Confrérie de charité

tous les deux revinrent de l'église, étonnés et las. Il fallut qu'Hubertine les grondât, le soir, elle raisonnable qui condamnait l'exagération, même dans les bonnes choses. Dès lors, elle dut combattre le zèle d'Angélique, surtout l'emportement de charité dont celle-ci était prise. François avait la pauvreté pour maîtresse, Julien l'Aumônier appelait les pauvres ses seigneurs, Gervais et Protais leur lavaient les pieds, Martin partageait avec eux son manteau. Et l'enfant, à l'exemple de Luce, voulait

les deux revinrent de l’église, étonnés et las. Il fallut qu’Hubertine les grondât, le soir, elle raisonnable qui condamnait l’exagération, même dans les bonnes choses. Dès lors, elle dut combattre le zèle d’Angélique, surtout l’emportement de charité dont celle-ci était prise. François avait la pauvreté pour maîtresse, Julien l’Aumônier appelait les pauvres ses seigneurs, Gervais et Protais leur lavaient les pieds, Martin partageait avec eux son manteau. Et l’enfant, à l’exemple de Luce,

portraits du livre au moins, les seuls qui soient étudiés, répondent à cette intention que nous croyons découvrir chez notre auteur. D’abord un type de mendiant dépravé, de gueux retors, qui sait par toutes sortes d’ingénieuses pratiques solliciter la charité des petites gens, l’aveugle ou le ciego, marchand d’oraisons pieuses, guérisseur et pronostiqueur ; puis le curé de village, cruel et rapace, qui tond l’autel, s’engraisse de l’église et de ses cérémonies obligatoires, tue de faim son acolyte

les deux revinrent de l’église, étonnés et las. Il fallut qu’Hubertine les grondât, le soir, elle raisonnable qui condamnait l’exagération, même dans les bonnes choses. Dès lors, elle dut combattre le zèle d’Angélique, surtout l’emportement de charité dont celle-ci était prise. François avait la pauvreté pour maîtresse, Julien l’Aumônier appelait les pauvres ses seigneurs, Gervais et Protais leur lavaient les pieds, Martin partageait avec eux son manteau. Et l’enfant, à l’exemple de Luce, voulait

qui se déroule à l’adolescence. Or certaines peuplades connaissent ou ont connu des initiations aux différentes périodes clés de l’existence. Et à côté des initiations « obligées », on en trouve d’autres facultatives, lors de l’entrée dans une confrérie ou dans une société secrète, comme se fut particulièrement le cas en Afrique de l’Ouest. A titre de seconde approche, signalons que l’initiation revêt un caractère universel : on la retrouve dans la religion hindoue, perse (mazdéisme= religion

lie de vin, d’excréments. Importance du vin. Un moment d’ivresse et de défoulement. - de l’ordre linguistique : l’injure, la parodie, le délire verbal. La « fête des fous » et période de carnaval sont organisées et ritualisées. Par des « confréries » comme la Basoche à Paris, formé de juristes et d’ecclésiastiques, des spécialistes de l’écriture sérieuse qui, en cette occasion, délirent et organisent la parodie du monde sérieux. Des intellectuels qui « déconnent » (cf les « conards de Rouen »)

fiscaux et juridiques. Dans les campagnes, la solidarité est envers ses congénères paroissiens. Dans la ville, c’est une solidarité de paroissien mais elle est concurrencée par les solidarités professionnelles, les ghildes, la associations/confréries de métiers qui sont une armature de la cité. Ils ont une hiérarchie, une structure pyramidale, mais s’isolent par rapport aux autres. Parallèlement, la population de ces villes s’imposent progressivement comme l’interlocutrice du pouvoir politique

avec l’Eglise renforcé, monarque guide le peuple dans le salut, être sujet du roi c’est être chrétien, liens renforcés entre Pape et roi, Carolingiens imposent la foi chrétienne : dans les terres conquises : le baptême ou la mort. La mission de charité de l’Eglise en vertu de son patrimoine important. Rôle militaire : fait circuler les ordres militaires par les Abbayes + contrefort du pouvoir. Financement : Charlemagne systématise la dîme (1/10 ou 1/12 du revenu payable par la population

représentation au goût du petit peuple mais comporte aussi un sens plus élevé et plus complexe. (Magie du double sens) 2eme moitié du XVIe : le théâtre espagnol classique acquière sa forme a peu près définitive (avènement de Philippe II) subvention des confréries et des municipalité pour des pièces profanes et religieuse pour réhausée l'éclat des fêtes liturgiques. Les représentatins cessent d'avoir lieu sur des trétaux en plein air, des "Corrales" sont construits (théâtres couverts règlementés et régulés)

faut bien que l'on suppose aussi que Dieu aime les hommes, puisqu'il établit une religion pour les rendre heureux; que s'il aime les hommes, on est assuré de lui plaire en les aimant aussi, c'est-à-dire en exerçant envers eux tous les devoirs de la charité et de l'humanité, et en ne violant point les lois sous lesquelles ils vivent. Par là, on est bien plus sûr de plaire à Dieu qu'en observant telle ou telle cérémonie : car les cérémonies n'ont point un degré de bonté par elles-mêmes ; elles ne sont