Concile De Clermont

l’Eglise (Saint Augustin, Saint Jérôme, Saint Grégoire). Il existe des institutions au sein de ces églises. On a un pape au sommet et des évêques qui se réunissent au sein d’assemblées qu’on appelle les conciles d’évêques. Ils ont adopté des textes comportant des règles juridiques. Les conciles ont voté des canons. Les papes ont prit des décisions que l’on appelle des décrétales. A partir du 4ème siècle, l’église a commencé à recueillir ces canons et décrétales, les consigner dans des collections

politico-religieuses. Au temps médiéval : il faut être religieux. C'est l'activité la plus valorisée qui régit la vie des hommes : voir construction des Eglises, cathédrales, importance des monastères, de la pratique de la foi. C'est aussi à Clermont-Ferrand qu'a lieu l'appel du pape Urbain II à la première croisade en 1095. Les chevaliers francs et les rois de France y participent (Louis VII seconde croisade – Louis IX [Saint Louis] huitième croisade ). De même les ordres des Templiers

les seigneurs font la guerre or les ecclésiastique vont tenir un discours contraire vers l’an 1000 en disant que la guerre c’est mal et c’est contraire à la volonté de Dieux. La guerre est l’occasion de tout les pêchés. Les évêques se réunissent en Conciles pour fixer des règles de guerre. Par exemple à Charroux en 989 ils vont essayer de limiter la guerre en fixant la paix de Dieu et la trêve de Dieu. La paix de Dieu l’idée et que un certain nombre de personne sont en dehors de la guerre et ses personnes

Challons qui luy fist pareillement obéissance, et de là à Rains où il fut grandement acompaigné des seigneurs de son sang et barons de son royaulme, comme le duc d'Alençon, le conte de Vendosme, le sire de Lebret, le bastard d'Orléans, le conte de Clermont, les mareschaulx, l'admiral, le maistre des arballestriers, le sire de Laval et moult d'autres barons. Et fut le roy sacré et couronné à Rains en moult grant solempnité. Et après se partit le roy de Rains et vint à Soissons et de là à Chasteau-Tierry

religieux. Il a connu des difficultés avec ses fils. Texte : Jonas d’Orléans, De l’institution royale. La théorie est plus construite. Jonas d’Orléans (780-842/43), à travers De l’institution royale en 831, a joué un grand rôle dans certains conciles réformateurs notamment à Paris en 829. On trouve que la royauté est un pouvoir institutionnel car établit dans l’Eglise par la loi de Dieu, la manifestation étant l’onction du sacre. Il affirme que «  les fidèles doivent savoir que l’Eglise est le

était un droit coutumier qui va tendre de plus en plus vers des actes écrits, formulés (décrétales), ainsi que les textes qui émanent des grandes assemblées ecclésiastiques : les canons, soit les résolutions rédigés dans les assemblées d’évêques, les Conciles , ce qui forme le droit canon, puis de droit canonique. C) L’apport germanique et franque L’apport des germains et des francs se situe dans deux domaines : 1° : L’apport germanique Peuple du Nord et de l’Est, les germains arrivent

eu une puissance sociale et politique considérable. Elle a ensuite réorganisé profondément son droit. Le droit ancien de l’Eglise et le nouveau droit de l’Eglise en sont des manifestations. Sous l’Antiquité tardive;, l’Eglise est régie par des conciles ou des constitutions impériales. A l’époque carolingienne et avec les coutumes féodales, le droit ancien de l’Eglise avait subi des évolutions. Vers 1140, le droit ancien de l’Eglise fait l’objet d’une codification par Gratien, moine de Bologne.

consacre les thèses gallicanisme religieux expriment la volonté de l’Eglise de France de conserver une certaine autonomie sur les questions d’autre spirituel. L’Eglise de France affirme par-là que les décisions des conciles de France doivent l’emporter sur les décisions du pape. Dans ces conciles la France en cas de conflit avec Rome fixait ses propres règles et s’organiser en cas d’invasion. La France n’est pas la seule nation à s’émanciper de Rome. Un certain nombre de ville italienne font de même en

compléter les décrets (ou canons) en les affinant sur le plan local. Décrétales : Décisions complémentaires prises par le pape, qui ont pour vocation de dégager les modalités d’application et de fournir une explication autorisée des décrets et conciles. Légats : Représentants officiels du pape, ils jugent en appel des sentences rendues par l’évêque ou l’archevêque, enquêtent d’office, peuvent se saisir d’affaires par évocation et leur activité est un puissant facteur de centralisation et d’unification

compléter les décrets (ou canons) en les affinant sur le plan local. Décrétales : Décisions complémentaires prises par le pape, qui ont pour vocation de dégager les modalités d’application et de fournir une explication autorisée des décrets et conciles. Légats : Représentants officiels du pape, ils jugent en appel des sentences rendues par l’évêque ou l’archevêque, enquêtent d’office, peuvent se saisir d’affaires par évocation et leur activité est un puissant facteur de centralisation et d’unification