Concile De Clermont

séparation induit le gallicanisme qui suppose que l’Eglise de la Gaulle est indépendante. Séparation consacrée par la soustraction d’obédience (1398). En 1398 est assemblé un concile (= assemblée d’évêques) à Paris. Il a pour objectif de mettre un terme à la rivalité des papes et de restaurer une unité. La conséquence directe de ce concile est de prévoir que désormais l’Eglise de France ne relève plus de Rome, elle doit gérer ses affaire elle-même avec l’intervention du roi. Roi de France ne cesse d’être

plus en plus va s’exprimer par des actes écrits. Deux cat d’actes écrits : les écrits du Pape les « décrétales », les résolutions qui sont votées dans ces gds rassemblements ecclésiastiques, occasionnels, les Conciles. Adoption des textes, des résolutions, les « Canons », lors de ces conciles, le dr canon ou canonique. C – L’empreinte germanique et franque 1. L’apport germanique a) Germains et pouvoir Germain vient de « germanius » les voisins. Soit les voisins des Gaulois. L’arrivée des Germains

par ses origines à ce vieillard misanthrope en manque d'amour et de reconnaissance. Une leçon d’humanisme et de tolérance sur fond de vie quotidienne dans la France profonde des années 1943-1944. Le chagrin et la pitié de Marcel Ophuls (1969) Clermont-Ferrand et l’Auvergne, pendant les années 40 à 45, la guerre, la défaite, l’occupation allemande, le départ de l’occupant, la résistance triomphante, la fin de la guerre. Les images de l’époque, bandes cinématographiques des archives les plus diverses

siècle, des assemblées d'évêques se multiplient : les conciles. Ces conciles fixent des règles pour l'Eglise mais également pour l'Empire puisque la religion est officielle. Les conciles fixent des règles que l'on nomme des canons qui donnent naissance à un droit nouveau : le droit canonique. A compter de la fin du 4ème siècle, l'évêque de Rome, le patriarche que l'on commence à appelé Pape commence à légiférer en plus de la législation des conciles . Pour légiférer, le Pape copie l'attitude législative

sorciers, et des juges assez imbéciles et assez barbares pour les condamner aux flammes. Vous auriez vu une jurisprudence établie en Europe sur la magie, comme on a des lois sur le larcin et sur le meurtre: jurisprudence fondée sur les décisions des conciles. Ce qu'il y avait de pis, c'est que les peuples, voyant que la magistrature et l'Église croyaient à la magie, n'en étaient que plus invinciblement persuadés de son existence : par conséquent, plus on poursuivait les sorciers, plus il s'en formait

sorciers, et des juges assez imbéciles et assez barbares pour les condamner aux flammes. Vous auriez vu une jurisprudence établie en Europe sur la magie, comme on a des lois sur le larcin et sur le meurtre: jurisprudence fondée sur les décisions des conciles. Ce qu'il y avait de pis, c'est que les peuples, voyant que la magistrature et l'Église croyaient à la magie, n'en étaient que plus invinciblement persuadés de son existen­ce : par conséquent, plus on poursuivait les sorciers, plus il s'en formait

de nouvelles lois, qui vont venir créer du droit. En outre à coté de la loi voté par les comices, se développe les plébiscites, c’est comme une loi sauf que c’est pas voté par les comices, mais voté par les plébéiens au sein d’une assemblée: le concile de la plèbe, mais par définition ce texte qui fonctionne comme une loi, ne peut pas s’appliquer comme une loi. Les plébiscites ne s’appliquent qu’aux plébéiens. Les plébéiens ont organisé leurs propres institutions, qui ont fusionnées avec les

instructions, jugements, consultations des empereurs – étaient des lois de même autorité que les lois comitiales, qui étaient adoptées par les comices, les assemblées du peuple romain du temps de la République, ou que les plébiscites, adoptés par les conciles de la plèbe. Plus étonnante encore est la présence, dans les définitions de la loi que donnent Papinien et, avant lui, Démosthène, de l’opinion des prudents. Les jurisconsultes romains ont toujours donné des consultations

le Pape Grégoire IX accorde des privilèges à l’université de Paris. L’université ne relève plus de la justice du Roi mais de celle de l’église. Blanche marie Louis IX avec Marguerite de Provence, ils auront 11 enfants, dont le 6e Robert compte de Clermont est l’ancêtre du futur Henri IV. 2. Louis IX achève les guerres. Contre l’Angleterre. Il rend à l’Angleterre, le Périgord, la région du Persi, la région d’Agen et une partie de la Saint Ange. En contre partie le Roi d’Angleterre renonce à ses prétentions

sorciers, et des juges assez imbéciles et assez barbares pour les condamner aux flammes. Vous auriez vu une jurisprudence établie en Europe sur la magie, comme on a des lois sur le larcin et sur le meurtre: jurisprudence fondée sur les décisions des conciles. Ce qu'il y avait de pis, c'est que les peuples, voyant que la magistrature et l'Église croyaient à la magie, n'en étaient que plus invinciblement persuadés de son existence : par conséquent, plus on poursuivait les sorciers, plus il s'en formait