Conclusion Sur Andromaque

de possibles vestiges, mais bel et bien sur la colline d'Hissarlik. Schliemann, qui découvre ironiquement le monde grec « sur le tard » s'installe dans son pays d'adoption. Il épouse une grecque en secondes noces avant de nommer sa première fille Andromaque. Désormais installé en Troade, débute les fouilles de la butte d'Hissarlik. Impatient, il ne prend pas la peine d'obtenir un permis de fouilles de la part des autorités turques. Son existence tout entière est désormais vouée à ce que l'on peut appeler

Une origine religieuse. Le dieu Dionysos. Les dionysies. II. SUR SCENE Les acteurs. Les choreutes. Le décor. La représentation. Le lieu du spectacle. III. LES AUTEURS ET LES THEMES Les auteurs. Les thèmes. CONCLUSION LE THEATRE DANS LA GRECE ANTIQUE I.L’ORIGINE DU THEATRE. Une origine religieuse. C’est en Grèce que le théâtre à été inventé. Il est né de la religion et plus précisément du dithyrambe : le chant consacré à Dionysos. Ceci est toujours resté

donne une description assez précise et complète des personnages et des lieux principaux. LE DISCOURS ARGUMENTATIF Définitions : *Une démonstration : Elle est opérée à partir de vérités intangibles. *Une argumentation : Elle part d’une conclusion et en cherche les raisons et les justifications (arguments), elle n’est pas mécanisable puisque la thèse dépend des valeurs morales esthétiques ou religieuses adoptées. *Convaincre : C’est justifier la thèse qu’on a choisi pour la faire adopter

3 Extrait : Le dormeur du Val……………………………………………………………………..5 Le courant symbolique…………………………………………………………………………..6 DISSERTATION……………………………………………………………………………………....8 Introduction…………………………………………………………………8 Développement……………………………………………………………8 Conclusion……………………………………………………………………8 Bibliographie………………………………………………………………………………………...9 ------------------------------------------------- BIOGRAPHIE DE L’AUTEUR Arthur Rimbaud, né sous le nom de Jean Nicolas Arthur Rimbaud, est un poète français né

temps qui passe. ême si toutes les tragédies ne se finissent pas par des morts, la souffrance et la mort sont souvent présentes. - Le tragique s’exprime par des contradictions, des dilemmes qui trouvent une issue le plus souvent dans la mort (ex : Andromaque qui doit choisir entre la vie de son fils ou le mariage avec l'assassin de son mari). - Le style : les phrases interrogatives, les exclamations expriment la détresse du personnage. On retrouve souvent des apostrophes ou des invocations. Les phrases

avides d'une consolation, en tout cas soutenus par une espérance. Au contraire le poète qui aspire de tout son être à cet idéal inaccessible se sent plus seul, plus abandonné, et n'attend plus rien de ce Ciel. Son âme est en proie au désespoir. CONCLUSION Dans cette pièce des Tableaux parisiens publiée en 1860, c'est une scène à la fois grotesque et tragique, au milieu de l'agitation de la rue, qui invite le poète à méditer sur sa propre condition. En 1861, il écrivait à sa mère : “Et Dieu, diras-tu

fait d’être englouti comme s’il allait en enfer est aussi plus une mort symbolique qu’autre chose. De plus, Sganarelle ne semble pas trouver cela étonnant et continue de réclamer son argent, ce qui apporte un effet comique qui finit de rendre cette conclusion très peu fidèle au monde qui nous entoure. Le personnage devait être puni car toute la pièce se base sur la justice du ciel qui finira par arriver. * La pièce de Maeterlinck, elle, assure son dénouement sur le côté fantasmagorique et halluciné

intérêt. Puis, nous percevons de l’exagération avec la catharsis. La catharsis est l'épuration des passions par le moyen de la représentation dramaturgique. Nous la retrouvons chez Pierre de Corneille dans sa pièce L’Illusion comique mais aussi chez Andromaque de Racine. Certes, selon Aristote « La tragédie (...) est une imitation faite par des personnages en action et non par le moyen de la narration, et qui par l'entremise de la pitié et de la crainte, accomplit la purgation des émotions de ce genre

en 1637. En comédie, Molière produit des chefs d’œuvres dont Tartuffe ou l’imposteur en 1664, L’école des femmes en 1662, Le Misanthrope en 1666, L’Avare en 1668. Quant à Jean Racine, grand auteur de tragédies brille avec des œuvres telles que Andromaque en 1667, Phèdre en 1677, Britannicus en 1669.Il met en scène l’amour sans espoir entre le Roi et Marie Mancini dans sa tragédie Bérénice. Nous pouvons ajouter à ceux-là des noms comme Bossuet, Mme de Lafayette, Mme de Sévigné. Saint-Réal s’attèle

poison. Ou bien Andromaque avec la spirale amoureuse. Apres l'assassinat d'Hector, l'駱oux d'Andromaque, elle se retrouve prisonni鑽e avec son fils Astyanax par Pyrrhus qui tombe amoureux d'elle. Fianca Hermione, dont Oreste est amoureux 騁ant aussi le meilleur ami de Pyrrhus. Ces deux exemples traduisent une suite d'action mouvement馥 comme des assassinats. Le theatre classique peut donc 黎re source de divertissement pour un spectateur de tout temps et espace. En guise de conclusion, le theatre