Concile de Constance

critique très sévèrement l’action de Philippe le Bel lui reprochant d’opprimer ses sujets, d’être un faux monnayeur, de se saisir des biens de l’église et de juger les clercs ; il annonce de plus au roi qu’il est convoqué à Rome pour y être jugé par un concile d’évêques de France. Philippe le bel, va se servir de l’opinion publique, et fait publier la lettre pontificale en déformant le contenu pour rendre la lettre particulièrement odieuse aux yeux des français ; en même temps il publie la réponse royale

croître. 2) Le poids des docteurs dans les décisions L’influence des docteurs, parallèlement à ce bouillonnement intellectuel, va crescendo. Cette tendance renforce donc davantage l’effritement du système clérical. Qui plus est, depuis le Concile de Constance en 1414, des docteurs assistent à ces assemblées. Dès lors, leur proportion sera de plus en plus importante par rapport aux évêques et aux abbés, sans compter qu’ils occupent des fonctions stratégiques de conseillers. Le rapport de force se

l’hémicycle qui englobe le jardin. Au milieu il y a un espace qui est creusé autour de fontaine architecturée (= des nymphées). Sur la voûte de ce péristyle on trouve une ornementation végétale qui s’inspire d’édifice paléochrétien (mausolée de sainte constance : la vie, le renouveau de la nature) toutes ses compositions sont structurées autour d’un axe traversant. L’extrémité du jardin forme une sorte de pièce à ciel ouvert qui accueille les éléments naturels. Composition à plusieurs niveaux         

c- l’arbitrage chrétien, le concile L’Europe repose sur un principe commun : une organisation spirituelle commune. Mais pas que spirituel, les autorités religieuses vont inventer une institution juridique, le concile, qui sert à réaliser une forme d’arbitrage chrétien. Consilium : assemblée – Le concile est une assemblée religieuse, qui a pour but de concilier les opinons divergentes de toute sorte. Il existe 2 types de concile : les conciles régionaux réunissant les évêques

au point de vue disciplinaire; l'organisation de l'Église tend à être calquée sur celle de l État. L'autorité dogmatique appartient au concile, convoqué et présidé par l'empereur, constitué en principe par l'ensemble des évêques de la chrétienté. En fait, le concile de 786 (concile de Nicée, restaurant le culte des images et des reliques) est le dernier concile oecuménique. Le principe collégial s'étend aux cinq patriarches (Rome, Constantinople, Antioche, Alexandrie, Jérusalem), Rome n'ayant que

l’Occident latin à combattre les troupes des trois califats musulmans: reconquista lente mais régulière en Espagne; Las Navas del Tolosa (1212); 8 croisades en Orient (1095 - 1270); la première est lancée par le pape Urbain II (1088 - 1099) lors du concile de Clermont en septembre 1095; la dernière s’achève avec la mort du roi St Louis sous les murs de Tunis en 1270. L’établissement d’un nouvel ordre politique est plus lent. Jusque vers 1150, l’aristocratie est puissante et la réalité du pouvoir se

Istanbul. c] L’arbitrage chrétien, le concile. Un certain nombre d’effort envers les monarchies en construction. Les autorités religieuses de l’époque vont inventer une procédure juridique qui est le concile. Cette institution sert à réaliser un arbitrage. Le concile est l’assemblée des autorités religieuses, les évêques qui ont pour but de concilier toute diversité [dogme, liturgie,…]. Concile régionaux : évêques d’un pays, d’un Etat. Concile œcuménique : tous les évêques du monde chrétien

un César à qui ils vont confier la défense d'un groupe de province. Dioclétien choisit Galère à qui il confie quelques provinces d'Europe centrale et qui va s'installer dans deux villes qui sont Sirnium et Thessalonique. Maximien, lui, s'adjoint Constance Chlore à qui il va confier les provinces gauloises. Chacun des Augustes adoptent son César. Ce régime de la tétrarchie est en fait le fruit du réalisme politique. Dioclétien s'est adapté aux circonstances. Ce n'était pas a priori un plan préconçu

. *Connaissance, amour et docilité au magistère de l’Église :  « Pour former leur conscience, les chrétiens sont  grandement aidés par l’Eglise et par son Magistère,  ainsi que l’affirme le Concile : « Les fidèles du Christ, pour se former la conscience, doivent prendre en sérieuse considération la doctrine sainte et certaine de l’Eglise. De par la volonté du Christ, en effet, l’Eglise catholique est maîtresse de vérité ; sa fonction est d’exprimer

récitation du chapelet". Quelques théologiens progressistes avaient mené une campagne contre le chapelet, rabâchant toujours les mêmes griefs éculés : la récitation monotone de formules toutes faites ne convient plus à la mentalité moderne ; après le Concile, le chapelet est dépassé, etc. Plusieurs revues et journaux réagirent vigoureusement, organisant une contre campagne pour exalter la beauté et l'utilité du rosaire, et même pour demander que les évêques portugais réclament à Rome sa «reconnaissance