Conclusion Le Proces De Nuremberg

dans des Goulags. Ce sont principalement des bourgeois. Fascistes : L’ennemi est l’opposant au régime. Le député Matteotti, assassiné sous les ordres de Mussolini. Nazis : L’ennemie est le juif. Les Allemands sont antisémites. Avec les lois de Nuremberg ils sont mis à l’écart, on leur retire les nationalités, les biens sont confisqués puis il y a une mise en place de la déportation. Les juifs sont rendus responsables des maux de l’Allemagne, de la défaite de la 1GM. On cherche à mobiliser la population

qu'elle éclaircisse la signification de son arrêt. Ou bien, lorsque le Comité des ministres estime qu'un Etat refuse de se conformer à un arrêt qui l'a condamné, il peut, après mise en demeure de cet Etat, décider de saisir à nouveau la Cour. Conclusions : – Le droit international des droits de l'Homme est la manifestation la plus tangible de l'accession des individus à la qualité de sujets du droit international. Un traité international peut conférer des droits et obligations entre les Etats,

religieuses mais accentuées par des accusations non fondées de l’Allemagne nazie). Le premier pas qui conduisit vers cette éradication massive de la « race » juive (et autres ennemis de l’Etat) était l’exclusion de ceux-ci (notamment avec les lois de Nuremberg qui réduisaient les droits des juifs en Allemagne et les territoires occupés par celleci) et la propagande qui les présentait comme des « ennemis ». Aussi la « solution finale » organisée et décidée lors de la conférence de Wannsee par des acteurs

de grands procès. Dès 1943, les Alliés avaient décidé à la conférence de Moscou de juger après la victoire les responsables de l’Axe. Six organisations nazies et 22 hauts dignitaires sont jugés à Nuremberg, par un tribunal international, de novembre 1945 à octobre 1946. Ils sont accusés de complot, de crime contre la paix, de crime de guerre, mais aussi de crime contre l’humanité. Un procès identique s’ouvre à Tokyo en 1946 (jugements des responsables japonais). [...] [...] CONCLUSION Au lendemain

irrégularités commises dans les camps. C'est Morgen qui exerça des poursuites contre Koch -- commandant de Buchenwald -- en 1943, pour des cruautés qui furent commises dans son camp, et il y eut un procès public. Oswald Pohl, l'administrateur des camps de concentration, qui fut traité si durement à Nuremberg, était partisan de la peine de mort pour Koch, fait très significatif. En fait, le tribunal SS condamna Koch à mort mais lui offrit la possibilité d'aller combattre au front de l'Est. Cependant,

République fédérative socialiste de Yougoslavie. Il était accusé auprès du Tribunal pénal international pour l'ex-Yougoslavie (TPIY) de La Haye pour crimes de guerre, crimes contre l'humanité et génocide. Il est mort pendant la cinquième année de son procès d'un infarctus du myocarde et a été inhumé le 18 mars 2006 à Požarevac en Serbie -Florence Hartmann (née en 1963 en France) est une journaliste et auteur française. Elle a travaillé pendant onze ans au journal Le Monde, couvrant notamment les

LA FIN DES TOTALITARISMES Orientation bibliographique: (tirée du site eduscol) -Judt T., Après guerre. Une histoire de l’Europe depuis 1945, Armand Colin, 2007 -Wieviorka A., Le procès de Nuremberg, Liana Lévi 2006 -Vincent M.-B. (Dir.), La dénazification, Perrin coll. Tempus 2008 -Werth N. Staline, Histoire de l’Union soviétique de Khrouchtchev à Gorbatchev (1953-1991), PUF coll. Que-sais-je ? 2007 Enjeux de base qui doivent servir de fil conducteur au cours : -En Allemagne

comparer les différents fascismes et leurs adaptations locales : Italien, Allemand, et espagnole, et pour enfin exposer son rêve : requérir un fascisme à la française. Mais aussi le roman met en avant l'exaltation de Brasillach pour le congrès de Nuremberg (congres du Reich) Malgré le style sulfureux du romancier et le coté esthétique qui était pourtant un atout, son penchant politique a affaibli énormément la crédibilité de son roman, et a en quelque sorte tué le charme de l’histoire d’amour du contenu

matériel, économique et financier. II/ Bilan politique et territorial. A/ L'espoir d'un monde nouveau. B/ Mais la grande Alliance ne résiste pas : Pourquoi ? Conclusion. Notions essentielles : - Crime contre l'humanité : *crimes imprescriptibles contre l'être humain, cette appelation a été créee suite aux Procès de Nuremberg, et sont jugés par le tribunal international. - Génocide : * Un génocide est l'extermination physique, intentionnelle, systématique et programmée d'un groupe ou

véritable système d’extermination. 4 III. Le crime contre l’humanité Document 4 : Témoignage de Marie-Claude Vaillant-Couturier au procès de Nuremberg (source : www.fndirp.asso.fr) Déportée dans le camp d’Auschwitz en janvier 1943 avec 230 autres Françaises – dont seulement 43 sont revenues – Marie-Claude Vaillant-Couturier témoigne au procès de Nuremberg le 28 janvier 1946. Elle est ici interrogée par le procureur général adjoint. M. Dubost : - Voulez-vous préciser en quoi consistait