Convention pour la prévention et la répression du crime de génocide

sur le génocide rwandais de 1994. Le Rwanda, dont le régime politique est une République démocratique depuis 1962, était divisé en deux ethnies : les Hutus (90% de la population) et les Tutsis (moins de 10% de la population). Le pouvoir, assuré par la majorité hutue, s’opposa dès 1963 au retour des réfugiés tutsis en provenance notamment du Burundi. C’est la classification ethnique, inscrite sur les cartes d’identité depuis la colonisation belge, qui est considérée comme base du génocide. En effet

création de documentaires traitant largement les questions du droits de l'homme et d’enquêtes concernant l'histoire contemporaine. À cet égard, le livre du journaliste américain Roy Gutman est significatif. Effectivement, l’auteur de  Bosnie : témoin du génocide, a été le premier a révélé l'existence de camps de concentration en Bosnie. 3- Analyse et critique de contenu Dans une enquête menée sur plusieurs mois, le journaliste journaliste Roy Gutman, et le directeur de production Ilan

internationale de justice (=organe judiciaire principal de l’ONU) ne peut jouer ce rôle qu’avec le consentement des états. c) Exemple du droit international Pour illustrer nos propos, nous allons voir un exemple concret, le génocide au Rwanda : Le génocide au Rwanda est un génocide qui eut lieu du 6 avril au 4 juillet 1994 au Rwanda, un pays d'Afrique de l'Est. Il fut commis dans le cadre d'une guerre civile opposant le gouvernement rwandais, constitué d’Hutu, au Front patriotique rwandais (FPR), accusé

de bétails. Sous une dictature, cet état est dirigé par Omar Hassan Rhamed El-Bachir, depuis 1989. Malheureusement, cette contrée est le théâtre d’un affreux génocide. La guerre civile du Darfour est simplement un ramassis de violence raciste refoulé par différents peuples. Une seule question me vient à l’esprit lorsque je parle de génocide ou de situation comme celle-ci : Comment peut-on en vouloir à certaines personnes au point de les tuer eux, ainsi que leur entourage ? «Près de dix mille personnes

REPUBLIQUE DU BENIN MINISTERE D’ETAT CHARGE DE L’ENSEIGNEMENT SUPERIEUR UATM GASA-FORMATION PROCEDURE PENALE LICENCE 2 ESPOSE THEME LA REPRESSION DES INFRACTIONS QUALIFIEES DE VIOLENCE FAITES AUX FEMMES : ELEMENTS CONSTITUTIFS ET PROCEDURE Présenté par : ANATO Roch Cour animé par : M. Fleury Rodrigue AMOUA DOFONNOU Oskana GRAC-AYADJI Laura HOUNKPE Hortense KANTCHI Nelly Etudiants en science juridique ANNEE SCOLAIRE 2013-2014 1 PLAN INTRODUCTION DEFINITION I/ Les infractions qualifiées de

La Seconde Guerre mondiale : guerre d'anéantissement et génocide des Juifs et des tziganes La Première Guerre mondiale devait être « la der des ders », pour reprendre une expression française. Il n'en sera rien. Malgré l'importance des idées pacifistes dans l'Europe de l'entre-deux-guerres (en particulier dans les démocraties occidentales), tous les ingrédients du déclenchement d'une Seconde Guerre mondiale sont_bien_en_place_dès_1919. Dans ce contexte, les idéologies impérialistes et nationalistes

d'une dénonciation, d'une constatation. Quelle est la branche qui analyse le phénomène criminel?: La criminologie. Cette science tend à découvrir quel type de personne est plus enclin à enfreindre la loi, analyse de manière statistique le crime et le délit, dans l'optique de l'élaboration d'une politique criminelle. Il appartient aussi au criminologue d'indiquer les bonnes mesures de réaction sociale. Il s'intéresse aussi à l'étude du système pénitentiaire (conditions de détention, peine

fallu attendre la seconde partie du XIXe siècle pour que les nations se mettent d'accord sur des règles internationales visant à éviter des souffrances inutiles en temps de guerre -règles qu'elles se sont engagées à observer dans le cadre d'une convention. Depuis lors, en raison des changements survenus dans la nature des conflits armés et dans le potentiel de destruction des armes modernes, il a fallu à de nombreuses reprises modifier et développer le droit humanitaire au cours de longues et patientes

DESS Ingénierie documentaire Recherche bibliographique / Mars 2002 La notion de crime contre l'humanité: origines, évolution et devenir Amandine LACHATRE Sous la direction de Chantal JORRO Responsable du centre de documentation du Centre d'Histoire, de la Résistance et de la Déportation Rapport d’étude de l’Enssib RESUME ET DESCRIPTEURS La notion de crimes contre l'humanité: origines, évolution et devenir. Amandine LACHATRE Résumé La future Cour Pénale Internationale clôt une longue évolution

l’homme de leur promotion. La promotion rend compte d’une action tournée vers l’avenir. Les institutions qui s’y adonnent ont pour vocation de mieux faire connaître les droits de l’homme par les Etats ou par les individus par l’élaboration des conventions ou l’adoption des résolutions … la rédaction d’études. Elle vise donc le développement des normes. Par contre, la protection des droits de l’homme vise à faire respecter les droits de l’homme tels qu’ils existent en droit positif[4]. L’internationalisation