Conclusion Le Cid Monologue

spatiaux-focalisation-champs lexicaux-lexique dépréciatif/appréciatif-comparaisons et métaphores-connotations-expansions du nom-temps grammaticaux-tonalité (s) | Entrées (outils d'analyse) -structure du texte -double énonciation/énonciation : jeu des pronoms ; apartés ; monologues ; didascalies -structure et types des phrases -enchaînement des répliques -procédés rhétoriques -ponctuation -champs lexicaux -tonalités | Le texte poétique en vers | Le texte poétique en prose | Entrées (outils d'analyse)-champs lexicaux-forme

distanciée 2. Organisation des informations 2.1 Introduction présentant clairement le sujet de la synthèse ainsi que les intervenants 2.2 Mise en relation des informations sélectionnées 2.3 Organisation cohérente des éléments demandés 2.4 Conclusion récapitulant la réponse apportée à la question posée par le sujet Intelligibilité 3. Cohérence interne du texte 3.1 Anaphores 3.2 Connecteurs et transitions 3.3 Segmentation du texte Recevabilité 4. Recevabilité linguistique 4.1 Orthographe

des informations échangées sur la scène. Cette situation particulière porte le nom de double énonciation : le personnage et l'auteur sont énonciateurs en même temps ; de même, lorsqu'un personnage s'adresse à un autre (ou à lui-même, dans un monologue ), ses paroles sont aussi destinées au public. Quelles sont les différentes modalités de la parole au théâtre ? Le texte théâtral est construit comme un long dialogue, constitué des répliques échangées par les personnages : la longueur des

elle a due se passer » : émotion des personnages traduite par la position de leurs bras. l.13 : « passé mollement » : attachement du couple, amour. l.13 – 14 : difficultés à laisser partir sa fille. l.15 : cadette : attachement de la sœur. Conclusion : Diderot fait dans ce texte l’éloge d’une peinture et d’un peintre. Cet éloge dépasse son goût personnel et reflète l’idée d’une esthétique vertueuse et déjà réaliste. D’autre part, son texte essaie d’imiter, de rendre par les mots une représentation

……………………………………………………………………………22 - Fiche pédagogique N°2 ……………………………………………………………………………25 - Fiche pédagogique N°3 …………………………………………………… ……………………..27 - Fiche pédagogique N°4 …………………………………………………………………………. 29 - Exercices …………………………………………………………………………………………………. 31 Conclusion…………………………………………………………………………………………………. 33 Bibliographie……………………………………………………………………………………………… 34 Remerciements Al ‘amdou lillah rabil alamiin Nous rendons tout d’abord grâce au Bon Dieu de nous avoir accordé longue vie, bonne

société. Ses pièces et ses contes (contenant des exemples d'injustice similaires à ce qui se passait en France) étaient souvent situés dans le passé ou dans des pays étrangers ou imaginaires. Une autre technique consistait à publier sans faire de conclusion et à laisser le lecteur ou la lectrice faire son propre jugement. Voltaire était souvent appelé le Génie de la Moquerie. Il utilisait la logique et l'humour pour démontrer que l'opinion opposée à la sienne était ridicule,- et dans cette technique

règles de l’art d’écrire. le jugement des œuvres consiste alors en une confrontation des œuvres avec les règles toute L’histoire des querelles se fait autour de cette confrontation ; ex : l’aventure de Mme de Clèves n’est pas vraisemblable ni celle du Cid…) L’art poétique, Boileau : rappel d’un ensemble de règles qui justifient l’œuvre de Boileau et le classement des œuvres en fonction de ces règles : Horace, Eschyle. Pour Boileau, toute la littérature française est rejetée sauf Malherbes. De cette

Lorenzaccio, personnage principal de la pièce (sens 4) - il est présent dans de très nombreuses scènes (18 sur 39), dans des endroits très différents; il s’exprime beaucoup: il aime les tirades (I,1, III,3...) et est le seul à avoir le droit à trois monologues (IV,3,5,9). Même absent, il est au centre de nombreuses conversations (cf.I,4; I,6...). Ainsi, onomastiquement, il est le personnage avec le plus grand nombre de surnoms : Renzo, Lorenzino, Renzino, Renzinacci, Lorenzetta. Il est aussi celui

par ex. l’alternance des genres rhétoriques dans Cinna : judiciaire (II, 2 et V, 1) ; délibératif : qui incite (I, 3 ; IV, 3), qui dissuade (I, 4 ; II, 1 ; III, 4), qui hésite (I, 1 ; III, 3 ; IV, 2). Ailleurs, délibératif : Le Cid, I, 6 ; Othon, V, 2 ; judiciaire : Le Cid, II, 8, et Horace, V ; l’épidictique : L’Illusion comique, II, 2. Voir W. J. Dickson, « Corneille’s Use of Judicial Rhetoric : the Last Act of Horace », XVIIth Century French Studies, X (1988), p. 23-39 ; F. Goyet, Le Sublime du

elles. |Conclusion : |- Reprise de l'essentiel | | |- Souligner l'originalité du texte, tenter de faire un parallélisme avec un autre texte... | | |Attention, ne pas introduire de nouveaux centres d'intérêt qui auraient pu être oubliés dans le développement. | Il est conseillé de rédiger l'introduction et la conclusion entièrement