Concessif

la nature «dont tu semble vouloir te rapprocher »(l7) ne différencie ni dans le règne animal ni chez les végétaux le rôle de l’homme et de la femme. Dans l’extrait de Femmes, soyez soumises à vos maris, Madame de Grancey utilise un raisonnement concessif à la ligne 10 : «certainement (…) mais » ainsi qu’à la ligne 15-16 où elle intègre dans son argumentation une citation célèbre de Molière qu’elle démentit ensuite. Par ailleurs on observe que dans les Textes de Voltaire et de Simone de Beauvoir

Fils. » + barbe blanche. - « Méchant Dieu » « Du temps que sa barbe était noire, il avait été Jéhovah et je soupçonne qu’Emile est mort de lui, indirectement. Ce dieu de colère se gorgeait du sang de ses fils. » + barbe noire. » + « Mais » concessif. 1 Grand-père - … qui possède des accessoires. Poulou : « Moi, je dépendais de lui pour tout : il adorait en moi sa générosité. » ; « J’étais un fief du soleil, mon grand père pouvait jouir de moi sans me posséder. »  Þ Charles est donc

vante les avantages, Il consacre moins de lignes dans ses vexations. Il fait miroiter aux yeux de Lucien les avantages de cette carrière. « C'est ignoble» → ce métier est sans noblesse (ligne 26) « mais je vis de ce métier » → un raisonnement concessif « moi comme cent autres! » → raisonnement argumentatif, sors l'excuse de la loi générale. « Il m'a été prouvé » → passif impersonnel, Quel initiateur à influencé Lousteau? Il s'agirait donc d'une chaîne? Cependant, derrière Lousteau, le narrateur

ANALYSE LINEAIRE 13 : CHAPITRE 41, « LE JUGEMENT »Publié en 1830, au moment où le romantisme connait son apogée, le Rouge et le Noir, écrit par Stendhal, va dépeindre une société dans laquelle il vit. Ainsi, cette œuvre s’inscrit dans l’Histoire de France comme l’indique le sous-titre « Chroniques de 1830 » .Ce roman réaliste raconte l’ascension de Julien Sorel, fils de charpentier, qui s’élève dans la haute société grâce à son intelligence ambitieuse et sa beauté juvénile. Dans l’extrait que je

| | |• Le raisonnement par analogie | | |• Le raisonnement concessif | | |• Le raisonnement par l'absurde

descriptif, voire circonstanciel (causal, concessif, ou hypothétique, sans être complément). Quand il s'agit d'un groupe nominal, il y a en outre identité avec l'élément dont il dépend, comme pour l'attribut : Rusé, le renard se méfie des appâts. (adjectif apposé à renard) Le maire, un paysan du village, connaissait bien ses administrés. (GN apposé à maire) Ce renard, qui était rusé, ne se méfia pourtant point. (sub. relative appositive, à sens concessif) Remarques : 1) certaines locutions

chers amis (v.15)", interpellation. Essaie de capter la bienveillancce du lecteur, de l'auditeur. • Arguments de valeur: "Je crois que le Ciel a permis (v.16) → se réfère à Dieu, "selon toute justice (v.32)" → se réfère à la justice. • Argument concessif (admet la thèse adverse) • Fin du discours (v.33): de nombreux connecteurs logiques: "car", "selon", qui mènent vers une conclusion logique: "Que le plus coupable périsse (v.34)" → à la 3ème personne, ne concerne pas le lion mais les autres. •

apporte le vice et la mollesse (v.74). Ainsi, la stratégie argumentative du germain passe par la concession (v.30) : il reconnaît la faute des germains que les romains punissent par leur avarice et montre ainsi son objectivité mais ce mouvement concessif lui permet en fait de mieux attaquer les romains dont il amoindrit les exploits notamment (v.31) « Rome est, par nos forfaits, plus que par ses exploits ». De plus, (v.39 à 45), le germain, à travers une accumulation de questions rhétoriques portant

Inductif : part de faits particuliers, d’observations, pour aboutir à une conclusion de portée générale. ( Autrefois, on entreprenait des études de notaire et on devenait notaire donc les perspectives d’avenir étaient bien tracées. • Concessif : le locuteur semble admettre un fait ou un argument qui s’oppose à sa thèse mais maintient finalement son point de vue. ( Certes, dans le passé, on pouvait connaître quelques accidents dans ses études mais on arrivait généralement à leur terme

représenté, soit comme soumis au régime du double, soit comme "coupé" ou "tranché". Mais il se fixe surtout à travers les portraits des personnages, à l’instar de celui de Roubaud. Construit à l’aide de notations antithétiques et de termes contrastifs ou concessifs : "sans que", "mais", le portrait de Roubaud se dégage d’un faisceau de traits contradictoires, de sorte d’oxymores sémantiques réalisant ambivalence et ambiguïté. Ainsi de la "barre de jaloux" qui, à sa première apparition, partage le visage de