Consonne occlusive

(intérêt porté sur le phénomène de perception des sons) La phonétique acoustique (intérêt porté sur les caractéristiques sonores des sons) En phonétique, on laisse de côté l’aspect graphique de la langue. L’alphabet phonétique a 16 voyelles, 17 consonnes et 3 semi-voyelles. On écrit que ce qu’on entend (pas les « e » muets en conséquence) Les voyelles sont toutes sonores, leur production est accompagnée d’une vibration des cordes vocales. Il existe différents modes de classements, on peut s’intéresser

le plan de l'expression, sont distinguées la dimension linguistique et la dimension visuelle de l'annonce. Au niveau linguistique du slogan « Take a break in the rush », la continuité des consonnes constrictives – les fricatives ou chuintantes (r x2, th-, -sh), s'oppose à la discontinuité des consonnes occlusives (t, k x2, b). Au niveau iconique, la discontinuité des événements de la journée s'oppose à la continuité des cigarettes (de la consommation du paquet, de l'habitude d'acheter des news). Et

répétition voire l’enfermement puisque le poème est fermé sur lui-même, il se termine comme il a commencé             Les sonorités sont très fermées [ure], et participent à l’effet d’étouffement généré par la musicalité du poème : prédominance des occlusives sonores [dire/dolent/dure] qui expriment la dureté adoucie par la sonorisation (voisement) et des fricatives [je/sais/ose/chanter] qui miment le soupir, voire le dernier souffle.   - Texte somme toute peu bavard. Economie notable de moyens :

Cependant, l’encrage de cette inspiration dans le contexte actuel n’est pas moins manifeste car le mot “rois” connote toute forme de pouvoir, celui qui domine et ce ne serait pas qui manquerait à l’époque actuelle! L’allitération en (p) “pas, portes”- occlusive, un son dur- au début du poème ainsi que le recours au modèle canonique sont liés à l’impression d’effort, mais aussi d’antipathie quand les rois semblent chercher laborieusement à s’exprimer. *3§ réguliers du point de vue longueur: §2, la P1

– chasteté : oui – fermeté : oui – saleté : non – âpreté : oui- harceler : oui – surgeler : oui. – surmener : oui - interpeller :oui – amener :non – morceler :oui – s’appeler : non. * Ceux qui se prononcent c’est parce que il y a plus d’une consonne devant la voyelle. 5) Lisez le poème suivant et soulignez les lettres correspondant à des voyelles nasales. Ecrivez pour chaque cas le signe phonétique : Le Capitaine Jonathan, [ɛ̃] [ɑ̃] Etant âgé de dix-huit ans

remarque la succession des consonnes constrictives [v] et [f], produisant un effet de souffle, associé à un vocabulaire de dissimulation : « fallacieux » (v. 1), « déguisements » (v. 3), « fantômes » (v. 4), « disparaître » (v. 6), « oubli » (v. 8), « feinte », « voilée » (v.9), « dissimulée » (v. 10), « secret » (v. 11). En opposition, dès qu’elle décide mettre fin à cette dissimulation et ordonne à sa haine d’éclater (v. 12), les consonnes qu’elle utilise, occlusives et plus particulièrement dentales

un système à l’intérieur duquel chaque unité (phonème) peut être identifiée grâce à certains traits. Les phonèmes [p] et [b] par exemple, se distinguent par le trait « voisement » : [b] est une consonne voisée (sa production est accompagnée par la vibration des cordes vocales) et [p] est 28 une consonne non-voisée (il n’y a pas de vibrations des cordes vocales lors de sa production). Il est possible d’observer d’autres variations de son dans la production langagière : dans certaines régions de

ligne 38-39 : « Sépulvéda prend une liasse de feuillets et commence une lecture faite à voix plate, comme un compte rendu précis, indiscutable », on remarque un travail de sonorité de la part de l’auteur avec une allitération en « c », une consonne dure (occlusive) qui donne à la phrase une coté assez sec : « commence », « lecture », « comme », « compte », « indiscutable ». Son discours est néanmoins préparé, organisé structuré, par exemple ligne 6 à 12, il prend un argument : « incapable de toute

M. Dusuel – Français – 1ère – Lycée Fragonard Objet d'étude n°1 : « La poésie du XIXe siècle au XXIe siècle » Les Fleurs du mal, Baudelaire / Parcours : « Alchimie poétique : la boue et l'or » Lecture linéaire n°3 : « Spleen », LXXVIII, « Spleen et idéal ». Le Cri, 1893, Edward Munch (1863-1944), Musée national de l'art, de l'architecture et du design de Norvège. Situation/caractérisation du passage - Dernière pièce d'un cycle de quatre poèmes intitulés « Spleen », cette célèbre composition

poétique portée à son point culminant avec la poésie. Mais fonction poétique n'est pas réservée à poésie. Dans langage ordinaire, fonction poétique à travers les jeux de mots, rimes, répétitions, assonances (répét. voyelles), allitérations (répét. Consonnes). Fonction poétique beaucoup exploitée dans la pub. « Hextril enlève les maux de votre bouche »  => Paronymie. Maux/mots. Sur plan phonique « au volant, la vue c'est la vie ». La langue peut être utilisée avec objectifs précis dans la communication