Contrainte Morale

son caractère obligatoire qui est Le fait d’imposer des contraintes à travers les règles de droit aux individus de notre société. Ceci nous mène à notre problématique : une règle de droit est-elle toujours accompagner de sanctions ? C’est à cette question que nous tenterons de répondre en cherchant tout d’abord à comprendre le caractère nécessaire de la contrainte (I) tout en essayant d’en discerner les exceptions (II). I.La contrainte, caractère nécessaire L’idée de droit ne peut être dissocié

par nature n’est pas du tout un être moral ; il ne devient un être moral que lorsque sa raison s’élève jusqu’aux concepts du devoir et de la loi. On peut cependant dire qu’il contient en lui-même à l’origine, des impulsions menant à tous les vices, car il possède des penchants et des instincts qui le poussent d’un côté, bien que la raison le pousse du côté opposé. Il ne peut donc devenir moralement bon que par la vertu, c’est à dire en exerçant une contrainte sur lui-même, bien qu’il puisse être

lisent la morale, mais de grâce ne leur donnez pas notre poésie à gâter ». Quelle réflexion vous inspire cette déclaration ? I. La compréhension du sujet a. Les mots-clés - Propres ennemis = les poètes - Encenser et prêcher : Véhiculer, développer, transmettre, etc. - Impiété= la vulgarisation de l’art comme l’expression de la morale b. Les différentes idées du sujet - Pourquoi les poètes développent-ils la morale ? = les

Sujet 2 : Les devoirs sont-ils des contraintes ? Parce que l'Homme dispose d'une conscience, il peut avoir le sentiment que les règles du devoir s'opposent à ses envies mais aussi à son bonheur ou à sa liberté et donc être amené à penser que les devoirs sont des contraintes. Pour autant, les devoirs sont-ils seulement des contraintes ? Autrement dit, il s'agit de déterminer si tous les devoirs sont des contraintes. Ces deux termes, devoir et contrainte, peuvent au premier abord paraître

devoir est avant tout une histoire de morale de bonne conscience, basé sur des intuitions. Dans ce sens on pourrais penser que le devoir, autrement dit faire sont devoir permettrais à l'être d'être plus libre, de telle sorte qu'il se donnerais bonne conscience comme ne pas regretter une action, qui pourrait nous procurer des remords. Mais faire son devoir ne garantit pas non plus la liberté donc peut être que le devoir inclue une certaine notion de contrainte. Nous allons donc voir dans un premier

Qu’est-ce qui fait qu’une action est bonne ? Tout d'abord il à la distinction morale et éthique. La question de savoir ce qui rend une action bonne, ressort du domaine de la réflexion morale. Il convient donc d'abord de connaître une distinction essentielle en philosophie morale : il s'agit de la distinction entre "morale" et "éthique". A dire vrai, à l'origine, les deux termes désignaient grossièrement la même chose : tous deux dérivent du mot "mors", qui signifie les mœurs, la manière de vivre

La liberté est une notion qui se définit, négativement, comme l’absence de contrainte ; positivement, comme l’état de celui qui fait ce qu’il veut. Or le devoir est une obligation morale. Cette obligation peut revêtir un caractère absolu et se nomme alors un « impératif catégorique » (Kant). Dès lors, on voit mal comment une obligation et l’absence de contrainte pourraient être complémentaires. En effet, n’est-ce pas, dans un sens, le but du devoir que de contenir les libertés ? Dans ce cas, le

l’apparence, du paraître extérieur, mais aussi de l’apparition transformant l’être dans son intériorité. De l’autre la violence est considérée comme une contrainte envers une force déterminée et établie. Si la beauté n’est pas un acte mais une représentation esthétique, la violence, elle est une action qui doit déployer les armes nécessaires à une contrainte. Paul Ricœur, dans Lecture 1, à propos de Violence et langage d’Eric Weil, défini la violence comme « l’empire de l’entre-deux » entre le meurtre (une

------------------------------------------------- Est-on libre quand on agit mal ? Analyse du sujet : * La notion de mal réfère à la morale et le premier piège à éviter est celui du relativisme : les valeurs morales seraient propres à chacun et le mal n’existerait donc pas objectivement. Hitler ne pensait-il pas faire le bien en programmant l’extermination des juifs ? Evidemment du côté des victimes l’appréciation était fort différente. Si on adopte ce point de vue (inconséquent par ailleurs)

Dissertation droit et morale Les hommes sont gouvernés par des règles de conduite qui sont d’essence différente. Parmi celles-ci, le droit et la morale. L’évolution des idées concernant les rapports entre le droit et la morale diffère également. D’un point de vue philosophique on observe une nette distinction entre le droit et la morale (Kant), chez Ripert éminent moraliste du XIX on ne constate pas de différence de but ou de nature entre la règle morale et la règle de droit et enfin chez