Conclusion Totalitarisme

Thème 1 -1914-1945 : Guerres, démocratie et totalitarisme Chapitre 1 La P.G.m. et ses conséquences Introduction Au mois d’août 1914, les Européens entrent en guerre. En 1918, l’Europe sort traumatisée, affaiblie et la paix reste fragile. Problématique Quels bouleversements la P.G.m. provoque-t-elle en Europe et dans le monde ? I. La marche vers la guerre A. Les rivalités européennes En 1914, l’Europe domine le monde mais il existe des rivalités économiques, politiques et territoriales

totalitaire. Pourtant, il n’est pas rare qu’un peuple s’en accommode. La masse se soumet à l’idéologie dominante par ignorance, par peur ou opportunisme, par désir de tranquillité ou de sécurité. Ainsi, il arrive que tout un peuple supporte le totalitarisme par paresse ou lâcheté, surtout si le système politique réussit à imposer l’illusion de sa légitimité. D’autre part, il faut toujours se garder de juger un régime à l’une de nos valeurs et de notre histoire. A Cuba, par exemple, la pauvreté, le

rouages du parti, donc de la vie politique, de l’armée (il est maréchal autoproclamé), de la vie économique, sociale et culturelle. Ses choix politiques obéissent à la lettre du marxisme-léninisme, mais sa pratique du pouvoir est celle d’un nouveau totalitarisme : le stalinisme. L’édification d’une société socialiste puis communiste repose sur une avant-garde révolutionnaire, l’URSS, devant conduire le pays sur le chemin d’une société égalitaire et juste, pour ensuite être étendue à l’ensemble des sociétés

totalitaire. Pourtant, il n’est pas rare qu’un peuple s’en accommode. La masse se soumet à l’idéologie dominante par ignorance, par peur ou opportunisme, par désir de tranquillité ou de sécurité. Ainsi, il arrive que tout un peuple supporte le totalitarisme par paresse ou lâcheté, surtout si le système politique réussit à imposer l’illusion de sa légitimité. D’autre part, il faut toujours se garder de juger un régime à l’une de nos valeurs et de notre histoire. A Cuba, par exemple, la pauvreté

soviétique » 1945-1990 58 (1) De 1945 à 1968 : glaciation et fermetures… 58 (2) De 1968 à 1990 : quelques ouvertures et un souffle libertaire… 69 4. De 1990 à nos jours : contre-utopies après la chute de « l’empire soviétique » 76 5. Quelques conclusions provisoires 85 Les mondes définis par les œuvres contre-utopiques sont l'inverse des utopies (leur «double inversé»2), dans le sens où elles exposent les «malos sitios - mauvais lieux»3 alternatifs, pas les bons lieux des utopies. Elles sont

voir dans ces positions philosophiques, une pensée trop optimiste ; voire même inquiétante de l'Etat. On pourrait, surtout, en ce qui concerne Hegel, voire poindre dans ses positions, le " germe d'un culte de l'Etat ", érigé en absolu, dont le totalitarisme que le XXeme siècle a connu, serait une des manifestations la plus patente. En tout état de cause, des éléments comme : 1. L'extension de la bureaucratie. 2. La complexité des technostructures. 3. Le sentiment d'étrangeté des citoyens. font de

que la création d'un état juif excluant les arabes. Dès 1943 elle a connaissance avec Blücher de "la solution finale" à laquelle elle ne veut pas croire. { De1945 à 1948 elle travaille à ses premiers ouvrages fondamentaux dont "L'origine du totalitarisme", dirige la commission pour la renaissance de la culture juive en Europe et travaille au côté des existentialistes. { 1948 marque un tournant dans sa vie car elle retourne en Europe sans cacher sa joie d'entendre de nouveau parler la langue allemande

Pour réussir ces objectifs de race pur, Hitler interdit les mariages mixtes et fait interner les meilleurs éléments aryens afin qu’il se reproduise entre eux dans les Lebensborn. • L'URSS de Staline est complètement à l’opposé des autres totalitarismes. En effet l’Italie et le Nazisme veulent se débarrasser du communisme qui incarne des valeurs contraires. En Italie et en Allemagne, aucun homme n’est égal, la couleur de peau ou l’origine joue dans la place qu’occupe la personne dans la hiérarchie

création d'un état juif excluant les arabes. Dès 1943 elle a connaissance avec Blücher de "la solution finale" à laquelle elle ne veut pas croire. ▪ De1945 à 1948 elle travaille à ses premiers ouvrages fondamentaux dont "L'origine du totalitarisme", dirige la commission pour la renaissance de la culture juive en Europe et travaille au côté des existentialistes. ▪ 1948 marque un tournant dans sa vie car elle retourne en Europe sans cacher sa joie d'entendre de nouveau parler la

le Dr. Andrew commence par critiquer l’Est et l’Ouest, je cite : « Armement, endettement et routine sont les trois piliers de la prospérité occidentale. » et « Électricité, plus industrie lourde, moins contrôle des naissances, donnent misère, totalitarisme et guerre. ». Il définit ensuite Pala comme étant, électricité, moins industrie lourde, plus contrôle des naissances ; elle ne possède ainsi pas d’armée, n’utilise pas l’argent comme système principal d’échange, et elle représente, elle, la démocratie