Controle Des Sanctions Par Le Juge

étatique) applicables aux relations individuelles (=celles qui ont trait au contrat de travail, relation entre un salarié et son employeur) et collectives (l'organisation et la défense des intérêts collectifs). Distinction car selon la question posée, le juge compétent est pas le même. Indiv : conseil des prud'hommes Collectives : TI et TGI... Employeurs privés : On exclut pratiquement tous les employeurs publiques (on est pas soumis au droit du travail) car les fonctionnaires n'ont pas de contrat

licenciement pour motif économique La notion de licenciement pour motif économique apparaît pour la première fois dans la jurisprudence du Conseil d'État, en application de l'ordonnance du 24 mai 1945 relative au contrôle de l'emploi. A cet époque, les différents pouvoirs publics cherchent à contrôler le marché de l'emploi. C'est pourquoi, le droit français des licenciements économiques a fait l'objet de plusieurs réglementation plus ou moins chaotique. On a observé une stabilité du droit de 1975 à 1986

Synthèse des moyens de légalité externe et interne en REPAttention cette synthèse n’est pas exhaustive Recours pour excès de pouvoir  : recours par lequel le juge administratif est saisi d’une demande d’annulation d’une décision administrative illégale. Les requérants peuvent invoquer des moyens de légalité externe et interne : · La légalité externe : les questions de compétence, de forme et de procédure qui sont susceptibles d'affecter

et a un contenu normatif. Caractère permanent : la naissance de la règle de droit = promulgation qui marque l’entrée en rigueur de cette règle / la mort de la règle de droit = l’abolition de cette règle. Caractère normatif : loi qu’on peut sanctionner avec un contenu (= énonce certains droits) applicable devant la justice. Caractère général : la règle de droit est là pour s’appliquer dans des cas généraux et non particuliers. Il y a un caractère général pour le contenu et pour l’application

de droit intéressante soulevée par le sujet. L’introduction se conclu par l’annonce du plan. L’évolution de la peine : Définition de la peine : c’est une mesure afflictive (qui puni, touche l’individu) prononcée par la juridiction répressive (le juge répressif) à la commission d’une infraction qui obéit à certains principes fondamentaux. On va voir l’évolution qu’a pu subir les éléments de cette définition. On peut parler succinctement des peines avant la révolution (loi du talion, vengeance privée

parlements de province pourrait s’avérer être long, et contraignant pour l’état. Ils ont choisis des solutions, en utilisant un ministre juge, qui dirige cette administration. Avec la constitution de l’an 8 qui créer deux organismes, le conseil d’état et les conseils de préfecture : le conseil d’état c’est la juridiction de droit commun (en principe on va devant ce juge en cas de litige) Les conseils de préfecture ont une compétence d’attribution (la juridiction ne peut être choisie que dans des matières

contrats conclus avec des organisations internationales, etc..). Par le procédé de la délégation du service public, l'administration confie par un contrat à un particulier ou une entreprise, voire à une autre administration publique, sous on étroit contrôle, le soin de prendre en charge l'exécution même du service public. La rémunération du délégataire est substantiellement liée au résultats de l'exploitation du service (redevances versées par les usagers). La forme la plus connue est la concession

l’Etat : notion de sanction 1) Typologie des sanctions : - Sanction exécution : elle intervient quand en cas de désobéissance à un engagement pris et non tenu : dette de somme d’argent, obligation de faire ou de ne pas faire, exécution manu militari, exécution par un tiers, exécution par astreinte - Sanction réparation : il ne s’agit pas de punir mais rétablir l’équilibre : indemnisation, dommages et intérêts compensatoires, dommages et intérêts moratoires, restitution. - Sanction répression : La

et droits fondamentaux. Philipe Comte « _le code pénal est le véritable étalon des libertés individuelles dans un pays donné, bien plus qu’une constitution _». Le commun des mortels résume le droit au droit pénal, au droit de la contrainte, de la sanction, de la répression. Le droit pénal nécessite beaucoup de rigueur et des notions précises. Ce phénomène (intuition du droit pénal) est accentué par toutes les scènes médiatiques (grands procès, faits divers) mais aussi par les progrès scientifiques

non-rétroactivite de la loi pénale dans le temps. Les instances judiciaires ne peuvent connaître que des faits définis par la loi comme étant une infraction et les juridictions de ju­gement ne peuvent prononcer que les peines qu'elle édicte pour sanctionner les infractions. Les textes normatifs qui légi­fèrent sur le fond ne sont pas rétroactifs lorsqu'ils sont créateurs d'une incrimination, ou plus sévè­res. Ils sont cependant d'applica­tion immédiate lorsqu'ils dispo­sent des règles de forme favora­bles