Conversion lexicale

diverses et des images il crée une atmosphère annonciatrice de mort, où Duroy apparaît comme accablé. Un ensemble de notations dérivant des perceptions visuelles,sonores ou tactiles suggère de façon insistante le froid, anticipation de la mort le champ lexical des noms (hiver, givre, glace, gelée, liseré de glace) et des adjectifs (rude, sec) s'allie aux motsbrefs (l'air sec, le ciel bleu), pour le désigner sous son aspect le plus âpre. L'évocation culmine à la fin par une claire association entre mort

Préparation l’écriture analytique Bel-Ami - Métaphore qui le présente comme un roi « affolé de joie » et « un roi qu’un peuple venait acclamer ». - La foule est très grande, champ lexical de la foule. Elle est ici représentée comme une masse. - On peut voir que certaine parole tende vers l’ancien avec l’image du temps et le triomphe de l’empereur romain. - On remarque que George Duroy est au centre de ce passage, son nom est souvent répété. - Focalisation interne qui permet de donner l’impression

même temps que le personnage champ lexical du froid, personnage souffrant idée de chaud « brasier » le chaud de la mine apparaît comme un espoir description détaillée : effet de réel, pont de vue interne, description limitée à la vision du personnage + nuit et fumée 1er paragraphe « seule la grande route de Marchiennes à Montsou » (Montsou : ville fictive) paysage minier « village aux toitures basses » périphrase qui désigne le coron des 240 3e champ lexical de la peur + point de vue interne =

type d’argumentation. L’homme primitif possède plusieurs qualités selon l’auteur, ils sont travailleurs et simple, ils n’ont besoin de pas grand-chose, « Les hommes se contentèrent de leur cabanes rustiques », on peut remarquer que le champ lexical du travail naturel est présent et que tous les verbes expriment un certain travail, « embellir leurs arc », « coudre leur habit », le travail évolue et devient plus précis. L’auteur nous montre des hommes qui se contentent de ce qu’ils ont pour être

Allitération en « r », « f », qui reproduisent des sonorités agressives Champ lexical de la guerre : mitraille, bataillon, feu, cent milliers d’hommes Métaphore : « les crachats rouges de la mitraille » symbolisent les coups de feu Métaphore filée : aux vers 4 et 6 qui comparent le champ de bataille a un brasier + Déshumanisation des hommes (tas fumant, bataillon en masse) ils perdent leur individualité. Champ lexical de la nature : le ciel, l’été, l’herbe Déification : au ver 8 la nature est glorifiée

enthousiasme qui gagne tous les habitants => « Ils ne savaient commentexprimer leur joie de nous recevoir. » - Bougainville entame ensuite une description de ce vieillard objective, bien que l’on ressente une certaine méprise envers lui, grâce au champ lexical du corpshumain => « figure (l11) ; cheveux (l11) ; barbe (l12) ; corps (l12) ; nerveux (l12) et ride (l13). - Il feint ensuite émettre des hypothèses qui sembleraient être celles du viellard quiexpliqueraient les raisons de sa nonchalance (l18).

respectant les approches, Tu ne m'affliges plus par d'injustes reproches, Et que tes vains secours cessent de rappeler Un reste de chaleur tout prêt à s'exhaler. Identification des axes du commentaire, appuyée sur le repérages des différents champs lexicaux dominants Procédés d’écriture Effets de sens produits I Une passion violente et dévastatrice a) Troubles physiques Je le vis, je rougis, je pâlis à sa vue Mes yeux ne voyaient plus Je ne pouvais parler Je sentis tout mon

le champ lexical du théâtre et du jeu. Montrez qu'à travers ce portrait de la Cour, c'est une comédie humaine que La Bruyère met en scène. La Bruyère met en scène une comédie humaine en effet, dès le début de ce chapitre il evoque le champ lexical du théâtre «Un homme qui sait la Cour est maître de son geste» (caractère 2), pour lui, la Cour est comme un jeu, et il faut le meilleur au jeu pour pour gagner, comme on le remarque dans le caractère 64 qui ne mentionne que des champs lexicaux du jeu

froid » + les répétitions : « vieux.. vielle.. » Le champ lexical de la souffrance domine : « froid, faim, malheur, pauvre » Dans la suite du poème, P. Eluard veut redonner de l'espoir aux gens, qui le pays soit enfin libéré, pour cela il utilise encore des procédés comme: Il s'adresse aux parisiens par métonymie (figure de style qui remplace un substantif par un autre) à partir du vers n°8, c'est le champ lexical positif de l'espoir qui apparaît : « air pur, feu, bonté, beauté

exclamatives → rythme « invente, imagine, suppose » -anaphore → vers 359-352 « être esclave, être vil » -rythme ternaire vers 359 → « d'étrange,d'incensé,d'horrible et d'inoui » vers 357 -1ère personne énonciation : « je », « j'ai », « me » -Champ lexicaux → amour liée à la souffrance « poitrine »,  « coeur », « ardent », « amoureux » « ardent », « flamme » → feu d'une passion qui brûle -Métaphore de l'hydre (pour désigner l'amour) : « j'ai dans ma poitrine une hydre aux dents de flemmes »