Concile de Constance

mérovingienne Sa structure reste la même que celle de l’Eglise antique jusqu’au VIIe s. , quand elle commence à chanceler, à se désorganiser. Certains diocèses n’ont plus d’évêques, d’autres en ont deux, l’autorité du métropolitain se dissout, les conciles disparaissent. Le monachisme va compenser cette dislocation progressive. Ce mouvement vient de l’Orient, où des religieux partent en ermites dans le désert et se transforme chez nous au VIe s. Des moines se retirent du monde pour vivre en communautés

perpétrés sur leur route jusqu’aux massacres et aux pillages (celui de Jérusalem, en 1099). Au total, quatre croisades ont lieu entre la fin du XIe siècle et le début du siècle suivant. La première est prêchée le 27 novembre 1095, au dernier jour du concile de Clermont, par le pape Urbain II. Son appel connaît un retentissement inattendu dans la Chrétienté. Il soulève les foules, entraînées par des prédicateurs populaires (comme Pierre l’Ermite) ; c’est la " croisade populaire ". Mais ces quelques dizaines

reconnu. * Les différentes sources du droit canoniques, proviennent tout d’abord des conciles, des décrétales des papes et de différentes collections, qui viennent compiler les diffèrent textes canoniques. a) La législation conciliaire : formée des assemblée, les synodes, hiérarchise le catholicisme pour trancher des problèmes de dogmes ou des problèmes ces assemblés se réunissent a divers échelons. Le concile CUMENIQUE rassemble des règles de valeur universelles qui valent pour l’ensemble de

(le 2nd empereur), Galère (1er césar) et Constance Chlore (2e césar). Le but du système, c’est de mettre fin aux guerres de succession, les deux augustes s’engagent au bout de 20 ans à abdiquer au profit des deux césars. Au bout de 20 ans, Dioclétien et Maximien abdiquent. Le problème, c’est que dès 306, Constance Chlore décède de mort naturelle et l’armée de Bretagne (actuellement Grande Bretagne) décide pour succéder à Constance Chlore le fils de Constance Chlore : Constantin. Il est avec son armée

se désorganiser. Le rôle de l’évêque : - Préside à la communauté de prêtre - Les églises mineures sont soumises à son contrôle Certains diocèses n’ont plus d’évêques, d’autres en ont deux, l’autorité du métropolitain se dissout, les conciles (assemblées organisées pour débattre de l’adaptation des règles applicables à la communauté des fidèles) disparaissent. Le monachisme va compenser cette dislocation progressive. Ce mouvement vient de l’Orient, où des religieux partent en ermites

joint à l’esthétique : « j’ai vu autrefois un de vos temples », dit-il, « pourquoi peignez-vous Dieu avec une grande barbe ?». Le théologien, fort compétent, sait que la réponse n’est dans aucun commentaire patristique, aucune bulle, aucun Acte de concile : « c’est une question très difficile » concède-t-il, « et qui demande des instructions préliminaires ». Et le barbare scythe, enfin débarrassé des théologiens, s’en retourne en famille chanter les louanges du dieu des simples. Voltaire réussit là

Lombardie, arrivera à grouper 1 500 Élus ou Parfaits. Or, un document copié sur les registres de l’Inquisition de Carcassonne portera ce titre : « Ceci est le secret des hérétiques de Concorezzo, apporté de Bulgarie par l’évêque Nazaire. » Enfin, un concile, tenu à Saint-Félix-deCaraman, en Languedoc, durant l’année 1167, par les dualistes albigeois, sera présidé par le diacre bogomile Niquinta, ou Nicétas, venu exprès de Constantinople. Ces deux faits prouvent des rapports entre dualistes balkaniques

Lombardie, arrivera à grouper 1 500 Élus ou Parfaits. Or, un document copié sur les registres de l’Inquisition de Carcassonne portera ce titre : « Ceci est le secret des hérétiques de Concorezzo, apporté de Bulgarie par l’évêque Nazaire. » Enfin, un concile, tenu à Saint-Félix-de-Caraman, en Languedoc, durant l’année 1167, par les dualistes albigeois, sera présidé par le diacre bogomile Niquinta, ou Nicétas, venu exprès de Constantinople. Ces deux faits prouvent des rapports entre dualistes balkaniques

tas de gens=fléau pour les campagnes. D’où une réaction pour essayer de les limiter émanant des églises et laïcs. * L’intervention de l’église * Paix de Dieu=résulte d’un concile de Charroux tenu près de Poitiers en 989, 2 ans après l’élection d’H.C Le pape Urbain 2 va la déclarer universelle lors du concile de Clermont en 1096. Elle a pour but de soustraire à la guerre certaines catégories de personnes inattaquables, les femmes et les enfants, les clercs et enfin les laboureurs (car y

est bien structurée et bien entretenu. L’essentiel des revenus d’une église reposait sur une institution qui s’appelle la dîme. (Latin : dîma), contribution obligatoire versait par touts les pratiquants, au service de l’Eglise locale. Des 567, un concile (de Tours) invite les fidèles à réserver au clergé, une partie des fruits du sol. Sans en déterminer la quantité, et sans en faire une obligation, c’est juste une invitation. C’est sous Charlemagne, par un capitulaire en 802 que la dime devient obligatoire