Corneille Racine Comparaison

du style, H. Dessain, 1976) A) Généralités 1) Étapes successives pour la préparation : * nécessité de bien comprendre le sujet et de l'estimer à sa juste valeur; * noter toutes les idées venant à l'esprit : exemples concrets, comparaisons, rappels de cas vécus, anecdotes, ... ; * effectuer un choix parmi les matériaux récoltés; * établir la ligne directrice: marquer le point de départ et choisir le point d'arrivée; * élaborer un plan. 2) Le plan : a) Introduction

Montaigne « Rien n’est vrai que ce qu’on ne dit pas... », Jean Anouilh, Antigone, 1944 Les poèmes de Pierre Perrin | T | out d’abord, rappeler que nombre de ces figures de style font partie du vocabulaire courant. C’est le cas des mots tels que ‘comparaison’, mais aussi ‘métaphor[iqu]e’, ‘paradoxe’ et même ‘chiasme’. Passer à côté de ce que veulent signifier ces termes, dans le discours de chaque jour, c’est ne pas comprendre son interlocuteur. La liberté commence par la maîtrise du vocabulaire. Cette

 www.comptoirlitteraire.com André Durand présente ‘’Andromaque’’ (1667) Tragédie en cinq actes et en vers de Jean RACINE pour laquelle on trouve un résumé puis successivement l’examen de : les sources (page 3) l’intérêt de l’action (page 7) l’intérêt littéraire (page 14) l’intérêt documentaire (page 21) l’intérêt psychologique (page 23) l’intérêt philosophique (page 32) la destinée de l’œuvre (page 33) l’étude de toutes les scènes (pages 39-94)

le roi, pas d’opposition possible, graves inégalités sociales et difficultés religieuses II.2. Les arts et les lettres • Vie artistique brillante, le roi joue le rôle de mécène • Des artistes protégés : ─ Auteurs : Molière, Racine et Boileau : « historiographes du roi » ─ Peintres : Le Brun ─ Compositeurs : Lully ─ Pour les jardins : Le Nôtre • Création d’institutions culturelles et artistiques pour promouvoir les arts mais aussi les

première moitié du XVIIème siècle. L’influence espagnole. Honoré d’Urfé. Charles Sorel. (p.21) 6.Les mouvement des idées. Descartes. Pascal. (p.23) 7.L’essor du théâtre. Corneille. (p.29) 8.La préciosité. Voiture. Mlle de Scudéry. (p.34) 9.Molière. La comédie « à l’espagnole ». (p.36) 10.L’appogée du classicisme. Boileau. Racine. La Fontaine. (p.41) 11.Le roman et la nouvelle dans la 2e moitié du XVIIème siècle. Mme de la Fayette. (p.47) 12.Lettres et mémoires : Mme de Sévigné. Cardinal de Retz

abstraite - Ô Mort, vieux capitaine, il est temps ! ALLITERATION n.f. Répétition d'une ou de plusieurs consonnes, -dans un groupe de mots Allitération en [s] : «　Pour qui sont ces serpents qui sifflent sur vos têtes ? » Andromaque de Racine (acte V, scène 5) ANAPHORE n.f. Répétition d’une même expression ou d’un même mot en début de phrase ou de vers - Partout l’image idée, partout la pensée fleur, partout les fruits ANTITHESE n.f. 2 termes de sens opposés

révision N° 1 : Corneille, L'illusion comique pages 152 et 153, acte V scène 5 de « Ici on relève la toile » à «  le métier qu'il a pris est meilleur que le mien ». I) Corneille (page 630) a vécu de 1606 à 1684. Il a d'abord écrit des « comédies de mœurs » (sur la façon dont les gens vivaient à son époque) et s'est tourné vers la tragédie avec Le Cid en 1637. Ses héros sont toujours placés face à un dilemme (un choix) entre l'amour et l'honneur. Il a peu a peu été éclipsé par Racine à partirde 1650

de la réalité. La comparaison: - Elle établit un rapprochement entre 2 termes (le comparé et le comparant) à partir d'un élement qui leur est commun et par le biais d'un outil de comparaison. - Elle souligne explicitement une similitude entre 2 choses, 2 univers mais ne change pas le sens des mots. Ex: "La musique parfois me prend comme une mer". Baudelaire La métaphore: - Elle établit une assimilation implicite entre 2 termes sans utiliser d'outil de comparaison - Elle favorise la concision

BÉRÉNICE de Jean Racine Mise en scène Jean-Louis Martinelli DOSSIER PÉDAGOGIQUE réalisé par Emanuela Pace Du 13 septembre au 19 novembre 2006 Salle Transformable Hélas ! en guerre avec moi-même, Où pourrai-je trouver la paix ? Je veux, et n’accomplis jamais. Je veux mais, ô misère extrême ! Je ne fais pas le bien que j’aime, Et je fais le mal que je hais. Jean Racine, Cantiques spirituels, 3, 1694 Voici le temps enfin qu’il

elle lui dit » et « fait-il » Indices du dialogue Dialogue entre la dame et le chevalier. « pâle » « décolorée » Adjectifs renvoyant à la dame. Vieillesse de la dame. Le temps a passé. « votre beau visage qui ressemblait à la fleur de lys » Comparaison Le chevalier compare le visage de la dame à une fleur noble → dans le passé, elle était belle. « tellement », « de mal en pis », « vous n'êtes plus la même » Hyperboles Le chevalier insiste et exagère pour dire à la dame qu'elle n'est plus