Consonne occlusive

alterne les rythmes de la phrase. Malgré la ponctuation, il y a du rythme = longueur des propositions entre 2 ponctuations répétition de sons (allitérations* & assonnances*) répétition (anaphore*) Ex : (vers 1 à 12) « allitérations en [p-t] : consonnes occlusives, explosives, son qui explose. (vers 1 à 18) « allitérations en [r] : imiter le grondement d'un animal. Corneille utilise à la fois la ponctuation et les sonorités pour mimer la colère de l'héroïne. 2. Grâce à la projection

Rappel de notions de Seconde 1) La notion de signe Signe = Signifié+ Signifiant où : • Le signifiant est la combinaison de lettre ou de son Exemple : Les jeux sur le signifiant   • Allitération : Répétition de consonne • Assonance : Répétition de voyelle Les jeux sur les sonorités • Paronomase : eg ( « Je m’ [aime] érveille. » • Et le signifié le sens du mot. On peut noter deux sens : • Le sens dénoté (ou

défavorable, même si, selon eux, ils ne font pas nécessairement partie de la prononciation préconisée par le modèle radiocanadien. Dans la recherche de Reinke (2005), ces traits n’ont pas été analysés. Elle n’a donc pas tenu compte de l’assibilation des occlusives dentales […] À notre avis, le fait d’avoir exclu ces phénomènes est malheureux, car on tient pour acquis qu’ils sont effectivement généralisés, même chez les locuteurs les plus prestigieux, comme les présentateurs de bulletins d’information. » (Bigot

répétition voire l’enfermement puisque le poème est fermé sur lui-même, il se termine comme il a commencé · Les sonorités sont très fermées [ure], et participent à l’effet d’étouffement généré par la musicalité du poème : prédominance des occlusives sonores [dire/dolent/dure] qui expriment la dureté adoucie par la sonorisation (voisement) et des fricatives [je/sais/ose/chanter] qui miment le soupir, voire le dernier souffle. I) La douleur sublimée par la poésie La souffrance est

alexandrins, pour montrer ce qu'il aurait du faire et il est question de rêverie et d'envoutement. Le poète s'est endormi grâce au bruit de la pluie, c'est l'histoire d'un rêve merveilleux et fantastique. Ces 2 impératifs repose sur sonorité consonnes occlusives, rappel choc des goutelletes sur la vitre évoquée avec losange sonore. Poète cher lui ds sa chambre, pluie voudrai rentrer alors frape au carreaux. Retrouve répétition double. « c'est moi c'est ondine » même sonorité ac sifflantes plus envoutantes

verbe boire est à prendre au sens métaphorique, comme l'expression : « boire les paroles de quelqu'un ». Dans le dernier vers de la strophe, on entend une belle allitération en [ s ] brusquement interrompue par deux monosyllabes qui sont des consonnes occlusives /k/ et /t/ s'entrechoquant. On remarque que cette femme fatale dont nous parle l'auteur est annoncée depuis le deuxième vers par les rimes « tueuse » et « tue ». Les tercets.« Un éclair, puis la nuit » : l'éclair, c'est l'illumination de l'être

humilient l'albatros par leurs gestes → v11&12 : balancement entre l'un et l'autre. Scène grotesque. Humiliations par le geste et par la parole. 3ème strophe : les phrases exclamatives sous entendent les matelots. V9&10 : allitération en [k]. Consonnes occlusives. c) Le lecteur est invité dans la troisième strophe à participer au divertissement. Phrases exclamatives = présence d'un discours mais présenté sans guillemets, comme si le poète et le lecteur tenaient aussi ce discours. Passage au singulier

Onomatopées Symbolisme phonétique Expressivité Déformation phonétique (tabous linguistiques) •  Exploitation des caractéristiques acoustiques des phonèmes: •  (1) degré d’occlusion des consonnes: occlusives, constrictives, médiales •  (2) consonnes aigües (dentales, palatales) vs. graves (labiales, vélaires) •  (3) consonnes à haute sonorité (nasales, rhotiques, latérales) •  (4) spectre sonore des constrictives: labiovélaires (« bruit rouge »), chuintantes (« bruit rose »), sifflantes (« bruit blanc »)

un peu plus d'étrangeté dans ce lointain passé, qui devient aussi un peu "ailleurs". C'était un autre monde, celui des sentiments frais et printaniers. Et, sur le plan des sonorités, ce mot rime avec "voix d'or", "sonore", en reprenant les trois consonnes retenues par Verlaine pour réaliser ce sonnet : N et V, dans les quatrains et M, dans les tercets. III) Champs lexicaux, figures de style et sonorités a) Le premier champ lexical du texte est sans doute celui du son. Il apparaît dans le silence

la répétition de la consonne : « Je ne sais comment je dure / Car mon dolent cœur fond d'ire / Et plaindre n'ose, ni dire »,  « Ma doleureuse aventure / Ma dolente vie obscure ». De plus, Le retour du refrain induit à la fois la répétition voire l’enfermement puisque le poème est fermé sur lui-même, il se termine comme il a commencé : les sonorités sont très fermées [ure], et participent à l’effet d’étouffement généré par la musicalité du poème : prédominance des occlusives sonores [dire/dolent/dure]