Contrat Social John Locke

retourneraient pas contre leur propre nation. Malgré tout, le fossé culturel est déjà creusé et continue de s’approfondir. L’année 1764 en particulier marque un point de rupture, à l’image notamment de l’avocat James Otis et son pamphlet inspiré du Contrat social de Rousseau dénonçant les impôts non consentis auxquels doivent se plier les colonies sur ordre de la Couronne anglaise. C’est durant l’année suivante que la violence entre dans le champ politique, notamment suite à l’appel à la révolte générale

Droit constitutionnel L’Abbé SIEYES député du tiers Etats et qui était devenu le théoricien du pouvoir constituant, l’assemblée constituante décide d’écrire une constitution et s’inspirent des lumières et des grand théoriciens comme John LOCK, c’est à ce moment qu’il rédigent la déclaration des droit de l’homme notamment dans l’article 16 DDHC de 1789 « Toutes sociétés dans laquelle la garantie des droit n’est pas assurée ni la séparation des pouvoirs déterminées n’a point de constitution. »

échappant à tout déterminisme social, il n’y a qu’un pas, vite franchi. L’homme serait donc libre en tant qu’individu, dans l’isolement, indépendamment de la société. Ce serait la forme idéale de la liberté. Or la nécessité pousse les individus à nouer des relations avec leurs semblables. La liberté de chaque individu serait menacée par celle de tous les autres. Pour empêcher que ces libertés s’annulent, les hommes seraient conduits à instituer la société par un contrat, soit tacite, soit formel, par

limitant les libertés et les pouvoirs. Article 1 DDHC: «Les distinctions sociales ne peuvent être fondées que sur l’utilité commune ». Elle ouvre le cadre de l’inégalité, des distinctions de droit. L’utilité commune est le bien commun selon Aristote, c’est le bien général. Cela appelle directement à une question: quel est l’intérêt commun? Article 6 DDHC: « la loi est l’expression de la volonté générale.» Ce que voudra le corps social. Les inégalités sont déterminées par la loi. Après le 18ème c’est

de la souveraineté peut être de deux sortes, la souveraineté peut être soit aux mains de la nation, soit aux mains du peuple. Dans le premier cas, on parle de souveraineté nationale, cette notion apparaît aux XVIIe siècles et XVIIIe siècle avec John Locke et Montesquieu, qui introduisirent le principe de séparation des pouvoirs, principe conduisant à la création des systèmes de représentation. Elle est caractérisé par un régime représentatif, c'est à dire un régime ou le peuple élit des représentant

liberté par opposition à la conception absolutiste de l’Etat où tous les pv sont concentrés au sein d’une même autorité qui peut donc soumettre à sa volonté les autres composantes de la société et donc nier la liberté des individus ou des composantes sociales - Du point de vue historique principe de la séparation des pv est d’abord un principe politique avant d’être une réalité juridique I Les fondements des théories de la séparation des pouvoirs A) Les origines philosophiques de la séparation

philosophes sont animés par leur considération pour le genre humain et par leur foi dans sa marche vers le progrès. Les philosophes rationalistes du XVIIème siècle tels que René Descartes et Baruch Spinoza, les philosophes politiques Thomas Hobbes et John Locke et certains penseurs sceptiques en France comme Pierre Bayle peuvent être considérés comme les précurseurs des Lumières. Mais les principaux noms qui nous viennent à l’esprit sont Voltaire, Diderot ou encore Rousseau. Rousseau est au centre des

: Techniques pour assurer une représentation effective et efficace Chapitre 2 : Séparation horizontale des pouvoirs § 1 : De la pratique à la théorie A) Le régime parlementaire : un système à l'origine empirique B) Un système théorisé : Locke, Montesquieu... § 2 : De la théorie à la pratique A) Un système supposant une séparation plus ou moins souple des pouvoirs B) Les régimes parlementaires en Europe : constance et particularismes TITRE 1 : L'ETAT Louis XIV a pu dire «L'État

« usage », « caractère »), principes ou critères d’évaluation de la conduite humaine, parfois appelés mœurs (latin mores) et, par extension, étude de tels principes. Le terme latin ethica désigne la philosophie morale, qui relève des sciences sociales, par opposition aux sciences exactes (mathématiques, logique) et aux sciences empiriques (chimie, physique). Axée sur le concept de responsabilité, l’éthique s’inscrit dans l’histoire des idées. La philosophie grecque la conçut comme une réflexion

les esprits et surtout dans les esprits des lumières = le contrat sociale + la séparation des pouvoirs. §2: fin de l’ancien regime , les idées des lumières Les philosophes des lumière n’ont pas voulu la fin de l’ancien régime , ils n’avaient donc aucune raison de vouloir la chute de la monarchie , mais comme la monarchie a été incapable de ce reformer leurs idées ont servie a renverser le régime (Voltaire Montesquieu…) A)Le contrat social C’est une idées de la philosophie politique et pour comprendre