Constitutions De 1791 1793 1795 Régimes

opposées car désignant deux évènements différents bien que connectés.Si la Vendée renvoie à l’organisation d’une véritable armée de paysans entre mars et décembre 1793 opérant au Sud de la Loire, la Chouannerie elle correspond selon les mots de Roger DUPUY à une « guérilla endémique et omniprésente » qui succède au soulèvement de mars 1793 ». Elle prend place dans un large espace au Nord de la Loire, allant du centre-Ouest de la Bretagne jusqu’à la Sarthe et du Sud de la Basse Normandie jusqu’à la

Chap I : La France de l’Ancien Régime à 1852 I°/L’Ancien Régime. a)Caractéristiques institutionnelles. 80% des français sont des paysans, mais la terre leur est prêtée en échange des impôts (cens, gabelle, dîme). L’ordre social est alors considéré comme de droit divin. Le roi est le symbole même de la Nation et de l’Etat. Le pouvoir est donc très centralisé, les charges sont vénales pour augmenter les rentrées d’argent. Le pays est certes centralisé, mais il n’est pas unifié :

de tensions B. Un clergé d'abord tolérant face aux réformes de l'Etat C. La Constitution civile du clergé de 1790 marque une véritable déchirure II) De 1792 à 1794 l'Eglise et l'Etat s'affrontent dans une crise violente – pages 4, 5. A. Les prêtres sont sévèrement persécutés de 1792 à 1794 B. L'armée massacre les catholiques vendéens en 1793 C. La Convention cherche à déchristianiser le peuple de 1793 à 1794 III) Le conflit s'apaise à partir de 1794 – pages 6, 7. A. Les mesures

Histoire politique et sociale de la France contemporaine Licence 1 Droit Semestre 1 Année 2013/2014 Sommaire Introduction générale Première partie : De 1789 à 1795  Chapitre 1 : La crise de l’ancien régime et les causes de la Révolution o I : Les causes profondes de la Révolution française : la crise d’une société d’ordre  A : Les contradictions fondamentales de cette société d’ordre  B : L’Etat des forces sociales à la fin du XVIIIe o II : Les causes immédiates de la Révolution

une foule réclamant « du pain et la constitution de 1793 », emporta la condamnation définitive de la constitution de l’an I qu’ils jugèrent indissociable du terrorisme. La rédaction d’un nouveau projet de rédaction d’une constitution incomba à une commission de onze membres dont fera parti Boissy d’Anglas. Ce dernier prononce un discours préliminaire au projet de Constitution le 23 juin 1795 à la Convention nationale où il condamne fortement cette constitution de l’an I, « nous vous déclarons tous

et sociale » 2001/2002. -Le manuel de Jean-Jacques Chevallier « histoire des institutions et des régimes politiques de la France de 1789 à 1958 » édition Armand Coli. -Le manuel de Romuald Szramkiewicz et jacques Bouineau «Histoire des institutions ». -Le manuel de Pierre-Clément Timbal et Castaldo « Histoire des institutions et des faits sociaux » Dalloz. Introduction : La chute de l’ancien régime. La révolution de 1789 n’a pas été une révolution sociale, ca n’a pas été une révolution provoquée

seront distribués graduellement dans un rapport combiné avec la division du royaume ; il sera établi des fêtes nationales pour conserver le souvenir de la Révolution française, entretenir la fraternité entre tous les citoyens et les attacher à la Constitution, à la patrie et aux lois. Talleyrand présente son plan sur l’instruction publique. « Chaque administration de département déterminera le nombre des écoles primaires de son arrondissement, sur la demande des municipalités, présentée par les directoires

dès lors distinguer les causes immédiates des causes profondes de la Révolution. §1 : Les causes profondes de la Révolution. A- Les contradictions sociales. Le principe fondamental régissant l'ordre social de l'Ancien Régime était l'organisation en trois ordres distincts, inégaux devant la loi et l'impôt. La noblesse (400 000 membres) et le clergé (115 000 membres), très minoritaires, bénéficiaient de nombreux privilèges symboliques et substantiels par rapport au tiers

Le roi et la révolution 1788-1794 Intro : En 1788, la France vit sous le régime de la Monarchie absolue depuis plus de 10 siècles. Le roi, par le sacre, considère que son pouvoir vient de Dieu et qu’il ne peut donc être remis en question. Les Français sont ses sujets, ils n’ont aucune part active à la vie politique de la France. Pourtant, la crise sociale et économique des années 1780, le développement de l’instruction des Français, le travail des philosophes, commence à susciter

revendiquer un renforcement de son pouvoir. A la fin de l’ancien régime elle réclame la réintégration d’anciens droits publics. Les nobles sont aussi éclairés, ils connaissent des idées philosophiques des lumières et du libéralisme. - Le tiers-état : c’est un tiers ordre c’est-à-dire un troisième ordre. Il regroupe la majorité de la population mais il n’est pas un ordre privilégié. Représente 90 % des français sur le territoire de ce régime. SIEYES pose la question : Qu’est-ce que le tiers-état ? et répond