex : La fugue

* 3e discours (l.50) : « cela est bien dit…mais il faut cultiver notre jardin » * Ironie : se moque du raisonnement absurde de son maitre. * Faut-il connaître tant d’horreur pour goûter un sorbet ? => disproportion. * Raisonnement concessif : oui…mais. * Candide est un personnage complexe, ce qui est inhabituel dans un conte car en général les personnages sont unidimensionnels. b) Une satire de Pangloss égal à lui-même * 1er discours de Pangloss (l.23 à 32) : * Fait

la sagesse des nations (proverbes) à des valeurs symboliques ou culturelles partagées (zoomorphisme, mythes)... Ces arguments sont présentés de manière ordonnée dans le cadre d’un raisonnement3 (inductif, déductif, critique, dialectique, concessif, par analogie, par l’absurde...) sous forme de plan et d’une progression argumentative (le plus souvent selon la loi d’intérêt : du moins important au plus important4) où ils sont souvent reliés entre eux par des connecteurs logiques qui jouent le

facultatif et facilement déplaçable. Il peut prendre plusieurs formes. - groupe prépositionnel : la préposition précise le rapport qui l’unit au reste de la phrase Rapport temporel (après huit heures), spatial (sur la table), causal (à cause du froid), concessif (malgré sa déception)…. - adverbe Ici, là-bas, maintenant, bientôt, joyeusement, apparemment… - proposition subordonnée conjonctive circonstancielle. Lorsque tu auras fini, tu viendras m’aider. Il n’est pas venu parce qu’il est malade. Les principales