Concile de Constance

territoire romain. La doctrine chrétienne, les règles d’organisation de cette Eglise vont être arrêtées lors de conciles œcuméniques et en dehors de ces conciles par les Vaques. Le Pape n’est que l’évêque de Rome. Le concile se tient en Europe en 325 après J.C. cette institution du concile va demeurer jusqu'à l’heure actuelle : concile du Vatican 2 au 20ème siècle. Les décisions prises par le concile s’applique à l’ensemble de la chrétienté, les évêques doivent faire respecter les règles (sur le droit canonique=droit

territoire romain. La doctrine chrétienne, les règles d’organisation de cette Eglise vont être arrêtées lors de conciles eucuminiques et en dehors de ces conciles par les Vaques. Le Pape n’est que l’évêque de Rome. Le concile se tient en Europe en 325 après J.C. cette institution du concile va demeurer jusqu'à l’heure actuelle : concile du Vatican II au XX ème siècle. Les décision prises par le concile s’applique à l’ensemble de la chrétienté, les évêques doivent faire respecter les règles (sur le droit canonique=droit

Cette ville de Constantinople prendra le nom d’Istanbul. La rupture sera définitivement consommée. c. L’arbitrage chrétien : le concile : On a à l’Ouest un monde divisé où on a des Etats en voie de formation, dirigés par la religion catholique : spiritualité commune. Création d’une procédure qui saura s’imposer : l’arbitrage, et il prendra la forme de concile. Le concile dispose d’une espèce d’arme absolue : l’excommunication La chrétienté a joué le rôle d’un ordre juridique international 2) L’idée

andie, qui deviendra roi d'Angleterre. Cette  affaire n'est qu'un accident dans le parcoure qui sera éclatant de la royauté française. Le roi de  France se rapprochera alors du conte de Toulouse qui se mariera avec sa sœur et lui même épousera  Constance la cousine du conte de Toulouse. Toujours pour stabiliser leur pouvoir, les rois Capétien  vont utiliser une longue tradition. III ­ Un roi sacré. Tous vont recevoir l'onction du sacre qui va devenir d'une complexité et d'une richesse de plus en 

l'héritage romain, la conception germanique et la conception romaine du pouvoir. Dans ce mélange, il y a un élément qui va devenir indissociable: c'est l'apport de l'église car elle apporte son propre droit issu de la doctrine chrétienne, de ces premiers conciles à l'ensemble. Le droit romain repris par les carolingiens, le tout mis en conformité avec les éléments fondamentaux de la doctrine chrétienne: C'est ce qui va constituer le droit romano-canonique. Cette législation royale carolingienne va être elle

apôtre. Cette imposition des mains donnait l'Esprit saint. La confirmation va se séparer peu à peu du baptême. Le premier témoignage signalant que l’évêque va imposer les mains à ceux qui ont été baptisés antérieurement date de 380 ; mais déjà le Concile d’Elvire (Espagne, vers 300) reconnaissait la nécessité d’une "perfection du baptême" par l’évêque si le baptême a été conféré par un diacre. L'extension de l’Église dans les campagnes venant empêcher l’évêque de célébrer lui-même tous les baptêmes

de l’âge de l’épouse, l’union ne tient que 3 ans. Il se remarie avec Berthe, veuve du comte Eudes de Blois. Mais Berthe est sa cousine et l’Eglise s’oppose à ce mariage, il sera même excommunié 5 ans. Cependant l’union est stérile alors il épouse Constance, fille du comte Guillaume d’Arles, qui lui donne 4 fils. Celle ci est une maîtresse femme qui multipliera les intrigues de cour. Cela révèle une évolution des pratiques du mariage et de l’hérédité depuis 888. On relève la promotion de l’épouse qui

propre doctrine, à partir de la Bible. En revanche, les chrétiens catholiques pensent qu'il faut être guidé par l'Eglise de façon claire. La certitude peut aller dans certains cas jusqu'au dogme (vérité que l'on ne peut renier), prononcée par un concile, ou par le Pape en vertu de l'«Infaillibilité Pontificale». Sacerdoce universel Principe, que Luther considère comme central, de la Réforme protestante[3], selon lequel chaque baptisé est « prophète, prêtre et roi » sous la seule seigneurie du

secondé par deux césars. Edit de tolérance en 311. Il faudra attendre Constantin, il va en faire une religion licite : édit de Milan 313 qui autorise la religion chrétienne. Lorsqu’il va réunir les deux empire, l’édit va se répandre dans tout l’empire. Concile de Nicée en 325 : ils décident de ce doit être la religion. Les autres seront des hérétiques. Lorsqu’un empereur prend cette décision, il intervient dans la sphère spirituelle. Les enjeux de ce pouvoir est : qui doit conduire le peuple ? Lorsqu’il

constituer un patrimoine : elles s’enrichissent rapidement. Au sein de l’empire, c’est un véritable pouvoir pour l’Eglise chrétienne. Qui doit gouverner l’empire ? L’empereur ou l’évêque ? Dans un premier temps, réponse est l’empereur En 325 : le concile de Nicée réuni sur ordre de Constantin : plus qu’un seul dogme chrétien. St Ambroise évêque de Milan : impose à l’empereur une pénitence publique et s’incline devant l’autorité de l’évêque. Il existe une osmose entre religion et empire. Les rois