Concile de Constance

toute l'étendue de ses forces, et un joug salutaire pour comprimer des penchants qui l'avaient maîtrisé jusque-là. Il se sentit donc attiré aux idées chrétiennes, d'abord par ce vide que laisse en nous le désordre, et ensuite par le spectacle de la constance que déployaient les martyrs, en mourant pour la défense de leur foi. La raison lui disait qu'il fallait en croire des témoins, si héroïques et si sincères, et qu'il n'y a qu'une conviction profonde qui souffre et meure pour des faits et des principes

c’est de leur devoir de témoigner. Ils témoignent aussi de par leur espoir de la faiblesse des hommes et ne peuvent rien espérer en dehors du secours de dieu. Quel est le signe par excellence de l’histoire du judaïsme. ? Exil, c’est un peuple en constance migration (Delenze). Le temple est ambulant car peuple migrateur. Cet exil est à l’image du destin des hommes, exilés cause du péché, éloigné de l’amour de dieu. Dans le message de la religion juive, il y a dès l’origine un message d’universalisme

appelle le droit CANONIQUE qui se compose de l’ancien et du nouveau testament avec ses regles, auxquelles s’est ajouté la PATRISTIQUES qui correspond aux ecrits des peres de l’eglise comme St Augustin. Les CANONS CONCILIAIRES sont les décisions des CONCILES qui sont des assemblées d’eveques qui se reunissent pour apporter des solutions aux questions touchant la discipline et la foi chrétienne. Les DECRETALES PONTIFICALES sont les décisions du pape. Jusqu’au 16eme siecle, le droit canonique s’applique

d'Aquin lui-même, indépendamment des développements historiques induits par sa réception. En 1879, le pape Léon XIII, dans son l'encyclique Æterni Patris, a déclaré que les écrits de Thomas d'Aquin exprimaient adéquatement la doctrine de l'Église. Le concile Vatican II (décret Optatam Totius sur la formation des prêtres, no 16) propose l'interprétation authentique de l'enseignement des papes sur le thomisme en demandant que la formation théologique des prêtres se fasse « avec Thomas d'Aquin pour maître »

étapes : 313 : c'est tout d'abord l'empereur Constantin qui établi la liberté religieuse au profit des Chrétiens. Constantin n'est pas lui même Chrétien, il ne se fera baptiser que peu avant sa mort. Après Constantin, l'empereur Constance (337-361) apporte son soutien à l'hérésie arienne. De 364 à 378, l'empereur Valens, arien, persécute les chrétiens orthodoxes. Cette période de flottement va s'achever avec l'empereur Théodose qui en 380 déclare le Christianisme religion

en 378 = après la bataille les Wisigoths sont fédérés et maitre de la Thrace qu’ils fédèrent eux même = les généraux passent sous le commandements des romains · De la Thrace à l’Espagne : l’empereur constance donne un royaume autour de Toulouse aux Wisigoths et Clovis les poussent vers l’Espagne à la Bataille de Vouillé · Concurrence entre fédérés : Vandales + Alains + suèves = les Wisigoths les poussent

collaboration car l’Église a besoin de l'empire pour se conforter. Il existe en effet à cette période de nombreuses croyances. Pour garantir l'unité de l’église et limiter les hérésies, il faut collaborer. En 325, l’empereur Constantin a réunit un concile de Nicée, un concile est un rassemblement d’évêques qui a pour vocation de créer des règles (des « canons »). Il ne voulait que les évêques pour fixer le dogme chrétien. Il a servit à condamner l'Arianus, on constate que même avant 380, les empereurs interviennent

que le pape Grégoire IX créa Le Tribunal d'Inquisition, placé sous le contrôle de l'ordre des Dominicains. D'abord présentée comme un organisme judiciaire temporaire, l'Inquisition a été transformée en établissement régulier et permanent par les conciles du Latran (1215) et de Toulouse (1229). Toute personne pouvait être poursuivie sur simple dénonciation, l'essentiel pour les juges étant d'obtenir l'aveu des inculpés, ce qui, à partir de 1252, les amena à utiliser la torture. Par son action brutale

touillure donc pas une propriété, évoque le retour du fief au seigneur. Le principe général de cette évolution est très simple il tient a un mot : le lignage. La lex salica est portée à la défense du lignage, on cherche la continuité avec une constance, tout devient héréditaire : le roi et ses sujets, le seigneur et ses vassaux. Etapes de cette patrimonialisation : Le droit de relief est une redevance, il est en moyenne un an de revenu du fief. Dans le premier cas, le vassal meurt et laisse

romains qui concernent l’Eglise. Puis ensuite il y aura des sources qui vont bougés, évolués, il s’agira de la coutume, des décrétales (acte législatif qui viennent du pape), et ensuite nous avons également les règles de conciles. Et durant cette période il y eu de grand conciles qui ont essayé d’adapter les règles de l’église aux nécessités de la vie local. Et très tôt ces sources qui été d’origine varié, ont été réunis dans les versions canonique, elles ont été réunies dans les classements de sources