Contraintes Structurelles Crozier

de pouvoir que l’on n’entend guère partager. Or la démarche d’intelligence économique est fondée sur la circulation des connaissances. C’est cette vérité élémentaire de la perversion du rapport à l’information que mettaient déjà en lumière Michel Crozier et Erhard Friedberg dans L’acteur et le système [15]. Pour ces auteurs, les acteurs d’une organisation évoluent dans un système contraignant à l’intérieur duquel ils construisent un espace de liberté. Ce dernier, utilisé stratégiquement, va leur servir

------- 1. MON HYPOTHESE DE TRAVAIL En abordant ce mémoire, je pars avec l’idée largement préconçue que :  au fur et à mesure de l’avancement du projet « multi-partenaires », ses protagonistes découvrent de plus en plus de contraintes liées à l’environnement social du projet et à l’organisation. Ils seraient alors amenés à intégrer un nombre plus important de paramètres dans la stratégie et dans l’action. Ils développeraient nécessairement des compétences tout au long du projet

de priorité ; 8. prendre les décisions et planifier ; 9. prendre les engagements à mettre en œuvre. (8) Des enjeux importants pour l'entreprise : Confrontée à une évolution permanente et rapide des techniques et des méthodes, l'entreprise est contrainte à renouveler très souvent ses produits. Parmi ses raisons : - la baisse des prix et l'augmentation des puissances des matériels ; - l'apparition des TIC élargissant le champ d'action ; ___________________________________________________________________________

sous-traitance conjoncturelle et la sous-traitance structurelle. a- La sous-traitance conjoncturelle. La sous-traitance est dite conjoncturelle, une fois le donneur d’ordre a fait recours à une autre entreprise, d’une manière occasionnelle en raison d’une pointe momentanée de la demande où d’un incident technique, pour externaliser une partie de son activité. b- La sous-traitance structurelle Au contraire, la sous-traitance est dite structurelle, une fois le recourt à cette politique est habituelle

problème ou d’un dysfonctionnement, mais = occasion de révéler le dysfonctionnement, le conflit est un symptôme. Le But est soit de : sortir des contradictions qui peuvent apparaître dans les buts du système. On pense évidemment à la fameuse "double-contrainte" de Grégory Bateson. sortir d’un état d’inertie, de fatalisme. C’est une sorte d’électrochoc destiné à mobiliser les acteurs. sortir d’une forme organisationnelle déshabitée, obsolète ou devenue vide de sens. Il s’agit alors "d’achever" le système

à prendre au pied de la lettre les discours autojustificateurs des intéressés, la thèse d'un droit administratif en crise, et menacé d'implosion, apparaît illusoire: non seulement le droit apparaît pour l'administration plus que jamais comme une contrainte incontournable, à l'heure où le discours de l'Etat de droit insiste sur les vertus de la médiation juridique, mais encore la constitutionnalisation progressive du droit administratif, loin de signifier la mort de celui-ci, lui confère sans doute

développe sur cette idée qu’il y a des superstructures. Durkheim précise : l’objet de la sociologie ne peut étudier tous les phénomènes humains mais doit se limiter à ceux qui manifestent une contrainte extérieure. Selon lui : « est fait social toute manière de faire susceptible d’exercer sur l’individu une contrainte extérieure ». Pour lui, ce fait social, doit être traité comme une chose c’est-a-dire qu’il doit faire l’étude d’une appréciation objective. Les allemands quant à eux donnent une approche

diagonale : 2 488 000 les immobiles. Les mobiles = 7 045 000 - 2 488 000 soit 4 557 000 cela fait 35,3% d’immobiles et 64,7% de mobiles. La mobilité structurelle est une mobilité forcée  : d’un point de vue microsociologique, puisque certains emplois ont disparu, certains fils ne peuvent pas faire le même métier que leur père… Comment mesurer cette mobilité structurelle ? En faisant les différences d’effectifs par CSP entre génération des pères et génération des fils : 1 143 000 agriculteurs chez les pères,

résultante de forces opposées, les unes étant des forces motrices, les autres des forces restrictives favorisant le statut quo. Les forces motrices pourront être des modifications de l’environnement ou des forces internes associées à des modifications structurelles ou au renouvellement de la composition de l’entreprise. Les forces restrictives peuvent être liées à l’ignorance de la nécessité d’un changement ou à la place centrale que peuvent occuper les mécanismes par lesquels le changement devrait être légitimé

l’élite qu’il baptise « Sciences Politiques » : « L’enseignement nouveau s’adresse aux classes qui ont une position faite et qui ont le loisir de cultiver leu esprit. Ces classes ont eut jusqu’ici la prépondérance politique mais elles sont menacées, contraintes de s’incliner devant le droit du plus nombreux. Ces classes qui se nomment elles-mêmes des classes élevées ne peuvent conserver leur hégémonie politique qu’en invoquant le droit du plus capable. » L’école de sciences politiques s’ouvre en 1872,