Consonne occlusive

langues à double articulation postérieures (voyelles non arrondies et arrondies), les langues à double durée vocalique, etc. Du côté des consonnes, certains linguistes ont tenté de classer les langues en fonction des modes d'articulation: les langues à consonnes occlusives limitées (une seule), à consonnes fricatives limitées (seulement le [t]), les langues à consonnes prénasalisées ou post-nasalisées, les langues à clics, les langues à deux modes articulatoires, etc. D'autres distinguent les langues

M. Dusuel – Français – 1ère – Lycée Fragonard Objet d'étude n°1 : « La poésie du XIXe siècle au XXIe siècle » Les Fleurs du mal, Baudelaire / Parcours : « Alchimie poétique : la boue et l'or » Lecture linéaire n°2 : « Fantaisie », Odelettes rythmiques et lyriques, Gérard de Nerval, 1853. Le Chevrier italien. Effet de soleil couchant, vers 1847, Jean-Baptiste Camille Corot (1796-1875), Musée du Louvre, Paris. Présentation de l'auteur et de l'oeuvre Familier du romantisme allemand, Gérard

principe d’économie articulatoire devenu la loi du moindre effort. Les voyelles inaccentuées du latin ne sont prononcées que de plus en plus faiblement ; au point de disparaitre. Hôtel vient du latin « Hospitalem » Parfois, ce sont les consonnes : « bestia » a donné « bête » « Puer » n’a pas donné naissance à « enfant » mais à « puéril », qui appartient à un langage plus soutenu. « Infant » (latin vulgaire) a donné naissance à « enfant »t et à « infantile » « Lactem » n’a pas

rapide (longueur des vers, enjambements, peu de ponctuation, assonances et allitérations,…) - Jeu sur les sonorités et effet : Dans la première strophe, il y a une assonance en « i ». Dans la seconde, il y a une allitération en consonnes occlusives (« c », « p »,…). Dans la troisième strophe, on retrouve une assonance en « a ». Dans la quatrième strophe, il y a une allitération en « r ». Dans la sixième strophe, il y a une allitération en « p » et dans la dernière, une assonance en « è »

c'est là qu'on voit qu'il l'aime réellement car il pense à elle avant la fin.• Les réminiscences de Meursault ont un caractère pathétique car il s'agit d'un passé complètement révolu : "une vie qui ne m'appartenait plus" (l.24) + allitération consonnes occlusives accentuent le caractère définitif.L'approche de la mort parvient à donner tout son prix à la vie, même dans ce qu'elle a de plus insignifiant : cela montre que Meursault est capable d'éprouver des émotions, ce qui rend par son caractère inhabituel

violentes en ‘que’ et en ‘te’(vers 13-14).- Le champ lexical de la violence : ‘furie’(v. 13), ‘lancent’ et ‘hurlement’(v14) montre que la crise est à son paroxysme.- Les sons du vers 13 sont particulièrement brutaux : on entend surtout des consonnes occlusives sourdes, k et t.- Les cloches lancent un appel vers le ciel, un hurlement(v14).- Dans les vers 15 et 16, une image surprend le lecteur : le hurlement des cloches est rapproché (par ainsi que) du gémissement obstiné des esprits errants ; geindre

regard avec une description de chaque partie qu’il regarde avec une façon érotique de le faire. Auto-censure pour ne pas choquer. « Brûlé de belle fièvre » : consonnes occlusives, on bloque l’air et ensuite on le laisse passé, on dirait une explosion. Donc c’est peut-être l’explosion amoureuse/ du désir amoureux. Joie de vivre, désir amoureux = jeune.

la voyelle antérieure semi-ouverte nasale [ε̃] devient une voyelle antérieure semi-ouverte orale [ε], il y a donc changement du mode d’articulation. − il y a un autre changement du mode d’articulation quand l’occlusive dentale sourde [t] devient occlusive dentale sonore [d]. − la voyelle antérieure labialisée [y] devient une voyelle antérieure non labialisée [i], il y a donc une délabialisation. − la voyelle centrale mi-fermée non labialisée [ə] devient une voyelle antérieure non labialisée fermée

 mais  le  cerveau  sait  les  différencier.  Cela  est  possible  car,  même  s’ils  sont   très  proches,  il  y  a  une  différence  :  p  et  b  sont  des  consonnes  occlusives  (pour  les  produire,   on  a  une  fermeture,  une  occlusion  du  canal  vocal).  Il  y  en  a  une  qui  est  sourde,  l’autre  sonore   (b).   La   différence

ne l’attend pas, au moment où on s’en croit protégé L’air froid des nuits = ténèbres extérieures de la Bible Anacoluthe : rupture de construction « moi, mon âme est fêlée » = rupture dont parle le texte =traduction syntaxique de l’image Consonnes occlusives + longue phrase = moins d’air = étouffé (voix s’affaiblie en même temps qu’agonise le blessé La Cloche fêlée II est amer et doux, pendant les nuits d'hiver, D'écouter, près du feu qui palpite et qui fume, Les souvenirs lointains lentement