Concurrents Indirects

chez le fruitier », « chez l'épicier », chez le boucher » (répétition des démarches humiliantes) - accumulation : « marchandant », « humiliée », « défendant » - accumulation : « payer », « renouveler », « obtenir » II Le rêve perdu 3° Discours indirect libre : - pas de verbe de parole introduisant le discours (elle se demandait...), - 3ème personne « si elle n'avait point perdu.. ; » - même mot interrogatif que le discours direct : « que serait-il arrivé ? » mais temps du récit au passé :

interjection ah quoi bon ? J’ai tout lu se disait-elle. Quand Emma dit que la cloche est monotone, c’est elle qui perçoit qu’elle l’obtient. Description faite par le regard d’Emma «  quelque chat que les toits ou dans les campagnes C) Un discours indirect libre Ah quoi bon ? Ah quoi bon ? Qui l’entendait ? Rapporte le plus direct possible la démarche et le discours intérieur d’une personne. Pour lui donner vie. Dans le texte on a la pensée d’Emma «  j’ai tout lu «  les paroles sont données tels

ce sont les chèques établis aux fournisseurs et qui ne sont toujours pas encaissés par ces derniers. On reconnaît ces chèques car on les a mis en évidence. 3) LA Taxe de la valeur ajoutée (T.V.A) La taxe sur la valeur ajoutée est un impôt indirect sur les dépenses que les contribuables ne paie pas directement aux services fiscaux. Comme toute entreprise assujettie, la SARL ABC doit reverser à l’Etat la TVA qu’elle a collectée sur ses prestations de services sous déduction de la TVA qu’elle

notamment avec des éléments tels que les verbes de paroles. Le discours indirect Le discours indirect perd son indépendance syntaxique, et se construit donc comme une subordonnée, complément d’un verbe principal signifiant « dire » ou « penser ». Il est généralement bien intégré au discours dans lequel il s’insère et n’est pas marqué par une rupture énonciative. Le discours indirect libre Le discours (ou style) indirect libre est essentiellement un procédé littéraire qui se rencontre peu dans

enfin : «  Que veux-tu faire ? «  Discours direct Il lui demanda enfin ce qu’il voulait faire. Discours indirect Dans le discours direct la ponctuation est très expressifs (l es deux points, les guillemets) tandis qu’au discours indirect il n’y a pas de ponctuation spécifique. Par ailleurs le temps dans le discours direct est construit autour du présent alors que dans le discours indirect LE VERBE INTRODUCTEUR EST AUX TEMPS DU RECIT, et les verbes de la proposition subordonnée sont aussi

toucher le lecteur par la pitié (principe même de la tragédie). Le discours indirect libre permet l’accès total aux réflexions du personnage. De ce fait, le lecteur perçoit plus facilement les sentiments de Valjean : il éprouve donc plus de pitié envers lui => pensées du personnage, pas de verbe introducteur, toutes la ponctuation

DISCOURS DIRECT – DISCOURS INDIRECT I. Les caractéristiques du discours direct - Les paroles sont rapportées mot pour mot. - Le discours se distingue de la narration par la ponctuation (deux points, guillemets, tirets dans les dialogues) - Le discours garde sa typographie (majuscules) et sa ponctuation propre. II. Les caractéristiques du discours indirect - Les paroles sont rapportées plus ou moins fidèlement. - Elles sont rapportées dans une proposition subordonnée conjonctive insérée dans

compléments circonstanciels (l.20). La comparaison, « comme la lueur d'un éclair » (l.22). Mise en valeur aussi par l'accumulation des verbes. L'utilisation des discours rapportés inscrit le passage dans le genre du conte philosophique . Discours indirect libre (l.24) qui souligne l'interrogation discours direct (l.27) qui reprend l'avertissement du père et pose le problème de la sincérité de l'amitié. Les points de suspension (l.28) souligne et provoque la curiosité du lecteur à propos des

registre humain : vers 8 « pied » pour pattes ; genre humain avec « les députés » vers 14 ; et mélange avec « peuple chat / peuple rat ». Le rat est mis en valeur avec le discours direct alors que son peuple est laissé dans l’ombre avec le discours indirect libre (vers 19 à 23). Certaines interventions ont parfois valeur de proverbes (vers 11/12) mais aussi des questions rhétoriques faisant appel à la connivence du lecteur. La moralité apparaît sous forme de devinette. A première vue, elle clôt la

paroles peuvent être rapportées :  au discours direct. On pourra utiliser dans ce cas des verbes de paroles en propositions incises (ajouta-t-il, fit-elle remarquer)  au discours indirect avec un verbe introducteur suivi d’une subordonnée (il ajouta que…..elle fit remarquer que…). Dans le cas du discours indirect dépendant d’un verbe au passé, on appliquera la règle de concordance des temps : « il était d’accord pour dire qu’aujourd’hui la situation était critique. Il reconnaissait que 20 ans