Conclusion Salaire

parfaite, le salaire s’ajuste pour assurer l’équilibre entre l’offre et la demande de travail  plein emploi. La réalité est bien différente ! Même lorsque l’économie tourne bien, ce rtains travailleurs sont sans emploi. D’où vient cette différence par rapport au schéma théorique ? Quatre facteurs (potentiels... parmi d’autres) : 1. Le salaire minimum légal. 2. Les syndicats et les négociations collectives. 3. Les salaires efficients. 4. La recherche d’emploi. 9 1. Le salaire minimum

pas aux salariés, cela attire des conséquences. Ce qui est le cas de Carrefour, selon le document 2 (Le Figaro avril 2010) les salariés ont un gros taux d’absentéisme moyen de 10%, les salariés toucheraient une proposition d’augmentation globale de salaire de 1% si le taux chute de 0.65% minimum ce qui est trop maigre pour eux et effectuent un arrêt de travail un samedi, jour d’affluence dans les magasins du groupe. II.Les conditions de travails positives et ses avantages A.Recul d’absentéisme et

propriétaire et gestionnaire de l’entreprise comptant 42 employés en plus des deux (2) propriétaires qui sont informaticiens, des quatre (4) cadres (gérants) et des deux directeurs. Pierre et Francine se plaignent de ne pas avoir eu la même augmentation de salaire que tout le monde. François et Charles n’ont pas reçu pour leur part d’augmentation depuis deux (2) ans alors que le patron change sa Mercedes à chaque année. Normand et Lisa craignent la réaction de l’employeur et se demandent ce qu’ils feraient

arrivées à égalité avec les hommes, mais il y a encore beaucoup de chose à innover. I. Définition : Le principe de parité a pour objet de lutter contre les disparités que certaines catégories d'individus subissent (en termes de salaires, d'emploi, d'éducation, de représentativité politique, etc.) en édictant des lois visant à équilibrer les situations inégales. II. L’évolution de la parité en France a. L’éducation En France, au 19eme siècle, les filles

effectuant un travail essentiellement manuel, ne disposant que de leur salaire pour vivre. Dominés par les gens travaillant en usine. Conditions de vie et de W : * Journée interminables entre 12 et 15h par jour vers 1850 * Accidents du travail nombreux * Précarité de l’emploi * Conditions rudes * Angoisses permanente : misère pour toute la famille Courées roubaisiennes & tour HBM Pour ouvrier :Salaire = Survivre. Réponses Q1 à 7 p 40-41. 1) Risque visible :

choses fort peu naturelles : les institutions en place, le comportement des syndicats etc. » De plus ce taux naturel n’est pas constant, d’après E. Phelps « le taux naturel bouge ». Les déterminants du taux naturels de chômage sont entre autres le salaire minimum, le système d’indemnité chômage, la législation couvrant l’emploi, le niveau d’éducation de la population ou encore la mobilité des travailleurs. Un autre déterminant du taux de chômage structurel peut d’ailleurs être le « maquillage statistique »

et concepts Section 2 : Le contenu de la rémunération section 3 : Les objectifs de la rémunération section 4 : Le processus la rémunération section 5 : Les systèmes de la rémunération Section 6 : l’individualisation de la rémunération CONCLUSION Introduction Qui serait prêt à travailler pour l'honneur et par conséquent ne toucher aucune rémunération ? Il faut se l'avouer, c'est le cas de peu de gens, en tout cas pas pour le travail qui

produire le « même » produit, à cause de son histoire et des savoir-faire qui composent son héritage humain et technique , et à cause des différences entre les pays dans lesquels ces entreprises se sont développées . » Dans la préface , apparaît la conclusion du livre : « Nous en avons conclu que la pression du marché mondial n’impose aucune solution privilégiée. Il y a de la place pour le modèle de Samsung comme pour celui de Dell ( et pour d’autres encore , ainsi que le prouvent Apple ,Hewlett-Packard

• Schématisez l'inflation par la demande ? Offre = demande ( prix stables Demande augmente ( biens se raréfient ( prix des biens augmentent • Définissez les origines d'une inflation par les coûts. La hausse massive des salaires, l'augmentation d'une matière première primordiale (pétrole), l'augmentation des prélèvements de l'Etat (taxes), l'augmentation du prix des produits importés (baisse de la valeur de la monnaie nationale). Donc tout ce qui augmente le coût de fabrication

des années 1990» dit Raymond Torres, Directeur de l’Institut en charge du rapport. «Cela reflète l’impact de la mondialisation financière et la plus faible capacité des politiques domestiques à améliorer les revenus des classes moyennes et des bas salaires. La crise financière mondiale actuelle ne peut qu’aggraver la situation, à moins que des réformes structurelles de long terme ne soient adoptées.» L’étude relève que, «si un certain degré d’inégalités de revenu peut être utile pour récompenser