Concile de Constance

212 : Edit de Caracalla, qui accorde la citoyenneté romaine aux habitants de l’Empire. Dynastie des Constantins : (306, 363 ap J.C) Les empereurs Constantins : Constantin, Constance II en Orient, Julien. 313 : Edit de Milan qui accorde la liberté de culte aux chrétiens. Baptême de Constantin sur son lit de mort. 325 : Concile de Nicée qui fixe le crédo : « Nous croyons en un seul Dieu, Père tout-puissant, Créateur de toutes choses visibles et invisibles ; et en un seul Seigneur Jésus-Christ,

Il pourra cependant rentrer à Florence en 1514, où il se consacrera à l’écriture jusqu’à sa mort en 1527. Son essai ne sera publié qu’en 1532, à titre posthume, mais il sera mis à l’index en 1559, censure entérinée en Italie en 1564 à l’issue du Concile de Trente. Cet essai philosophique débute par une respectueuse dédicace : « Il ne faut pas que l’on m’impute à présomption, moi un homme de basse condition, d’oser donner des règles de conduite à ceux qui gouvernent. Mais comme ceux-ci ont à considérer

plus permise envers la force de ce formidable empire. Les souverains s'échangèrent des lettres, dans le but de s'unifier et de combattre ce nouvel ennemi, mais les informations circulaient mal. La première réaction occidentale fut de convoquer un concile. En 1245 à Lyon, c'est le remedium contra Tartaros qui fut à l'ordre du jour, avec l'étude des mesures pour enrayer le danger mongol. Ce qui permit l'envoi de gens vers ces contrées lointaines et inconnues… Pourquoi des gens comme Guillaume de

de tous les citoyens = régime politique collégial. 1- Les organes du pouvoir Le régime républicain romain combine 3 organes: - Coniss : les Assemblées qui réunissent l'Ensemble du peuple. La Plèbe. Autres type d'Assemblé : les conciles de la Plèbe : ne réunissent que des plébéiens. Voter loi, élire magistrats Le Sénat: il rassemble l'ensemble des magistrats sortis de charge. Rôle fondamental. Le Sénat confère un pouvoir: l'autorité du Sénat. Les magistrats: puissance

devenir une réalité institutionnelle comme on peut encore le constater aujourd’hui. Elle va d’abord s’organiser en interne autour des évêques qui vont conduire cette église au niveau local et dont la réunion va déboucher sur ce qu’on va appeler les conciles dès 325. Il s’agit de parfaire l’organisation de l’Eglise, d’affirmer la discipline ecclésiastique qui doit s’imposer aux représentants de l’Eglise. L’évêque de Rome va progressivement imposer sa prépondérance. L’édit de Thessalonique proclame le

particulier pour l’histoire du droit, ce siècle, notamment sa seconde moitié, apparaît plutôt comme un extraordinaire moment de maturité : les temps sont mûrs pour recueillir les fruits de tout ce qui a été semé par le haut Moyen Age, lentement mais avec constance. Commençons par les données structurelles : A la fin du XIe siècle, le paysage agraire d’une bonne partie de l’Europe occidentale fait l’objet d’une mutation significative. Les défrichements tenaces qui ont commencé en Flandre, en Normandie, en Beaujolais…

traduit d'une part l'habitude, mais aussi l'action dans le passé. Au cours des six cents premières années de notre ère, la réincarnation était une notion admise par le Christianisme. De nombreux Pères de l'Eglise l'ont enseignée et ce n'est que lors du Concile de Constantinople, en 535 qu'elle fut contestée et ensuite niée pour des raisons de politique théologique. Nous ne pouvons donc pas en déduire la position personnelle de l'écrivain. Cela dit il existe une certitude : Ce dédoublement de la personnalité

une doctrine inspirant toutes ses actions, il vaut peut-être mieux avoir recours aux idées de famille et à une tradition bi-millénaire d'inspiration et d'imprégnation chrétienne. Parti interclassiste, mais indépendant de l'Église, surtout depuis le Concile, elle correspond bien sociologiquement et idéologiquement à des aspirations anciennes et profondes d'une partie importante de la société italienne. Citer ce document / Cite this document : Lucet Charles. Existe-t-il une doctrine de la Démocratie

archiépiscopal de Reims Arnoul, un fils bâtard de Lothaire. Il pensait ainsi se rallier le parti carolingien, qui soutenait toujours Charles de Lorraine. Arnoul livre Reims au Carolingien, trahissant ainsi à son tour le roi, qui le fit déposer par un concile en 991. Gerbert fut alors, enfin, élu archevêque de Reims(1). Dans le même temps, son influence sur Otton III s’accroît. Après la mort d’Hugues Capet, en 996, l’empereur confie à Gerbert, en 998, l’archevêché de Ravenne. Désormais Gerbert ne quittera

contre les troupes de Frédéric Ier Barberousse. Ce dernier sera contraint par la suite de reconnaître le pape Alexandre III lors du traité de paix signé à Venise, en 1177. Toutefois, il fera épouser à son fils, Henri VI, l’héritière de la Sicile, Constance, mettant une fois de plus en danger la souveraineté pontificale. Voir aussi : Dossier histoire des Etats pontificaux - Barberousse - Alexandre III - Dossier histoire de la Lutte entre le sacerdoce et l'Empire - Histoire du Moyen-Âge 1190