Contrainte Légitime Kant

ces deux catégories. Nous voilà réduits au cynisme moral, voire au nihilisme. Or, cette valeur « d’établissement », qui ne nous apparaît plus guère que comme une pseudo-valeur, la rendrait-on plus rationnelle – partant moins arbitraire et plus légitime – en la fondant sur une convention utile, en assimilant le juste à l’utile et l’injuste au nuisible ? Ecartons d’emblée le cas de l’utile purement subjectif, personnel, individuel, de ce qui, faisant l’objet d’un intérêt particulier, s’identifie

évoquant la loi, dont est subordonné le châtiment et d’autres parts au contraire la vengeance qui n’est en aucun cas relié à la loi. Nous pourrions donc nous demander : Qu’est ce qui distingue le châtiment de la vengeance, et pourquoi le châtiment est légitime aux yeux de la loi, contrairement à la vengeance ? Cette question soulève donc plusieurs enjeux dont celui pédagogique (pourquoi doit-on apprendre à respecter la loi et l’autorité), mais aussi un enjeu politique

Justice sans Force est impuissante; Force sans Justice est tyrannique. Blaise Pascal Selon Pascal, la justice a besoin de la force pour s'appliquer, et la force à besoin de la justice pour être légitime. Il faut donc les assembler. Peut-on mettre la force au service de la justice sans que le processus ne s'inverse? Les hommes ne respectent-ils la justice que parce qu'ils y sont obligés? La justice peut-elle s'associer à la force sans en devenir dépendante? Le droit, qui est supposé être l'expression

est un mythe ; dans la réalité, il s'agit simplement de volonté forte ou débile. Quand un penseur s'avise de découvrir d'emblée dans tout « enchaînement de causes » et dans toute « nécessité psychologique » quelque chose qui ressemble à une contrainte, à une nécessité, à une succession obligée, à une pression, à une servitude, c'est presque toujours le signe qu'il y a quelque chose qui cloche en lui ; sentir ainsi est révélateur ; la personnalité s'y trahit. Et d'une façon générale, si mes observations

ainsi de diriger les affaires publiques et en découle son organisation. Peut on dire alors que la Politique s'inscrit comme le fondement de la cité qui se baserait sur la recherche d'un universel, guidée par la question du juste, du meilleur et du légitime ? Est ce cette finalité que les hommes ont voulu façonner en mettant en place une constitution, des règles et des lois ? Est ce que la Politique est elle suffisante à assurer la paix et la sécurité dans la Cité ? En ce cas, pourquoi est ce qu'on

l’expression juridique d’une société et le cadre organisateur de la vie sociale. Il y a un double instrument : la domination + la pacification (monopole de la violence légitime) L’Etat est fondé sur un principe de légitimité. Ce principe accompagne sa souveraineté (capacité d’autorégulation). Cette régulation signifie contrainte et liberté Sur le plan international : Il n’y a pas un seul Etat. Il n’y a donc plus de monopole mais une concurrence entre les Etats. Il y a aussi un principe d’égalité

monde culturel français. La réflexion menée sur la légitimité de la culture, la notion de goût et l’esthétique, s’appuie sur des ouvrages généralistes allant de Sylvette Giet à Bourdieu en passant par Kant et Platon. Cet étude a pour but la compréhension de ce qui établit une culture et la rend légitime. L’ouvrage de Dick Hebdige : « Sous culture le sens du style », nous permet de distinguer ces sous cultures. Différents documents sur le street art nous autorisent à comprendre ce phénomène et à en différencier

me définissez l’art comme manifestation, expression, de votre individualité : est-ce que ça a toujours été le cas ? Non, loin de là ! Grille de lecture : mouvement de subjectivisation de l’œuvre. Progressivement, l’art se détache des contraintes, religieuses, civiles, et même, naturelles (il devient alors subjectif) A- Périodes classiques et pré-classiques : l’art reproductif L’artiste est commandité (par l’Eglise, puis par les princes) pour enregistrer les grands moments de la vie

le droits ou les biens d’un autre. Pour lui la guerre juste est celle qui vise à restaurer la paix ou la tranquillité publique mais surtout pas l’intérêt d’un seul homme. Les cas guerres justes sont donc celles :   -        qui se fonde sur la légitime défense (pour assurer sa propre survie). -        qui visent à la défense de la propriété si celle du territoire est menacée. -        qui sont menées pour redresser un tort ou infliger une punition méritée.   Ainsi, Grossius condamne les guerres

ne pas aller en prison et non pour faire le bien. On agit moralement lorsque l’on agit sans intérêt. A un même type d’action, deux volontés différentes. La morale est au départ de l’action alors que le Droit agit sur les conséquences de l’action. (Kant) Le problème de l’euthanasie Pour certains c’est un crime, c’est tuer. Pour d’autre, l’euthanasie sert à permettre à une personne de mourir dans la dignité et ignorer la souffrance. On ne peut pas savoir la justice absolue. On doit donc s’en référer