Consommatrice Lingerie

Demi échec HM : Nouveaux créateur, Madonna, Karl Lagarlfeld Dans le même sens H&M, le géant suédois a su se développé très vite mais a connus les même soucis que Gap. Comme il est dit dans LIbération non seulement "les consommatrices sont simplement lassées voir que leurs voisines de bureau porter la même garde robe qu'elle" et les produits étant conçus pour le plus grand nombre, ne convienne en réalité à personne parfaitement. Le groupe à essayer de trouver une solution

de luxe, produits ludiques Les marchés basiques se transforment, Villes = lieux d’expériences, spa, bains, zen, (idzen) Erotisation de la société Dvlpt des sex toys, on détourne les tabous (mort, gothique), société de plus en plus érotique (lingerie, produits de beauté, publicité, provocation, sensualité) Campagne orangina/perrier 6. MOBILITE/NOMADISME Plus en plus nomade Camping réinventé (recherche de plaisir simple et désuet) 3 pop : séniors/bobos/jeunes Forme d’anti-mobilité :

KIABI développe des collections mode dédiées aux enfants et adultes en situation de handicap, et une gamme de lingerie post-opératoire pour les femmes atteintes d’un cancer du sein. Des vêtements beaux, imperceptiblement techniques, et toujours à petit prix KIABI développe depuis 2015 des collections mode dédiées aux enfants et adultes en situation de handicap, et une gamme de lingerie post-opératoire pour les femmes atteintes d’un cancer du sein. Des vêtements beaux, imperceptiblement techniques

Taux de fidélité du consommateur « c » par rapport à la marque « M » = (dépenses pour M / dépenses totales sur le marché de M) X100 Ce taux peut se calculer sur un trimestre, semestre, à l'année ... EXEMPLE Une consommatrice française dépense en moyenne 120 euros en lingerie / an Si elle a dépensé 50 euros chez ETAM, son taux de fidélité = (50/120)x100 = 42% > Les 4 séquences d'achat type Prenons par exemple une série de 6 achats sur une période donnée, et 3 marques concurrentes : X Y

défriser les cheveux des femmes noires afin de les lisser. Pour faire connaître son produit et sans aucune notion de marketing, elle adapta sa communication aux consommatrices potentielles, en orientant ses publicités dans la presse destinée aux femmes noires, de plus, elle adapta le prix de son produit aux ressources de ces consommatrices. Elle venait de créer, sans le savoir, « du marketing ethnique », un produit spécialement dédié aux minorités pour répondre à leurs besoins spécifiques. Puis

facteur culturel est déterminant dans la conception de produits de luxe. La culture est un facteur fondamental dans l’élaboration des produits. On constate, par exemple, que la femme japonaise utilise beaucoup plus de produits de beauté que la consommatrice occidentale et passe tout simplement et pragmatiquement plus de temps dans sa salle de bains, ce qui peut pousser des maisons comme Lancôme à varier leur produit en fonction des caractéristiques des différents pays où elles sont implantées. Il

et marketing. En effet, les auteurs cherchent à expliquer les 4P (produit, place, prix, promotion) du marketing mix sur le marché de l’industrie du sexe. Résumé de l’article : L’émergence de la vente de produits érotiques féminins et de la lingerie fine a démarré à la fin du siècle dernier et à la suite d’une « pornographication » de la société de consommation. C’est dans ce contexte que l’importance du design dans ce secteur a pris toute son importance. C’est avec l’abolition de l’interdiction

freins : – les peurs, réelles ou imaginaires, causées par le produit. Exemple : le bœuf. – les inhibitions, qui sont des hontes causées par la frivolité, les tabous, la morale… concernant le produit. Exemple : les hommes n’osent pas acheter de la lingerie féminine. – les risques : l’achat du produit est lié à une éventualité d’événements défavorables. Exemple : construction d’une piscine et risques de noyade. 1. H. Joannis, professeur à HEC, est l’auteur de plusieurs ouvrages dont : De l’étude de

danseuses nues copieusement affichées sous l’œil du public qui déambulait sur la rue Sainte-Catherine. Des subventions ponctuelles venant de Condition féminine Canada permettent la réalisation de deux projets : en 1993, un sondage auprès de 150 consommatrices révèle qu’une large proportion d’entre elles refusaient d’acheter des produits ou services qui utilisent des images sexistes pour les vendre; en 1999, une recherche en collaboration avec le Conseil des femmes de Montréal (MCW/CFM) dénonce le contenu

féminin s’établissent à 11,6 milliards d’euros ; les comportements des consommatrices évoluent, privilégiant la qualité à la quantité. Les quinquagénaires restent les consommatrices les plus actives. Les exportations progressent de 2,6 % mais ne permettent pas de rétablir la balance commerciale, déficitaire à 1,6 md EUR. Le e-commerce prend de l’ampleur pour représenter plus de 10 % du budget prêt-à-porter des consommatrices. Source : Journal du textile, mars 2011 L’e-commerce d’habillement