Consumer Behaviour Starbucks

des producteurs aux exigences de la distribution. On citera notamment celle du trade-marketing, qui vise à prendre en compte les contraintes stratégiques du distributeur dans la formulation des options stratégiques du fournisseur, ou l’efficient consumer response (E.C.R.) qui s’efforce de coordonner l’ensemble des actions des producteurs et des distributeurs, aussi bien en termes de gestion des flux logistiques, d’échange d’informations concernant les marchés, que d’actions de communication ou de

pouvons suggérer que la quantité des inputs, qui détermine le niveau de la participation demandée, intervient également dans l’arbitrage que réalise un client entre plusieurs canaux de distribution. 165 « This view highlights the role of the consumer as sole “producer” and the service provider as “enabler” or facilitator in the production or assembly of the product » (Namasivayam, 2003 : 421). 166 Pour être complet, il convient de préciser que cette omission peut également provenir de problèmes

was blurred beyond almost all recognition. Musicians like the Arctic Monkeys and Sandi Thom were crediting their MySpace pages for making them stars (in reality, the Internet was just one part of a wider marketing effort; but with so many young consumers spending the bulk of their leisure time online it was a critical part). Bloggers were being invited to appear as talking heads on TV shows and each month dozens of artists, comedians, writers, journalists and filmmakers were making the leap from the

tant qu’acteur dans le pilotage du changement. Les auteurs Hambrick, Geletkanycz & Fredrickson (1993) ont affirmé que l’interprétation du contexte par les managers est cruciale pour la décision de changement ou au contraire de la stabilité. Pour Starbuck, Greve & Hedberg (1978), en période de crise, les dirigeants ont du mal à envisager le changement. Les travaux de Weick (1969) accentuent cette idée en mettant en évidence l’importance du processus de la création du «sens» dans l’étude des processus

coordination de services, etc. Ainsi, face à cette production ininterrompue d’actions, les acteurs en viennent à inventer des pro52 53 54 55 Weick (1977). Cyert et March (1963). Bums et Flam (1987) ; Cohen et Bacdayan (1994) ; Zhou (1993, 1997). Starbuck (1983,1985) ; Brunsson (1990). 254 La décision peut-elle se passer du décideur ? blèmes pour justifier les actions engagées ou réalisées. Celles-ci apparaissent indispensables, puisqu’elles sont posées comme solutions aux problèmes construits

( Idem pour les économies d’échelle et d’encadrement (le taux d’encadrement peut cependant augmenter au-delà d’un certain niveau de différenciation). ( Divers auteurs ont étudié l’influence de l’âge de l’organisation (corrélé à sa taille). ( STARBUCK (1965) : - un âge élevé entraîne une résistance aux changements dans les relations sociales, mais facilite l’acceptation des changements d’objectifs ; - une jeune organisation présente des résistances aux changements d’objectifs, mais accepte les

Diverses recherches s’en sont inspirées (notamment concernant la prise de décision). Cours de Management – Jacques Sornet © CRCF – 2010 Page : 29 / 266 Herbert Alexander SIMON (1916 - 2001), sociologue et mathématicien, enseignant.  Administrative behaviour (1947), …  Pour Simon, étudier la prise de décision triviale est sans intérêt : il s’est intéressé à la rationalité des décisions complexes.  Une décision est rationnelle si le choix conduit au meilleur résultat en fonction d’un système de valeurs