Conciles bouddhiques

de Caravage, celle ci est tout de même apprécier par un bon nombre de personne. Le succès de Caravage vient aussi du fait que au XVI e siècle, la religion protestante s'étend. Pour lui résister, l’Église catholique demande aux artistes, après le Concile de Trente, de faire des œuvres dont le message soit clair, afin que les fidèles le comprenne plus facilement. Il en est donc finit des images de Michel Ange, pleine de référence et de couleur artificielles. Un exemple : le Souper à Emmaüs. (diapo)

des grands artistes de la Renaissance qui peuvent ainsi échanger des idées et des styles. Face à la montée en puissance du protestantisme, l'Église catholique fait sa propre réforme (la Contre-Réforme) en s'inspirant des idées des humanistes. Le concile de Trente en fixe les principes, mais arrive trop tard pour éviter le schisme. Il donne à l'homme une plus grande place dans l'ordre divin. Le croyant peut se dépasser en accomplissant de grandes œuvres et de bonnes actions. L'Europe est divisée

disparaitra au cour du XVIIIème sicèle, laissant place au rococo. Nous allons maintenant voir pourquoi ces deux styles ont été si longtemps opposés. À la suite de la Réforme protestante, le concile de Trente (1545-1563) tente de donner un nouvel élan au catholicisme avec la Contre-Réforme. Par les consignes du concile visant la peinture, les peintres se voient obligés de respecter les Écritures bibliques à la lettre dans leurs représentations. L’art officiel devient une déformation de l'art de Michel-Ange

plus aux Consulats. La réforme catholique Dès 1567 on attestait à un incontestable renforcement de l’influence du Consulat. De plus, des laïques se sont mis à participer à la rénovation religieuse. Les ordonnances royales et les décrets du concile de Trente ont rétabli la discipline. Mais, de véritables animateurs du renouveau catholique, étaient les jésuites. Ils étaient au premier plan dans les trois domaines : la prédication, le livre et l’enseignement. Leurs sermons traitaient des sujets

dans le monde entier, dans lequel ils utilisent le clairobscur, en contribuant à la construction de cette église, participe donc à la Contre-Réforme. Cette chapelle fût construite dans l'esprit des décrets du Concile de Trente commencé en 1545, puisque sa construction commença en 1551. Ce concile, commencé sous Paul III et terminé sous Pie IV, fut l'élément principal de la Contre-Réforme, auquel l’Église catholique opposa à la Réforme protestante un changement complet de sa discipline, notamment au

Holbein, les ambassadeurs : Deuxième artiste de l’époque. Il représente la vanité. On trouve ici la dimension de l’art baroque de la vanité avec le crâne allongé en bas du tableau. LA CONTRE-REFORME C’est la réaction de l’Eglise qui donne lieu au Concile de Trente (1545-1563) qui réaffirme l’autorité de l’Eglise, de la tradition, de la Vierge, des Saints. C’est aussi le lancement de l’ordre des Jésuites avec Ignace de Loyola. Elle encourage la représentation du sacré et du religieux. Exemple d’architecture :

romaine quand elle décide que le côté théâtral du style des artistes du baroque pouvait promouvoir des thèmes religieux avec une implication directe et émotionnelle. C’est un art du catholicisme tel qu'il fut défini en 1545-1563 par le concile de Trente (le 19eme concile œcuménique (assemblée réunissant tous les évêques et autorités ecclésiastiques du christianisme) reconnu par l’église catholique romaine.), dont le décret le plus significatif est le Décret sur l’innovation et les reliques des saints

offrent au lecteur un panorama de la situation politique de ce siècle, qu'il s'agisse des massacres de Cabrières et Mérindol dans le Lubéron (les Vaudois, disciples de Pierre Valdo, 1545), de la censure des livres (édit de Fontainebleau de 1547), du concile de Trente, de l'expansion coloniale ou des schismes de la chrétienté (luthérianisme, calvinisme, anglicanisme). Rabelais a contribué à changer la mentalité de ses contemporains, Comme l'écrit Mireille Huchon, ce grand intellectuel français, « emblème

fondation officielle de la Compagnie en 1540, lorsque les « Amis » commencent à circuler en Italie et ailleurs, on leur donne différents noms : On parle de « Prêtres réformés » en Italie du Nord, d’« Apôtres » au Portugal, d’« Ignaciens » en Espagne… Au concile de Trente, les procès-verbaux désignent déjà comme « jésuites » les membres de la Compagnie qui participent aux délibérations. LA FONDATION : Ignace ressent après diverses hésitations un appel à « aider les âmes », selon ses propres termes

catholique romaine quand elle décide que le côté théâtral du style des artistes du baroque pouvait promouvoir des thèmes religieux avec une implication directe et émotionnelleR 5. C’est un art du catholicisme tel qu'il fut défini en 1545-1563 par le concile de Trente, dont le décret le plus significatif est le Décret sur l’innovation et les reliques des saints, et sur les images saintes. C’est donc une esthétique de la Contre-Réforme, que l'on retrouve particulièrement dans l'art jésuite ; on a d'ailleurs