Contrainte Morale

violence. Le droit est essentiellement institutionnel et lié a des institutions chargées de l’administrer. Il est en quelque sorte plus explicite et plus direct que la morale, mais aussi très proche d’elle. Il est par ailleurs difficile de distinguer une norme juridique d’une norme morale. Exemple : « tu ne tueras pas » est une règle morale, tandis que « tu ne tueras pas si tu ne veux pas aller en prison » est une règle juridique. I Droit et fait On distingue la question de fait qui établit l’existence

Section 2 : Droit et Morale Comme la religion, la morale entretient avec le droit à la fois des rapports de divergence (§1) et de ressemblance (§2). §1 : Les dissimilitudes entre le droit et la morale Comparée au droit, la morale est plus exigeante, car elle attend de l’homme un dépassement. La morale tend à la perfection de la personne et à son épanouissement. Ouverte aux impératifs de la conscience, elle est individualiste et a pour socle les valeurs humaines, personnelles ou collectives

Peut-on définir la morale comme un ensemble de règles ? On considère souvent la morale comme un ensemble de devoirs, ou de règles qu'il faut suivre dans la conduite de sa vie. Les Anciens au contraire, sans nier l'existence des devoirs, voyaient dans la morale essentiellement la recherche d'un perfectionnement personnel caractérise par les vertus. C'est, comme on le verra, la grande crise de la théologie chrétienne à la fin du Moyen Age qui est à l'origine de ce changement de point de vue dont

Le Devoir Le concept de Devoir sous-entend celui de Liberté. Le D. est quelque chose qu’on est obligé de faire par rapport à la société ou à soi même ( c’est l’idée qu’on est redevable envers ...).Le Devoir n’est pas une contrainte, il n’est pas subit. Il est parfois teinté de négatif. Faire son Devoir n’est pas simple et on a du mal à l’identifier. Le D. en théorie est différent de la pratique. Comment prendre conscience de ses devoirs ? Est-il aisé de suivre ses devoirs ? Certains devoirs semblent-ils

faire. " a écrit Thomas Hobbes dans Léviathan en 1651. Pour Spinoza, la liberté est l'opposé de la contrainte. Mais de ce fait peut on librement promettre quelque chose et s'y tenir? Nous allons voir que pour tenir certaine promesse il faut passer outre les contraintes qu'elles posent, puis que nous somme libre de choisir de faire des promesses ou non et qu'on se met nous même de nous mettre des contraintes, enfin nous allons si seul les actes peuvent être promis. Pouvons nous tenir nos promesses

déjà un doute sur la liberté. En effet la liberté est considérée comme un bien à préserver. C’est une valeur fondamentale de l’humanité qui est représentée par aucunes contraintes. Mais peut-on en effet, prouver l’existence de a liberté ? N’est –elle pas qu’une illusion ? De plus, la liberté, qui est présente comme sans contraintes, en connait quelques-unes tout de même, comme celles d’un Etat qui impose des lois pour instaurer certaines limites à cette liberté et donc instaurer la justice. Donc

La liberté de penser exclut elle toute contrainte ? Il apparaît juste de mettre comme postulat que la liberté de penser ne peut pas exister s’il existe des contraintes. La liberté de penser doit alors exclure toute soumission, toute obéissance. Les contraintes seraient vues alors comme des barrières, des freins à une libre expression de la pensée. Mais il peut paraître nécessaire que les contraintes existent pour que la liberté de penser puisse s’exprimer sans pour autant nuire à l’autre ? Une

Une vertu sociale? Tolérance prstée comme nécessaire dans toute soc. Il faut pouvoir coexister sans heurt, malgré nos divergences (nt religions) Ce que veut L. ? => transformer la question de la tolérance pol. En question de sagesse et de morale = être ami Qu'est-ce qui justifie la tolérance? Tolérance longtps tenue en marge de la philosophie => Doute sur une véritable idée de Tolérance => la tolérance en tant que fausse vertu => incite à suspendre la répression de ce qu'on juge mal

délimitant et garantissant la sécurité de chacun, contre la menace de l'égoïsme des autres et pour que chacun soit à même d'apprendre et de vivre avec et auprès des autres, afin de développer ses facultés  et de satisfaire ses besoins.: Chaque homme est contraint de s'associer aux autres pour réaliser ses fins propres et désire en même temps et pour le même motif général s'opposer à eux . Cette ambivalence, interne à l'intérêt égoïste, est ce qui va produire, selon Kant, un progrès de la culture: en s'affrontant

l'homme possède une conscience morale qui lui permet de s'interroger sur sa situation et de faire des choix en conséquences. Cette liberté d'agir peut être considérée comme positive, car on agit par soi même, on est autonome. Cependant, Sartre signifie par le terme à connotations péjoratives ''condamné'' que cette liberté peut aussi être négative. En effet, l'homme possède la capacité de choisir de part les obstacles ou contraintes auxquels il est soumis. Sans ses contraintes, l'homme ne sait comment