Contrat Deces

Qualification des biens dans le régime légal Cas pratique Le régime des époux Depuis la loi du 1er Février 1966, les époux qui décident de se marier sans établir de contrat de mariage sont soumis automatiquement au régime légal de la communauté réduite aux acquêts. En l’espèce, Thierry SOPRANO et Laura se sont mariés en juillet 1974 sans contrat préalable. Donc on considère qu’ils sont mariés sous le régime légal de la communauté réduite aux acquêts. Le principe de ce régime réside dans le fait que les

temporaire (max. viager), cessible • Intransmissible, sauf usufruit successif ou réversible • Exclusif dans sa totalité, mais divisible intellectuellement Création : • Par la loi (conjoint survivant, descendants) • Par un contrat (à titre onéreux ou gratuit) • Par un testament Droit de l’usufruitier : • Droit à l’usage de la chose usufructuaire • Droit à la perception des fruits produits par la chose o Fruits civils (loyers, rentes) o

Fiches – Droit des sociétés Introduction I – La définition. A) La définition des Sociétés Art. 1832 CC = Définition de la Société => « La société est instituée par 2 ou plusieurs personnes qui conviennent par contrat d’affecter à une entreprise commune des biens ou leur industrie en vue de partager le bénéfice ou de profiter de l’économie qui pourra en résulter ». Caractéristiques de la Société => Pluralité (2 ou plsrs personnes), Apports (affecter biens ou industrie), Partage des

et financier - régissant les rapports Assureur / Assuré, les obligations des parties, le contrôle des sociétés d'assurances, les éléments devant obligatoirement figurer dans le contrat… pour conforter les structures d’un marché relativement performant bien que modeste. Au Maroc, le premier texte régissant le contrat d'assurance est l'Arrêté Viziriel du 28 Novembre 1934, et du 6 septembre 1941 relatif au contrôle de l'Etat sur les entreprises d'assurances, de réassurance et de capitalisation

l’acceptation du contrat est ses modalités. Et dans l’impossibilité matérielle d’effectuer des enquêtes approfondies, dans chaque cas, tout dépendra des déclarations de l’intéressé. La loi exige la bonne foi de l’assuré. L’assureur doit bien être informé et l’obligation d’information qui pèse sur le souscripteur n’est pas circonscrite dans le temps et l’assuré peut être amené à déclarer toute circonstance nouvelle à aggraver le risque. A- La déclaration du risque lors de la conclusion du contrat a°)-

on a le contrat de mariage: les règles patrimoniales. Autres régimes: la séparation des biens, la communauté universelle (le partage), le régime primaire impératif.. Le concubinage peuvent durer bien longtemps. Quelle que ce soit la forme de la famille, l’enfant a les mêmes droits, sa filiation et ses droits de succession sont reconnu de la même manière. Titre 1: Le couple marié Le mariage est un support traditionnel du mariage. Le mariage c'est un contrat classé dans les contrats solennel:

consomptibles ne peuvent donc pas faire l’objet d’un contrat qui a pour objet l’usage de la chose en vue de sa restitution in species (comme l’usage de la chose implique sa disparition, la restitution n’est pas possible). (ex : prêt d’un oeuf n’aboutira pas à la restitution du même oeuf) En revanche le droit de propriété des choses non consomptibles ne s’éteint pas avec le premier usage, donc ces choses peuvent faire l’objet d’un contrat impliquant leur restitution in species. En ce qui concerne

entre vifs est un acte par lequel le donateur se dépouille actuellement et irrévocablement de la chose donnée, en faveur du donataire qui l’accepte. Cette donation n’apparaît donc pas révocable. Mais on sait que la donation est un contrat, et que pour que le contrat soit valable, il faut un consentement valable, une capacité à contracter, ainsi qu’un objet et une cause licite. Alors que la cause et l’objet semblent tout à fait licites, puisqu’il est admis qu’une personne fasse don d’une somme d’argent

fait conformément aux usages ou aux occasions bague de fiançailles : tout dépend des circonstances de la rupture + faute, décès de la fiancée ou mésentente réciproque => restituée + faute, décès du fiance => conservée par la fiancée + s'il s'agit d'un bijou familiale, restitué (1ère chbre civile, 30 octobre 2007) 2. Les rapports à l'égard des tiers décès accidentel d'un des fiancés causé par un tiers : chbre criminelle, 5 janvier 1956 => survivant peut réclamer la réparation du

Définition de l’assurance emprunteur Le contrat d’assurance emprunteur, souscrit en garantie d’un prêt, est accessoire au contrat de prêt. L’assurance emprunteur couvre généralement les risques de décès, d’invalidité, d’incapacité et, pour certains contrats, le risque de perte d’emploi. Il ne s’agit pas d’une assurance obligatoire au sens du Code des assurances ; cependant elle est, dans pratiquement tous les cas, exigée par l’établissement prêteur pour les crédits immobiliers. Le Code de la consommation